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Jeudi 15 mai 4 15 /05 /Mai 02:23

Mon Maître ce soir n’est pas content car il a lu le dernier compte rendu et y a trouvé des fautes de frappe autant que d’orthographe. Pour m’apprendre à faire attention au style il a décidé de me donner une leçon.

Il veut tout d’abord me voir la gueule bien ouverte, donc écarteur buccal au maximum afin de bien me faire saliver sur la suite des évènements. Il me dit que je vais sans doute avoir quelques crampes aux mâchoires car je vais devoir le garder pendant près d’1h !

Ensuite il demande les pinces à punition (des pinces japonaises). Dès la pose, il sait que je souffre car elles sont très serrées. Il est alors heureux de me voir me crisper lorsque je les installe sur un téton puis sur l’autre. Il me laisse alors ainsi quelques minutes, bavant et souffrant devant lui afin que je comprenne bien que ce type d’erreurs ne sont plus à faire. Satisfait de mon endurance il décide de passer à la vraie punition et me demande d’accrocher non pas une mais 2 chaussures à la chaînette reliant les pinces. Dès la première chaussure les larmes me montent aux yeux. Au bout d’à peine 2mn la douleur ne devient plus supportable et pourtant la seconde chaussure n’est pas encore attachée. 1mn de plus et je craque annonçant à mon maître que je ne respecterai pas ses ordres que je n’en peux plus et tant pis pour les conséquences mais je lui désobéirai. C’est en me tordant de douleur que je détache les pinces. Des points noirs dansent devant mes yeux et il me faut quelques longues minutes avant de retrouver mon souffle.

Pendant ce temps mon maître est resté silencieux attendant que je me remette. Une fois mes esprits à peut prêt retrouvé, il me demande ce que je pense de lui à ce moment précis. Ma réponse ne se fait pas attendre « actuellement je vous déteste ». Je n’arrivais pas à comprendre comment un maître que j’avais toujours trouvé juste (parfois dur soit mais jamais injuste) pouvait avoir voulu me faire si mal pour une erreur si insignifiante. Je lui demande donc pourquoi il m’a demandé quelque chose qu’il savait hors de ma portée. Il me dit qu’il avait parfaitement conscience que je n’étais pas capable de tenir cette punition : il voulait savoir si je pouvais encore lui dire non. Il était satisfait de la réponse, car un slave doit aussi être capable de définir ses limites et ne pas tout accepter simplement car son maître le décide.

M’ayant vu souffrir en retirant les pinces il a bien compris que je ne simulais pas et que nous avions atteint là une limite « physique ». Par conséquent il décide de stopper la punition à ce moment là, mais je devais quand même continuer avec l’écarteur le temps imposé. J’ai donc terminé l’heure à me baver dessus face à lui, tout en poursuivant notre conversation. Le lendemain, c’était bien la première fois que j’ai des courbatures aux mâchoires suite à un plan, au moins je mastique plus fort maintenant.

J’ai donc bien retenu la leçon maître : un slave peut dire « Encore » mais aussi « Stop » ensuite au maître de juger si cette demande est pertinente.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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