cyberslave

Cela fait déjà une 1h30 que je suis pluggé quand enfin Maître Pierre et moi arrivons à nous croiser en étant sur de ne plus être dérangé.

Il me demande de passer un boxer latex et un tshirt bien serré. J’ajoute de mon propre chef un collier en cuir pensant que ça lui ferait plaisir. Je me montre alors à lui, et en effet il m’estime prêt.

Voyant que je tiens bien le plug 2, il me demande de passer au modèle suivant. Après autant de temps d’adaptation, il rentre sans trop de difficulté. Pour être sur qu’il soit bien en place il me demande de tapoter dessus et de jouer un peu avec. Afin que je le garde bien, il me demande alors de remettre le boxer, ainsi il est sur que je ne le poserai pas. Pour compléter ma tenue, il ajoute les menottes aux poignets et chevilles, et précise que désormais elles font partie intégrante de toute tenue présentable, tout comme le collier.

Maintenant qu’il m’a vu, il souhaite que je retire le short afin de pouvoir me travailler les couilles. Il va falloir que le plug reste en place sans aide extérieur. Le parachute est fixé, tout comme la barre d’écartement aux chevilles, les deux étant relié par une corde afin de maintenir mes couilles en traction. Satisfait de l’installation, il souhaite tester ma résistance à la douleur. 2 pinces à linge sont placées à l’intérieur de chacune de mes cuisses. Voyant que je réagis bien, il en ajoute 2 autres. Son but ce soir, être progressif afin de se faire une idée d’où il peut m’emmener. Pour corser la situation, il me fait retendre un peu la corde ce qui m’oblige à maintenir les genoux un peu plié. Pour me féliciter de mon endurance, il m’autorise à me masser les couilles quelques minutes à travers le parachute : association de plaisir et douleur, depuis les quelques jours ou nous parlons et ses premières approches, j’ai bien compris que c’est l’un des moyens qu’il préfère utiliser afin de maintenir au mieux mon excitation malgré les contraintes. Après ce bref répit, il décide de changer la donne en me faisant enlever la barre pour la remplacer par quelque chose de moins statique : une Caterpillar. Ce poids improvisé, il me fait le balancer par des mouvements de bassin pour qu’il tire au maximum. Dans le même temps je peux reprendre la séance de massage des couilles. Ces moment de plaisir me font presque oublier les douleurs, mais elles se rappellent vite à moi lorsque la chaussure frôle trop une des pinces et tire dessus. Les pinces justement, il est temps d’en rajouter : une sur chaque téton pour commencer puis 2 de plus par jambe, enfin, 4 pinces sur chaque coté du torse.

En prévision de la suite, il me fait poser la muselière : il veut que je prenne la Cat et que je la lâche depuis le niveau du parachute. Ce baillon est le bienvenu car il a évité de réveiller le voisin ! Même de peu haut, la douleur a quand même été assez foudroyante. Pour me permettre de me reposer, il m’autorise à me mettre en position de repos (à genoux, mains derrière le dos). Mais là j’ai un problème, soit ça libérerait mes couilles du poids de la chaussure, mais les pinces qui tirent déjà beaucoup sur les cuisses, ont été posé debout, le fait de m’accroupir tendant les muscles, elles allaient faire encore plus mal. Un premier test me le confirme. J’en fait part à maitre Pierre et celui-ci décide alors qu’il n’y aurait pas de repos, et qu’au contraire les oscillation de la chaussure devraient augmenter pour compenser mon refus. Après 5mn de ce traitement il me laisse le choix : entre retirer les pinces et changer de gode ou garder le gode et ajouter plus de pinces. Au vu de la douleur sur mes cuisses, la décision est rapide !! Bien sur, le retrait ne concernait que les cuisses et non pas l’ensemble. Pour tenir mes engagements, je passe donc au plug suivant et c’est le 4 qui rentre. Un peu de mal, mais il va au fond, toutefois, celui-ci tient très mal en place (les concepteurs de ces jouets les essayent ils ?? je me le demande). Comme je dois le garder un moment, je peux remettre le short par-dessus pour le maintenir en place. Pour me récompenser de mon endurance, je peux enlever les pinces que j’ai sur le torse. Même si je pouvais tenir encore un peu de ce coté là, je suis quand même soulagé de les poser.

Aimant beaucoup me voir en dog, il me demande de me mettre à 4 pattes. Pour pimenter les choses, la muselière est remplacée par l’écarteur buccal. Afin de me faire baver un peu et accentuer le coté dog, il me demande de garder la langue pendante. Dans cette position je ne peux plus lui répondre et il profite alors de la situation pour bien me décrire ma place et toutes les contraintes qui me rappellent que je suis là pour le servir et lui donner satisfaction. Lorsque je dois approuver une remarque c’est en remuant la queue que je dois m’exprimer. Déjà 10 mn de ce traitement, et je peux me masser la queue et me branler tout en restant ainsi au sol encore 5mn. En bonus je peux ôter les pinces qui restent sur les tétons.

Après ce petit quart d’heure de dogtraining, je peux retirer le short et me mettre en position de repos, cul au sol afin de maintenir le plug enfoncé. Pour que je lui montre à quel point j’ai apprécié le traitement qu’il m’a infligé, il veut que je me branle et que je jouisse. C’est en me trémoussant sur le plug que j’ai accomplis cet ordre avec plaisir : comment ne pas avoir envie de satisfaire un tel ordre surtout avec les exercices de frustration qu’il m’impose chaque jour.

Heureux de mon explosion, il m’explique que si le plan était un peu désordonné c’était volontaire. Il voulait tester ma capacité à passer d’un trip à l’autre rapidement afin de voir ma réactivité (et par la même occasion tester certains de mes jouets). Il est très satisfait de moi, mais précise que maintenant il commence à mieux me connaître et donc pourra plus facilement pousser les plans. Nous verrons ça bientôt mais en attendant, il me laisse ses instructions pour la suite : conserver le plug encore 10mn et taper le rapport de cette séance. C’est ce que je viens de finir ;)