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Samedi 13 septembre 6 13 /09 /Sep 14:07

Profitant d’un passage sur Paris, j’ai été confié aux bons soins de très bon domi pour une séance de dressage réel. Le cyber ne permet pas tout et j’ai encore de nombreuses lacunes. C’est ainsi que c’est mis en place non pas un plan mais un menu découvertes.

Avant de me présenter à lui j’ai du faire 10 jours d’abstinence. C’est donc avec les couilles bien pleines que je l’ai rencontré. Je dois être nu, avec menottes aux poignets et chevilles et collier de clebs quand il arriverait. A son arrivé je suis nu, avec menottes aux poignets et chevilles ainsi que collier de clebs et je l’attends à 4 pattes sur le lit. Après une longue fellation il décide de passer aux choses sérieuses et aux raisons de sa venue.

La première chose qu’il souhaite me faire essayer c’est l’électro. Une découverte complète pour moi. A près m’avoir passé un cockring et un anneau au gland, il monte petit a petit l’appareil. C’est tout d’abord un léger picotement puis de petites secousses qui traversent ma verge. Je ne trouve cela ni agréable ni désagréable, juste surprenant. La fréquence et l’amplitude sont augmentés mais malgré tout ça j’ai du mal a voir l’intérêt de cette pratique. A force de monter, je commence à plus ressentir de douleur que de sensation de gène, voyant ma réaction il préfère stopper pour passer à autre chose

Il m’installe alors allongé sur le ventre, les poignets attachés à chaque coin du lit, les jambes attachées au niveau des chevilles, elles même reliées à mon collier par une corde. Un parachute est alors fixé à mes couilles. Pour ajouter une traction, il passe une corde dans le rouleau de film pour momification et fixe chaque extrémité au parachute. Il fait ensuite pendre le rouleau dans le vide sur le bord du lit. Je me retrouve ainsi totalement immobilisé, les couilles étirées, et le cul offert. Il peut alors commencer travail intensif du cul avec divers godes et plug. Sous les diverses tailles et formes, je m’ouvre progressivement. Quand il pense avoir atteint une ouverture suffisante il me met un gros plug afin de passer à d’autres types de jeux.

Il s’absente alors un temps afin d’aller chercher qqchose, mais je ne peux pas le voir. A son retour je sens une vive douleur très localisée sur mes fesses : de la cire ! il était allé chercher une bougie. J’avais déjà testé cela il y a quelques années et j’avais détesté, et la séance qui s’annonçait me ramenait pas les meilleurs souvenirs. Il alterna lors mon dos, mes fesses, les épaules. Parfois juste quelques gouttes, parfois plus, alternant également les hauteurs, il essaye de me donner un maximum de surprise à chaque fois que la cire tombe. Heureusement qu’il y avait un baillion au début sinon j’aurais sans doute réveillé les voisins. Mais j’essaye de résister au mieux et de bouger le moins possible. En me concentrant j’arrive petit à petit à ignorer en grande partie la douleur. Mais je confirme mon impression précédente, la cire c’est pas pour moi, suis définitivement trop douillet et pas assez maso pour apprécier.

Pour changer de trips et revenir à quelque chose que je connais, il passe aux pinces à linges. Je me retrouve alors rapidement les cotes couvertes de pinces ainsi que le haut des bras et l’intérieur des cuisses. Je sais que ça je peux le supporter correctement par habitude avec mon maître. C’était sans compter sur son imagination. Il commence a me passer lentement un glaçon sur le corps. Autant le chaud est désagréable, mais cette sensation de froid après la cire est terrible. Je me mets à gesticuler dans tous les sens pour essayer de me soustraire quelques secondes au contact de la glace. Voyant qu’il avait enfin trouvé un trip ou je ne me contrôlais pas, il se met alors à jouer avec moi, promenant la glace partout sur mon corps, mon dos, mes fesses, mes pieds. Je n’arrive plus à me reprendre, bougeant dans tous les sens, tirant ainsi sur mes couilles en faisant bouger le rouleau de filme, bougeant également les pinces à linge lorsqu’elles frottent contre le lit. Il alterne les glaçons et sa main qui me réchauffe, le froid et le plaisir lorsqu’il bouge le plug qui est toujours en moi. Je m’épuise tout seul à me débattre et à lui échapper afin de gagner quelques secondes de répits. Bien sur je crie et le supplie d’arrêter mais il sait que je peux encore tenir et il continue de jouer avec moi. C’est seulement lorsque tous les glaçons ont fondu qu’il décide que je peux me reposer enfin un peu.

Le repos avec un domi n’est jamais une simple sieste. Il me détache de toutes mes entraves et décide de me momifier. Je n’avais jamais testé. Debout a coté du lit, il enroule méthodiquement le film adhésif. Petit à petit, je ne peux plus bouger. Quand je suis totalement immobilisé, il me bascule sur le lit afin de m’allonger. Je reste ainsi un petit quart d’heure. La sensation est, je dois dire, assez agréable. Après le froid, se sentir si au chaud, sans possibilité de bouger, j’ai trouvé ça très bandant. S’en apercevant, il coupe le film au niveau de ma queue et de mes tétons afin de pouvoir y avoir accès. Il me pose des pinces aux tétons puis entreprend de me branler tout en tirant régulièrement sur la chaîne. Cette double stimulation me fait bander comme un fou. Commence alors un jeu de contrôle de l’orgasme : il m’amène au plus prêt possible de la jouissance pour aussitôt arrêter et tirer assez fort sur les pinces pour que ça me calme. J’adore ce type de moment ou je sens que le domi peut faire de moi ce qu’il veut, autant m’amener au 7eme ciel que me conduire en enfer. Bien sur lui n’est pas en reste, et il profite de ma bouche bien à dispo pour se faire sucer longuement.

Estimant que je m’étais assez reposé, il a défait les entraves. Avec une corde il me fait un bondage du corps bien serré mais qui laisse mon cul libre et dispo. Il m’installe à nouveau à 4 pattes sur le lit. Commence alors une longue (et géniale) séance de sodo. Il alterne vitesse, profondeur, style, … bref un bonheur ! Ayant été bien ouvert par le plug porté jusque là, il n’a aucun problème à bien profiter de moi. Afin de mieux pouvoir en profiter, il me fixe un mask à gaz relier à une cartouche de poppers. Je commence alors à planer doucement, et il en profite pour remplacer sa queue par ses godes ou plug. Après mes heures de plug et sa sodo intensive, les premiers passent sans difficultés. A force de travail, de persévérance et de poppers, il arrive à rentrer un diamètre qui était encore jusque là jamais entré : presque 7 cm. Là, j’ai atteint une limite, car malgré tout j’ai eu très mal et l’ai expulsé de suite. Il met donc a la place un plug de taille inférieur et entreprend de me branler. Après les 10 jours de chasteté, et une si longue séance, je n’ai pas été long à venir et j’ai éjaculé rapidement en prenant un pied d’enfer.

Il me félicite alors pour la séance, elle a duré presque tout l’après-midi. En quelques heures j’ai ainsi pu tester en grande partie ce qui me restait à découvrir et ré-experimenter ce que je connaissais déjà. J’ai également pu rencontrer un super domi, imaginatif, ferme, sympa et attentif, qui recherche autant son plaisir que celui du soumi. Bref un très bon et beau moment.

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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Vendredi 22 août 5 22 /08 /Août 13:26

Pendant que certains profitent de leurs vacances pour apprendre la planche à voile, le plongeon synchronisé ou le parapente, j’en ai profité pour découvrir à mon tour une nouvelle sensation : la chasteté forcée.

Bien sur comme l’exige mon maître je ne me masturbe plus sans ordre depuis longtemps. Bien sur j’ai une cage mais qui reste trop importante pour être porté en permanence (en particulier dans la rue ou au travail).

Afin de bien remplir son rôle de gardien (geôlier ?), Xess, le domi à qui mon maître m’a confié durant ses vacances, a donc décidé assez tôt de me mettre sous CB. J’avais déjà testé quelques fois une CB (j’en ai même cassé 2) mais jamais de cette façon : j’en ai toujours eu la clé et je l’ai rarement porté non stop.

Je ne connaissais pas ce modèle (CB6000) mais il s’est avéré avoir le même problème que les versions précédentes que je connaissais : plus on essaye de l’enfilé et plus on bande, donc moins elle rentre. Une seule solution : se branler et jouir afin de bien débander. J’ai été prévenu que c’était la dernière fois que je jouissais avant un moment j’ai donc retardé au maximum le moment de la libération afin d’en profiter le plus possible. En effet une fois vidé, elle s’enfile bien plus facilement !!

La première nuit se passe étrangement bien. Je me force a dormir sur le dos ou sur le coté car j’ai la trouille de la casser (et oui c’est comme ça qu’ont fini les 2 autres, le plastique c’est sympa car ça passe aux détecteurs dans les aéroports mais ça se casse vite). Le travail ensuite avec c’est aussi passé sans difficulté. J’avais prévu un jeans un peu plus large que ceux que je porte habituellement afin de bien la cacher. J’ai porté au départ un boxer mais j’ai du me résigner à ne rien mettre car la sensation de placage de la queue avec était assez désagréable. Et puis comme ça je remplissais mieux une des consignes de mon maître : plus de sous-vêtement sauf string et jockstap (et avec la cage c’était pas la peine). La principale difficulté à été de se contrôler lorsque je sentais un début d’excitation monter. Non pas que la cage me faisait mal mais plus car j’avais peur qu’elle se voit sous mon pantalon.

Seconde nuit aussi sans problème, ou plutôt si, un problème car je l’ai en parti perdu, une de mes couilles ayant réussi durant mon sommeil a passé de l’autre coté du cockring. Ces 2 nuits sans difficultés et cet incident font dire a mon gardien que la cage est mal réglée. Premier changement : le cockring est pris plus petit. En effet là il me serre bien plus favorisant même les érections. Deuxième changement la tige qui relie le cockring à la cage est réduite ce qui provoque une légère pression au niveau de la base des couilles, mais rien d’insupportable. Il fut un peu plus dur durant cette seconde journée de se contrôler pour ne pas bander car entre le cockring et le frottement de la cage sur les couilles, il y avait tout pour m’exciter (d’ailleurs conseil pour ceux qui veulent en porter et qui comme moi ont tendance à vite mouiller de la queue, oubliez les pantalons clairs car vous aller vite avoir des traces). La cage ainsi réduite se fait également bien plus sentir lorsque je bande et si je ne me contrôlais pas très vite devenir assez douloureuse puisque plus je bandais et plus le cockring tirait les couilles en avant. Mais il est facile de se changer les idées et de se faire débander quand on est conscient, donc ce ne fut pas un gros problème.

Troisième nuit : les choses se corsent !! Je suis réveillé à 4 heure du matin par une violente douleur aux couilles, j’ai l’impression qu’on me les arrache ! J’ai du rêver ou alors bander mécaniquement et mon organisme n’a pas eu le réflexe que j’avais eu en journée pour se contrôler. L’érection étant totale, la traction sur mes couilles aussi ! Plus je bande plus le cockring fait son boulot en me maintenant rigide. Même la douleur n’arrive pas à me faire passer mon excitation. Mon gardien m’avait prévenu que je finirai a 4 pattes au milieu de la nuit et je n’avais pas compris. En situation ça devenait très clair : c’est la position qui est la moins douloureuse. Je me retrouve donc au-dessus de mon lit à 4 pattes entrain d’essayer de penser désespérément a autre chose. Mais avec cette douleur aux couilles et a la queue dur de l’oublier. Finalement après ½ heure comme ça je me résigne et c’est direction la douche froide !! Cette anecdote fait bien rire mon gardien le lendemain matin. Il s’est félicité d’avoir trouvé le bon réglage car il trouvait ça étonnant que je ne sente rien la nuit. Il m’a conseillé également de m’habituer à ce type de réveil. La journée de travail c’est passé comme la précédente.

 

Je ne vais plus raconter chaque journée car ça n’a plus d’intérêt puisque les 5 jours suivant durant lesquels j’ai gardé la cage furent les mêmes, ainsi que la semaine qui suivie (en tout j’ai fait 2 semaines de cage coupé par quelques jours de liberté).

Mais j’ai encore quelques réflexions/constatations à faire.

La première et de l’ordre de l’exhib puisque durant ces 2 semaines j’ai travaillé avec, je suis sorti en bar/boite également et j’ai été faire mon footing. Bien sur, il faut abandonner toute idée de shorts ou de pantalons moulants, mais une fois passé l’obsession des premiers jours, il faut bien constater que ce type de modèle ne se voit pas. On peut donc vivre totalement normalement avec (éviter quand même la natation c’est pas conseillé avec le maillot de bain). Et le fait de se promener au milieu de ses collègues, d’amis ou d’inconnus en se sachant ainsi équipé donne une certaine excitation supplémentaire. Une forme de plaisir exhib « privé » (si si ça existe j’en suis sur comme comportement).

Seconde réflexion : baiser (ou plutôt se faire baiser) avec cette contrainte est difficile. Car forcement, à moins d’être frigide, l’excitation de la situation fait que l’on va bander et donc souffrir des couilles. Mais plus que la douleur c’est surtout le fait d’être dans l’incapacité de jouir et d’en être conscient qui est alors difficile. Car on sent l’autre prendre du plaisir, on en prend aussi bien sur, mais on sait que pour nous il n’y aura pas de libération. C’est sympa la première fois, mais ensuite c’est vraiment frustrant (oui je sais c’est le but de ces cages). Cela génère ma dernière remarque.

Ce système me change en salope en manque ! On peut se dire que moins on en fait moins on en a envie, et bien non !! plus les jours passait et plus j’avais envie de sexe. Entre les réveils nocturnes, les baises sans pouvoir jouir, et les situations excitantes de jour, je n’en pouvais plus. A la fin de chaque semaine je ne voulais qu’une chose : du sexe, du sexe et encore du sexe. Je ne m’attendais pas du tout à cet effet là car je pensais que la frustration au contraire allait être décroissante, qu’on s’y habituait tout comme je m’habituais à ne pas jouir sauf sur ordre. Mais les frottements de la cage et tout ce que j’ai expliqué précédemment on eu l’effet opposé et je ne me suis jamais senti comme ça, comme un drogué en manque et constamment tenté. Terrible pour le moral à la fin de chaque période, c’est ce qui a généré un repos de quelques jours entre les 2 semaines.

 

Ce fut donc une expérience intéressante qui m’a appris que la chasteté voulue et imposé n’avait pas du tout les mêmes effets pour un résultat pourtant identique : le contrôle de l’éjaculation.

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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Samedi 19 juillet 6 19 /07 /Juil 12:53

En ce beau WE de juillet, je suis invité chez Master Alex, en Belgique. Mes souvenirs de mon passage chez lui en 2005 sont encore bien vivace et je suis content de pouvoir enfin le revoir. Maître Mat ne m’a donné qu’une seule consigne : le rendre fier de lui et de son dressage. Toutefois ce n’était pas un WE de dressage (désolé de décevoir ceux qui attendaient d me voir me faire loper durant 2 jours) mais un WE amical.

Une seule chose était prévu : « La Démence », une grosse soirée ayant lieu à Bruxelles une fois par mois. Comme nous devions y être pour 22h et que la soirée peut finir à 6/8 heures du matin, master Alex m’a conseillé de faire une sieste avant. Mais ce ne serait pas un maître domi, un poil sadique, s’il m’avait laissé dormir simplement dans mon lit. C’est nu, les bras attachés dans le dos, les poignets fixés aux chevilles que j’ai du passer ces 2 heures de repos.

Après un bon repas pour se donner des forces, il était temps de se préparer. Master Alex m’avait demandé d’apporter certains de mes jouets/fringues.(WE amicale peut être mais avec un domi et un soumis dans la même maison on ne sait jamais). Avant que je vienne, il m’avait dit vouloir me sortir en slave mais je prenais ça pour une blague, mais non c’était très sérieux. Il choisit donc pour moi le short de chasteté (cadenassé bien sur sinon ce n’est pas drôle), le Tshirt marqué SLAVE, des menottes cadenassées elles aussi, des caterpillar aux pieds et enfin la chaîne avec cadenas en guise de collier. Au premier portique détecteur je ferai tout sonner avec autant de verrous sur moi. Afin de pouvoir rejoindre la boite en toute tranquillité j’ai quand même eu droit à un jeans le temps du trajet.

Une fois sur place direction le vestiaire pour poser le surplus. Et là c’est un grand moment de solitude qui s’ouvre à moi. Soit, j’avais vu des mecs en cuirs ou en boxer. Mais bon il y a toujours une certaine pudeur en moi qui fait que j’ai du mal à accepter le statut de slave en public. Et là avec cette tenue pas d’erreur possible sur ma condition. Dans un tchat avec 100 connecté c’est une chose mais là dans la vraie vie, avec 3000 personnes c’est autre chose ! Il a fallut un peu de temps avec que je me change et que j’accepte de sortir comme ça.

La soirée passant, la chaleur montante, la foule s’agglomérant, cette situation est allée de mieux en mieux car toutes les exubérances faisaient que finalement j’étais très loin d’être celui qui était le plus visible. Au bout d’1 heure je me baladais seul a la découvertes des divers recoins de ce lieu de perdition. Je savais que beaucoup n’avaient des tenues sexe que pour le fun alors que chez moi c’était un reflet de ma condition, mais a ce moment là rien ne me distinguait d’eux : on avait tous l’air en chaleur ou branché hard.

Je retire donc de cette expérience cette maxime : « l’habit ne fait pas le moine, mais la robe de bure passe inaperçu dans les monastères ». 

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 14:27

A son retour je lui sers à boire et nous allons voir sur le PC les photos qu?il a pris durant la séance. Nous en profitons pour parler de tout et de rien, ne faisant aucune allusion à ce qui venait d?être fait, nous savons tous les deux que ce n?est pas encore fini, il n?est donc pas encore temps de faire un débriefing. Ainsi durant un bon quart d?heure nous nous efforçons de faire retomber la tension. Je passe à mon tour à la salle de bain afin de me nettoyer un peu du gel et de la bave qui me recouvraient. A mon retour nous continuant un peu ce temps libre mais je sens bien que ça ne va pas durer bien longtemps. Mon maître retourne s?asseoir dans le canapé et m?appelle afin que je vienne a coté de lui. Il profite de mon passage près de l?accoudoir pour m?attirer à lui et me faire tomber sur le canapé. Je me retrouve donc sur lui, les fesses surélevées au niveau de l?accoudoir. Il pose alors une main sur la bouche et de l?autre commence à me donner des fessées. Il alterne droite/gauche, tout en abattant parfois ça main au niveau de mon trou. La main sur ma bouche étouffe mes petits cries à chaque fois que sa main libre vient rencontrer mon épiderme. 5, 10, 15,? je perd le compte du nombre de claque que je subis. Une fois mes fesses rougies, il me demande d?aller lui chercher un plug. Je lui demande si je dois reprendre le même. Il me dit que je suis libre de prendre celui que je veux. Après le travail précédent et la chevauché qu?il m?a fait, je veux lui faire plaisir en prenant celui qui avait bloqué en début de rencontre. Il semble content de ce choix. Avant de le mettre, je prends une première inspiration de poppers, mais je garde la bouteille près des narines pour en reprendre lorsqu?il devra forcer pour le faire passer. Il commence à me présenter un doigt avec du gel pour faciliter le travail. Une fois bien préparé, il entreprend l?introduction. Durant la poussé, je sniffe à grand coup le poppers. Ca y est c?est rentré !! Le poppers aussi est entré dans mes poumons. Je le supportais déjà mal à petite dose, mais là, à forte inspiration, l?effet est terrible. Je me sens mal, j?ai du mal à rester debout et à marcher. Je m?affale sur le canapé. Mon maître voyant qu?il y a un problème vient à mes côtés et me prend dans ses bras me disant de ne pas bouger jusqu'à ce que ça passe. J?ai du mal à récupérer et à retrouver mes sensations, parallèlement mon c?ur lui c?est emballé et j?ai du mal à le calmer et à retrouver mon souffle. Nous restant ainsi lui tentant de me rassurer et moi de reprendre e contrôle durant un bon quart d?heure. Finalement l?effet comment à passer, mais nous tombons d?accord sur le fait qu?il est bien trop fort pour moi, donc soit la suite du plan est sans, soit-il va falloir aller en acheter. Il admet que c?est un élément important si je veux pouvoir tenir encore le temps restant, et m?ordonne donc de me rhabiller comme à son arriver pour sortir en acheter, mais en ayant en plus le plug. Je repasse donc le short de chasteté, le tshirt et mes vêtements civils pendant que lui aussi se rend présentable. C?est ainsi équipé que nous sortons pour nous rendre au sexshop le plus proche afin d?acheter une nouvelle bouteille. Celui ci n?est pas très loin, une dizaine de minutes de marche. Dans la rue j?ai l?impression que tout le monde me regarde c?est terrible, j?ai chaud, je rougis et marche autant que possible à l?ombre. J?étais déjà peu à l?aise le matin à la gare mais là je suis carrément paniqué. Je profite des vitrines de magasins pour voir si rien n?est visible. A priori non, ça devrait me rassurer, mais non. Heureusement nous arrivons enfin au magasin. Dedans peu de clients, je vais directement à la caisse prendre ce qu?il me faut. Pas question de traîner car outre le fait que je suis pas a l?aise et rouge écarlate, il y a aussi le fait que mon maître doit repartir sous peu donc pas de temps à perdre. Sur le retour nous passons devant un Mc Do et là nous avons le même réflexe, il est passé 13h et nous n?avons toujours pas mangé et les exercices de la matinée nous ont affamés. Ce pose alors le choix, rentrer chez moi pour que je lui prépare quelque chose et que je mange dans ma gamelle, prendre à emporter, ou manger quelque part. Mon maître m?annonce alors qu?il m?invite et que je n?ai qu?à choisir le lieu. Il me dit également que si le plug me gène trop je n?aurais qu?à aller aux toilettes le retirer il ne s?en offusquera pas, je dois juste tenir le plus longtemps possible. Je choisis donc un petit restaurant ou la nourriture est bonne et ou en plus le service est rapide. Le repas se passe sans problème, je dois toutefois me tortiller régulièrement sur ma chaise pour ne pas avoir top mal en gardant trop appuie sur le plug. Me voir ainsi bouger fait sourire mon maître qui me le fait remarquer (nouveau rougissement de ma part). Il me prévient que l?heure de son départ approchant une fois rentrer ce serait beaucoup plus intensif que ce qu?il avait prévu à l?origine. Dessert, café, addition expédiés nous retournons rapidement chez moi.

Dès mon entrée je me rechange enlevant de suite le short et remet les 4 menottes. Mon maître m?amène alors dans la chambre, m?attaches les mains dans le dos et me fixe la barre d?écartement. Ensuite il me tire les bras en arrière et vers le haut afin de les attacher à l?aide de la corde qui pend du plafond. Il me repose alors l?écarteur buccal et il va se changer lui aussi. Durant son absence je bave partout parterre. A son retour il est nu et me fourre directement sa queue en bouche. La position fait que j?ai la bouche juste à la bonne hauteur ce qui lui permet d?aller très loin. J?étouffe et lui abuse de sa position pour voir mes yeux se remplir de larme lorsque j?essaye de contrôler mes réflexes vomitifs. Bougeant encore trop à son goût il va chercher le parachute et une corde. Il le fixe à mes couilles et attache la corde à la barre afin qu?elle les tire bien vers le bas. Ainsi harnaché, il reprend la fellation forcée et appuie sur la barre avec son pied dès que je bouge trop. La douleur et la traction exercé de cette façon m?incitent à essayer d?endurer le plus possible sans me débattre. Quand il est bien dur il passe alors derrière moi, retire le plug que j?ai depuis plus d?une heure, et me prend directement à fond. Il me sodomise ainsi durant une dizaine de minutes mais la position peu stable ne lui convient pas complètement. Il me détache alors et me demande de m?allonger sur le dos sur le lit, cuisses relevées. Là il recommence à me chevaucher, sortant parfois de mon cul pour mieux s?y enfoncer à nouveau par la suite. Comme le matin, il alterne coups rapides et lents, profonds ou de surfaces. Là encore ce fut moi qui ne me suis pas montré à la hauteur car entre le matin, et le plug, mon cul commençait à beaucoup chauffer et à ne plus supporter ce traitement. Difficulté à tenir lié en plus au fait que mon maître commençait à vraiment se lâcher et à me prendre de plus en plus violemment, de plus en plus fort et loin. Ne tenant plus je lui ai demandé d?arrêter. Avec un sourire il m?a dit qu?il s?interrogeait sur le moment ou je craquerai. Il c?est alors allongé à coté, à retiré le préservatif et m?a dit de venir le sucer pour le finir. Heureux de cette clémence, je me suis mis en devoir de faire de mon mieux en le prenant le plus loin possible et en  le suçant de tel manière qu?il y prenne le plus de plaisir possible. Malheureusement le réveil sonna la fin de nos ébats avant qu?il ait pu finir. Nous avions calculé juste afin qu?il puisse prendre une rapide douche avant de partir. Nous nous sommes donc nettoyé et habillé, cette fois ci totalement normalement pour moi, et nous sommes parti. Aucun de nous n?avait pu jouir durant cette deuxième séance (et pour moi durant la journée). Loin d?être frustré mon maître m?a surtout dit que cela l?avait motivé pour qu?on se revoit rapidement pour un autre dressage qui cette fois serait bien plus long que 5h !!! C?est sur cette idée que nous nous sommes séparer devant le train.

A quand la prochaine fois ???

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 01:25

Le grand moment de la rencontre avec mon maître était enfin arrivé. Cela faisait déjà 5 mois que j'étais en cyber dressage sous ses ordres et nous allions enfin nous rencontrer. Cela faisait 2 ans que je n'avais pas fait de hard en réel avec quelqu'un et c'est avec une réelle appréhension que j'attendais ce jour. Appréhension non pas tellement vis à vis de mon maître mais bien plus sur ma capacité à tenir un plan réel et non plus cyber.

Les derniers ordres m’étaient parvenus le soir précédent afin que je sois conforme à ses exigences lors de son arrivée. La nuit a été courte, j’ai préparé l’appartement afin qu’il ait tout à sa disposition sans qu'il ait besoin de chercher. Le matériel était donc rangé par catégorie au sol dans l’appartement. Des liens avaient été installés au plafond et sur le lit afin qu’il puisse m’immobiliser sa convenance. Je me suis aussi occupé de moi en me rasant le cul et les couilles, en me tondant le torse et les aisselles.

Je me suis présenté à la gare peu avant sa descente du train, vêtu en apparence normalement, mais portant sous mes vêtements civils cockring, un jockstrap, un short de chasteté en cuir, un tshirt en cuir et un collier cadenassé. C’est donc ainsi équipé, anxieux, stressé, et fatigué que j’ai attendu les quelques minutes qui me séparaient de ce premier contact réel. Les premiers voyageurs passent les portes du quais, je me demande si je vais le reconnaître de suite ou s’il va devoir m’appeler pour me siffler. Non c’est bon je le vois, juste car il a son téléphone en main, ouff. Nous parlons quelques secondes afin de détendre l’atmosphère, il constate que je suis stressé et fais donc tout pour me mettre à l’aise. C’est donc en bavardant que nous faisons le trajet de retour pour mon appartement.

Une fois entrée, le premier ordre tombe, « En tenue ! » Je me change alors pour ne conserver que les vêtements exigés. Une fois revenu au centre de la pièce il commence à me tourner autour en me caressant, serrant un peu les couilles « A genoux ! » Je m’exécute immédiatement. Il me prend la tête, me frottant la bouche contre son jeans à l’emplacement ou je sens sa queue gonflée sous le tissus. Pour être mieux installé, il va s’asseoir dans le canapé et me demande de venir me mettre à genoux entre ses jambes pour continuer de me frotter à lui. Au bout de 10 bonnes minutes de ce traitement un nouvel ordre « Vas mettre tes menottes aux poignets et chevilles ! » Je le laisse donc le temps d’aller les chercher et me bats un peu ensuite pour les mettre tout en reprenant ma tâche. Il m’attache alors les mains dans le dos a l’aide d’un mousqueton. Après quelques minutes de ce traitement, il ouvre sa ceinture et son jeans pour en sortir une belle pine bien dure. En quelques secondes, je me retrouve la bouche bien occupée à sucer et lécher cet objet tant convoité. Je m’applique à la prendre le plus loin possible mais pas encore assez selon mon maître qui me le reproche et me pousse à en avaler plus. J’essaie de contrôler au mieux des hauts le coeur pour en prendre plus en bouche. Il semble plus satisfait cette fois ci. Il me laisse profiter de sa queue un moment durant lequel il ouvre mon tshirt afin de pouvoir jouer un peu avec mes tétons. Il m’ordonne de quitter le short et de me mettre dos a lui afin d’examine mon cul. Ses doigts commencent alors à l’explorer en le caressant. Il me demande de lui apporter la barre d’écartement afin d’immobiliser mes pieds. Une fois mis en place, je suis contraint de ne pas bouger sous peine de perdre l’équilibre puisque mes mains sont toujours attachées dans mon dos. Il se lève alors et passe derrière moi en direction du lieu ou est rangé le matériel. Je l’entends prendre quelque chose. Il revient et me passe un harnais de tête avec baillions car il n’a pas envie de m’entendre me plaindre pour la suite des choses. Il me fait écarter les jambes afin que mon cul soit bien à disposition, et il commence alors à vouloir m’ouvrir, tout d’abord en caressant mon trou offert, puis en introduisant un doigt. Face à la résistance il s’accroupit pour me lécher et m’humidifier. Je commence à gémir doucement tellement c’est bon. Il reprend alors le travail avec son doigt, il joue avec, le frottant dessus, puis le rentrant u peu avant de le ressortir. Bien entendu ce jeu me donne qu’une envie, avoir envie de lui et de sentir sa queue en moi, mais je sais que cela il le décidera le moment venu. Après un bref travail au doigt il s’absente a nouveau en direction du rangement de matériel et revient avec un nouveau jouet. Je sens du gel couler sur mon trou puis un objet lisse et froid appuyer contre. Je reconnais un plug à la forme. Il pousse, doucement mais fermement. Malgré mon entraînement régulier le plug ne passe pas, j?ai mal. Je ne sais pas si c’est le stress, la fatigue ou le manque préparation, mais il ne veut pas rentrer. Devant mes cries et mes soubresauts mon maître comprend qu’il y a un problème. Il s’arrête et me demande ce qui se passe. Il comprend alors qu’il va falloir commencer plus petit, et il va chercher un plug de taille inférieure. Celui ci entre non sans difficulté mais au moins avec une douleur moindre. Il repasse alors devant moi en me disant que maintenant je ne devrai pas le perdre, et il prend alors les pinces à linge, le parachute et une chaîne. Il commence par me poser 2 pinces sur chaque téton, puis 3 sur les cotes et 3 aux niveaux des abdominaux enfin une au nombril. Il fixe alors le parachute et relie à l’aide de la chaîne le parachute et la barre d’écartement, entraînant une traction des couilles qui m?oblige à plier les genoux si je ne veux pas trop souffrir. Il commence alors à « caresser » les pinces en jouant avec elle comme un pianiste avec son instrument, m’arrachant à chaque passage de petits gémissements. Durant ce « concerto » il m’enlève mon collier cadenassé pour le remplacer par un large collier en cuir avec point d’attache, je m’attends donc à devoir changer de position sous peu. Il retourne s’asseoir sur le canapé face à moi, et détache la chaîne de la barre. Tout en la ardant en main et en tirant régulièrement dessus il entreprend de me parler, me faisant constater que depuis déjà presque une heure il me faisait souffrir par différents moyens et pourtant je continuais de bander quoi qu’il fasse. Par conséquent il en déduisait que j’aimais ça et qu’il pouvait continuer. C’est vrai que j’aimais ça, mais c’est dur à entendre. Il sait que j’ai du mal avec mon image de slave et c’est en toute connaissance de cause qu’il veut me le dire en me regardant bien en face pour que je comprenne bien que je suis à lui et que quoi qu’il fasse j’aime ça et je l’accepterai. Il entreprend de m’enlever petit à petit les pinces à linges. Si le nombril ou les côtes se sont avérés pas trop douloureux, les abdos et surtout les tétons m’ont arraché des cries heureusement étouffés par le baillion. Il me libère les mains ainsi que de la barre et m’ordonne d’aller dans la chambre avec poppers, capotes et gel. Le moment si attendu va arriver, il va me prendre et je vais enfin le sentir en moi !!!

Une fois dans la pièce il appuie sur ma tête pour m’indiquer qu’il me veut à genoux. Là il enlève le harnais de tête afin que je le suce à nouveau. Après 5 mn de ce traitement il me pose un écarteur buccal afin de mieux profiter de ma gorge. Sans contraintes possibles de ma part, il pousse sa bite le plus loin possible. J’ai du mal à respirer et énormément de mal à réprimer des hauts le coeur. Je manque régulièrement de vomir. Il sourit de me voir ainsi à la limite de l’étouffement. Après avoir bien fait rendurcir sa queue il m’indique qu’il souhaite me voir à 4 pattes sur le lit. Il fixe alors une corde au niveau du collier pour que je ne puisse pas trop bouger la tête, et attache également mes poignets au niveau du lit. Me voici avec le haut du corps immobilisé, totalement à sa merci, bavant partout car l’écarteur me fait saliver un maximum. Il me fait sniffer un peu de poppers, et me libère du plug afin de voir mon trou bien ouvert. Il en profite pour y passer un puis deux doigts et jouer un peu avec mon cul. Il passe une capote et commence à s’enfoncer en moi. Avec la préparation précédente point de douleur lors de son entrée mais de suite le plaisir de le sentir enfin me prendre. Je commence à gémir. M’ayant prévenu qu’il était endurant, il me donne la bouteille de poppers dans une main afin que je puisse me gazer autant que besoin. Commence alors une chevauché ou il alterne longs coups lents et petits mouvements secs. Malheureusement, si le travail m’a préparé à sa largeur, la longueur me pose encore problème et je souffre de le sentir si loin en moi. Malgré le poppers, je me débats régulièrement car je ne supporte plus la douleur. Mes gesticulations l’énervent et il se retire. Il va prendre une corde et me fixe les pieds de chaque coté du lit. Je suis totalement immobilisé. Impossible de faire le moindre mouvement. Il me reprend alors directement et cette fois ci avec force et vitesse. J’alterne pour ma part entre plaisir et douleur, et le poppers ne m’aide pas vraiment car trop fort j’évite de l’utiliser me sentant mal après chaque inspiration. De son côté mon maître m’utilise comme il le souhaite, profitant pleinement de mon trou offert. Me sentant totalement à sa merci, mes cries ne font que le stimuler d’avantage et il me baise sans retenu. Ses coups se font de plus en plus secs et je le sens se crisper dans un dernier mouvement et se retirer au moment ou il jouit (un accord entre lui et moi). Il s’affale alors à mes côtés, essoufflé, secoué de spasmes. Nous restons ainsi quelques minutes afin de récupérer et d reprendre nos esprits. Il me détache alors et part prendre une douche. Pour ma part je range le matériel sorti et la pièce. Il n’est que midi, il reste encore 3 heures avant son départ.

 

 

 

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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