cyberslave

Nombreuse étant les demandes pour en savoir plus sur mon maître voici quelques informations supplémentaires sur lui.

   T…acticien

   R…ésolu

   E…xcitant

   M…aître

   A…utoritaire

   T…entateur

Maître Mat

27 ans

1m75, 56kg, typé européen, rasé ou épilé,

cheveux bruns yeux marrons,

actif | dominateur | Safe | sexe 20x4

Trip :

Plans à 3, Embrasser, Fellations, Bondages, Godages, Seins, Sodomie, Caresses, SM, Anulingus, Fist, Accessoires, Partouzes, Abattage / Tournantes, Uro, Dogtraining, Cuir, Latex, Chaussettes, Baskets, Massages, Fessées, Fétichisme, Lutte, Lycra, Odeurs

Je ne reprendrai pas ici l’argumentaire développé dans « Qu’est ce qu’un bon maitre ? ». Ceux intéressé par ses qualités mentales peuvent s’y référer. Je vais profiter de cet article pour vous décrire un peu mieux celui qui me guide vers nos désirs communs (conscient ou inconscient).

Loin de la panoplie des pseudo dominateurs aux muscles saillant et aux harnais clouté, en simple jeans et avec un regard il sait imposer sa volonté sans contestation possible. Il a compris que si un décor et des accessoires favorise le jeu qu’est la domination, ce n’en est pas l’essentiel. Tout est dans la tête que ce soit pour le domi ou pour le soumi ! Bien sur le jeu peut être pimenté d’une certaine dose de violence qui joue un rôle essentiel, mais la souffrance n’est pas le but premier.

Certains ont dit qu’il était trop « gentil » lors de son dressage. Peut être alors faut il expliquer un des fondements de son éducation : la souffrance physique est un accessoire, un moyen de conditionnement et non une fin en soi !! Soit, il n’y a pas de domination crédible sans punition et plus précisément sans corrections physiques, c'est-à-dire sans un peu de souffrance. Ces contraintes doivent être suffisamment fermes pour inspirer un peu de crainte et de la motivation. Mais, cette violence ne doit pas occulter le jeu psychologique, ni le plaisir (que ce soit du domi et aussi du soumi). Pour cela elle doit être adaptée à la réaction du slave que ce soit en intensité ou en durée ; l’entraînement est là pour amener le slave à se dépasser et non à le broyer.

Pour la qualité de dressage, sa patience, son imagination et sa justesse je tiens à lui présenter par cet article mes respects.