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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 01:25

Le grand moment de la rencontre avec mon maître était enfin arrivé. Cela faisait déjà 5 mois que j'étais en cyber dressage sous ses ordres et nous allions enfin nous rencontrer. Cela faisait 2 ans que je n'avais pas fait de hard en réel avec quelqu'un et c'est avec une réelle appréhension que j'attendais ce jour. Appréhension non pas tellement vis à vis de mon maître mais bien plus sur ma capacité à tenir un plan réel et non plus cyber.

Les derniers ordres m’étaient parvenus le soir précédent afin que je sois conforme à ses exigences lors de son arrivée. La nuit a été courte, j’ai préparé l’appartement afin qu’il ait tout à sa disposition sans qu'il ait besoin de chercher. Le matériel était donc rangé par catégorie au sol dans l’appartement. Des liens avaient été installés au plafond et sur le lit afin qu’il puisse m’immobiliser sa convenance. Je me suis aussi occupé de moi en me rasant le cul et les couilles, en me tondant le torse et les aisselles.

Je me suis présenté à la gare peu avant sa descente du train, vêtu en apparence normalement, mais portant sous mes vêtements civils cockring, un jockstrap, un short de chasteté en cuir, un tshirt en cuir et un collier cadenassé. C’est donc ainsi équipé, anxieux, stressé, et fatigué que j’ai attendu les quelques minutes qui me séparaient de ce premier contact réel. Les premiers voyageurs passent les portes du quais, je me demande si je vais le reconnaître de suite ou s’il va devoir m’appeler pour me siffler. Non c’est bon je le vois, juste car il a son téléphone en main, ouff. Nous parlons quelques secondes afin de détendre l’atmosphère, il constate que je suis stressé et fais donc tout pour me mettre à l’aise. C’est donc en bavardant que nous faisons le trajet de retour pour mon appartement.

Une fois entrée, le premier ordre tombe, « En tenue ! » Je me change alors pour ne conserver que les vêtements exigés. Une fois revenu au centre de la pièce il commence à me tourner autour en me caressant, serrant un peu les couilles « A genoux ! » Je m’exécute immédiatement. Il me prend la tête, me frottant la bouche contre son jeans à l’emplacement ou je sens sa queue gonflée sous le tissus. Pour être mieux installé, il va s’asseoir dans le canapé et me demande de venir me mettre à genoux entre ses jambes pour continuer de me frotter à lui. Au bout de 10 bonnes minutes de ce traitement un nouvel ordre « Vas mettre tes menottes aux poignets et chevilles ! » Je le laisse donc le temps d’aller les chercher et me bats un peu ensuite pour les mettre tout en reprenant ma tâche. Il m’attache alors les mains dans le dos a l’aide d’un mousqueton. Après quelques minutes de ce traitement, il ouvre sa ceinture et son jeans pour en sortir une belle pine bien dure. En quelques secondes, je me retrouve la bouche bien occupée à sucer et lécher cet objet tant convoité. Je m’applique à la prendre le plus loin possible mais pas encore assez selon mon maître qui me le reproche et me pousse à en avaler plus. J’essaie de contrôler au mieux des hauts le coeur pour en prendre plus en bouche. Il semble plus satisfait cette fois ci. Il me laisse profiter de sa queue un moment durant lequel il ouvre mon tshirt afin de pouvoir jouer un peu avec mes tétons. Il m’ordonne de quitter le short et de me mettre dos a lui afin d’examine mon cul. Ses doigts commencent alors à l’explorer en le caressant. Il me demande de lui apporter la barre d’écartement afin d’immobiliser mes pieds. Une fois mis en place, je suis contraint de ne pas bouger sous peine de perdre l’équilibre puisque mes mains sont toujours attachées dans mon dos. Il se lève alors et passe derrière moi en direction du lieu ou est rangé le matériel. Je l’entends prendre quelque chose. Il revient et me passe un harnais de tête avec baillions car il n’a pas envie de m’entendre me plaindre pour la suite des choses. Il me fait écarter les jambes afin que mon cul soit bien à disposition, et il commence alors à vouloir m’ouvrir, tout d’abord en caressant mon trou offert, puis en introduisant un doigt. Face à la résistance il s’accroupit pour me lécher et m’humidifier. Je commence à gémir doucement tellement c’est bon. Il reprend alors le travail avec son doigt, il joue avec, le frottant dessus, puis le rentrant u peu avant de le ressortir. Bien entendu ce jeu me donne qu’une envie, avoir envie de lui et de sentir sa queue en moi, mais je sais que cela il le décidera le moment venu. Après un bref travail au doigt il s’absente a nouveau en direction du rangement de matériel et revient avec un nouveau jouet. Je sens du gel couler sur mon trou puis un objet lisse et froid appuyer contre. Je reconnais un plug à la forme. Il pousse, doucement mais fermement. Malgré mon entraînement régulier le plug ne passe pas, j?ai mal. Je ne sais pas si c’est le stress, la fatigue ou le manque préparation, mais il ne veut pas rentrer. Devant mes cries et mes soubresauts mon maître comprend qu’il y a un problème. Il s’arrête et me demande ce qui se passe. Il comprend alors qu’il va falloir commencer plus petit, et il va chercher un plug de taille inférieure. Celui ci entre non sans difficulté mais au moins avec une douleur moindre. Il repasse alors devant moi en me disant que maintenant je ne devrai pas le perdre, et il prend alors les pinces à linge, le parachute et une chaîne. Il commence par me poser 2 pinces sur chaque téton, puis 3 sur les cotes et 3 aux niveaux des abdominaux enfin une au nombril. Il fixe alors le parachute et relie à l’aide de la chaîne le parachute et la barre d’écartement, entraînant une traction des couilles qui m?oblige à plier les genoux si je ne veux pas trop souffrir. Il commence alors à « caresser » les pinces en jouant avec elle comme un pianiste avec son instrument, m’arrachant à chaque passage de petits gémissements. Durant ce « concerto » il m’enlève mon collier cadenassé pour le remplacer par un large collier en cuir avec point d’attache, je m’attends donc à devoir changer de position sous peu. Il retourne s’asseoir sur le canapé face à moi, et détache la chaîne de la barre. Tout en la ardant en main et en tirant régulièrement dessus il entreprend de me parler, me faisant constater que depuis déjà presque une heure il me faisait souffrir par différents moyens et pourtant je continuais de bander quoi qu’il fasse. Par conséquent il en déduisait que j’aimais ça et qu’il pouvait continuer. C’est vrai que j’aimais ça, mais c’est dur à entendre. Il sait que j’ai du mal avec mon image de slave et c’est en toute connaissance de cause qu’il veut me le dire en me regardant bien en face pour que je comprenne bien que je suis à lui et que quoi qu’il fasse j’aime ça et je l’accepterai. Il entreprend de m’enlever petit à petit les pinces à linges. Si le nombril ou les côtes se sont avérés pas trop douloureux, les abdos et surtout les tétons m’ont arraché des cries heureusement étouffés par le baillion. Il me libère les mains ainsi que de la barre et m’ordonne d’aller dans la chambre avec poppers, capotes et gel. Le moment si attendu va arriver, il va me prendre et je vais enfin le sentir en moi !!!

Une fois dans la pièce il appuie sur ma tête pour m’indiquer qu’il me veut à genoux. Là il enlève le harnais de tête afin que je le suce à nouveau. Après 5 mn de ce traitement il me pose un écarteur buccal afin de mieux profiter de ma gorge. Sans contraintes possibles de ma part, il pousse sa bite le plus loin possible. J’ai du mal à respirer et énormément de mal à réprimer des hauts le coeur. Je manque régulièrement de vomir. Il sourit de me voir ainsi à la limite de l’étouffement. Après avoir bien fait rendurcir sa queue il m’indique qu’il souhaite me voir à 4 pattes sur le lit. Il fixe alors une corde au niveau du collier pour que je ne puisse pas trop bouger la tête, et attache également mes poignets au niveau du lit. Me voici avec le haut du corps immobilisé, totalement à sa merci, bavant partout car l’écarteur me fait saliver un maximum. Il me fait sniffer un peu de poppers, et me libère du plug afin de voir mon trou bien ouvert. Il en profite pour y passer un puis deux doigts et jouer un peu avec mon cul. Il passe une capote et commence à s’enfoncer en moi. Avec la préparation précédente point de douleur lors de son entrée mais de suite le plaisir de le sentir enfin me prendre. Je commence à gémir. M’ayant prévenu qu’il était endurant, il me donne la bouteille de poppers dans une main afin que je puisse me gazer autant que besoin. Commence alors une chevauché ou il alterne longs coups lents et petits mouvements secs. Malheureusement, si le travail m’a préparé à sa largeur, la longueur me pose encore problème et je souffre de le sentir si loin en moi. Malgré le poppers, je me débats régulièrement car je ne supporte plus la douleur. Mes gesticulations l’énervent et il se retire. Il va prendre une corde et me fixe les pieds de chaque coté du lit. Je suis totalement immobilisé. Impossible de faire le moindre mouvement. Il me reprend alors directement et cette fois ci avec force et vitesse. J’alterne pour ma part entre plaisir et douleur, et le poppers ne m’aide pas vraiment car trop fort j’évite de l’utiliser me sentant mal après chaque inspiration. De son côté mon maître m’utilise comme il le souhaite, profitant pleinement de mon trou offert. Me sentant totalement à sa merci, mes cries ne font que le stimuler d’avantage et il me baise sans retenu. Ses coups se font de plus en plus secs et je le sens se crisper dans un dernier mouvement et se retirer au moment ou il jouit (un accord entre lui et moi). Il s’affale alors à mes côtés, essoufflé, secoué de spasmes. Nous restons ainsi quelques minutes afin de récupérer et d reprendre nos esprits. Il me détache alors et part prendre une douche. Pour ma part je range le matériel sorti et la pièce. Il n’est que midi, il reste encore 3 heures avant son départ.

 

 

 

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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