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Dimanche 18 octobre 7 18 /10 /Oct 03:26

Cela faisait déjà quelques semaines que Master A et moi nous nous cherchions (c’est surtout moi qui l’allumais, j’avoue). Ce soir il a enfin accepté de s’occuper de moi. Je me prépare donc et installe la playroom. J’avais été prévenu qu’il était un peu (voir beaucoup) sadique, et j’étais donc curieux de voir ce qu’il allait imaginer et ce que je pourrai endurer.

Je me présente donc à lui nu. Il commence par « m’habiller », collier marqué slave (première fois qu’on me le demande celui là), harnais, jock en cuir, menottes poignets et chevilles. Il veut commencer par un travail des tétons. Un peu de poppers et je pose les pinces soft. Lorsqu’il me demande de tirer dessus, il constate qu’elles se détachent facilement, il change donc pour les pinces hard. Il me demande de tirer dessus. Je commence doucement, mais suivant ses indications, je force un peu plu. Lorsqu’il me voit grimacer il en déduit que c’est suffisant, il me fait tenir quelques secondes, puis relâcher. Une bouffer de poppers pour faire passer un peu la douleur et on recommence. Ce petit jeu va durer 5mn. Il veut a présent passer à un peu plus hard. Je fixe un anneau à la chaine qui relie les pinces, et je l’attache à la corde pendant du plafond. A présent je ne peux plus m’en éloigner sauf à tirer sur les pinces. Il exige alors que je me baisse et ne stoppe qu’à son signal. Dur de s’éloigner en sachant ce que je vais endurer. Je me baisse u peu, puis petit à petit, un peu plus. La chaine comme la corde sont à présent bien tendues. Je m’éloigne encore un peu. A présent les pinces mordent bien la peau et j’ai vraiment mal. Il exige que je m’arrête et garde la pause quelques secondes. Enfin, je peux me redresser, mais juste le temps de sniffer pour ensuite redescendre. Je vais recommencer encore 3 fois cet exercice avant de le supplier d’arrêter. Il décide de libérer mes tétons et de passer à autre chose. Le retrait des pinces est vraiment douloureux !

Master A décide de me travailler à présent les couilles. Je retire l’avant du jock afin qu’elles soient accessibles. Je fixe le parachute, puis une Cat. Il trouve cela trop léger et me fait ajouter la seconde. A présent qu’elles sont bien étirées, il veut que je les balance de plus en plus fort. Une fois à l’amplitude maximum, je dois tenir la cadence et faire qu’elles ne ralentissent pas. A chaque mouvement, mes couilles sont étirées un peu plus. Au out de quelques minutes, il me demande de les prendre en mains, de les monter à hauteur du nombril … et de lâcher. Si stopper le mouvement de balancier a été avec plaisir, j’ai eu du mal à me résoudre à les laisser tomber. Prenant mon courage à 2 mains (ainsi que les pompes), je les laisse finalement aller. Comme je le redoutais, la douleur est fulgurante et va de mes couilles à ma hanche. Le premier cri ne lui ayant pas suffit, il m’ordonne de le refaire. J’ai encore plus de mal à obéir. Même résultat, mais en plus douloureux. Je peux enlever le parachute pour passer à la suite.

On change de « jeux ». J’insère l’œuf pour electro dans mon cul. Pour être sur que je ne bouge pas trop pour la suite, il me fait fixer le humbler aux couilles, et me fait me placer à 4 pattes. Ainsi, si j’ai u mouvement de recule, je vais tirer dessus. Vu le travail précédent, je me dis que j’ai intérêt à ne pas trop gigoter. La puissance de l’appareil va de 0 à 60, la fréquence de 2 à 160. Il commence par jouer avec la puissance : 10, 20, 30, fréquence 2. J’ai l’impression de me faire pénétrer toutes les 2 secondes par une bonne bite, c’est assez plaisant. A présent, il joue avec la fréquence : 10, 30, 50, 70. C’est à présent comme des couts très bref à l’intérieur de moi. Maintenant, il augmente les 2 simultanément. On arrive finalement à 50 de puissance et 140 en fréquence. J’ai l’impression que le courant est devenu continue, ne sentant plus les différentes phases, me sentant juste constamment « crispé » de l’intérieur. Il me laisse ainsi durant plus de 5mn avant de me dire d’arrêter. Je commençais à bien transpirer sous la tension. Il me dit qu’il en a fini avec mon cul pour le moment mais pas avec l’électo, que je peux retirer l’œuf et le humbler.

Master A se décide à travailler ma queue. Il me fait fixer les pinces électro, une à la base et l’autre sur le frein. On recommence le même traitement que précédemment en cherchant la puissance maximum avant de monter progressivement la fréquence. Il va alterner décharge puissante mais fréquence lente et coup faible mais rapide en passant parfois par fort et constant. Ce traitement va durer plus de 15mn. Il espérait me faire jouir (ou en tout cas m’approcher de la jouissance) comme cela, mais ça a eu l’effet inverse et j’ai totalement débander. Satisfait tout de même de ma résistance, il passe à autre chose et je peux retirer les pinces.

Mon cul déjà travaillé par l’œuf l’intéresse et il veut en voir les capacités. Pour débuter le travail, il veut le spéculum. Je le rentre donc et tourne la molette. Je m’ouvre doucement mais surement sous la contrainte des 2 lamelles. Quand je suis totalement offert, il me fait inspecter mes parois avec un doigt. Ravis de la vu, il accepte une de mes demandes : une connaissance m’avait parlé de se faire vider du Perrier quand on est ainsi ouvert. Je prends donc de cette boisson dans un verre et m’en injecte directement dedans avec une seringue. La sensation est très étrange, un peu comme un lavement glacé (il sortait du frigo) mais qui mousse dedans. Dur à expliquer, mais pas désagréable. Je pense même que l’effet doit être plus important avec du Schweppes vu que les bulles sont plus grosses.

Vu que mon orifice est chaud, il veut passe à l’étape supérieure : je ferme et retire le spéculum pour passer au chapelet de boules. Sur le dos, jambes en l’air, je rentre la première. Elle n’est pas très grosse donc ave le travail précédent ça va. Poppers, puis je rentre la 2eme. Là également pas de difficulté. Encore un peu de poppers, et je passe à la 3eme. Là c’est plus difficile. J’arrive finalement à la rentrer avec un peu d’effort. Sans me toucher, il veut que j’en ressorte 2 avant de les réintroduire. J’arrive sans problème à les enlever, les remettre se fait plus facilement. Je répète l’opération encore 2 fois avant de toutes les faire sortir définitivement.

Pour être certain que je suis vraiment ouvert pour la suite, il me fait prendre le gode gonflable. Je le rentre au maximum et commence a pomper au rythme qu’il m’impose. 5, 5, 2, 1, 2. Je dégonfle. Poppers. On reprend : 10, 5, 2,2. A nouveau, je vide l’air. Poppers. 20 !! Je me sens vraiment écartelé ! il veut 2 de plus mais je demande grâce. Il choisit donc de changer d’outil et de laisser le gonflable pour le gode n°6. Je le pose au sol, et doucement m’empale dessus. Quand je suis assis « confortablement » sur sa base. Il me fait écarter les jambes afin d’avoir en vu mes couilles et m’ordonne de mettre quelques claques dessus comme punition. Après une dizaine, je peux débuter un limage lent, puis de plus en plus rapide. Je dois aller à la limite du retrait puis me ré-enfoncer jusqu’à la base. Je vais alterner les vitesses de limage et les positions durant près d’un quart d’heure. Il est déjà tard, mais il veut encore faire une chose avant de mettre fin au trip. Je prends le gode n°5. S’il est moins large que le précédent, il est en revanche bien plus long. Il me demande de m’asseoir dessus au maximum. Les 10 premiers cm sont faciles. Les 8/9 suivant ça va. Ensuite j’avoue peiner. J’arrive à grappiller un peu encore avec l’aide du poppers, mais très vite je suis bloqué. Il me fait faire quelques vas-et-viens dessus afin de gagner encore un peu, mais je suis loin de la base. Au bout de 10mn, il met fin à mon supplice.

Avant de quitter, il me demande un gros plan de mon trou après exercice. Il adore en voir les bords gonflés et me qualifie de « gourmand ». Même si je ne suis pas un « vrai maso » qui prend son pied dans la douleur, il me dit que je me débrouille bien ; un compliment venant d’un domi axé sur le sadisme. Si on remet ça, il faudra que je fasse attention car il m’a dit avoir eu pleins d’autres idées…

Au final, un plan ou j’ai mieux tenu que ce que je pensais, et ou je me suis bien éclaté, même si certains souvenirs sont douloureux (mes tétons ont été traumatisés pendant quelques jours). Je pense que niveau douleur et maso, avec ce plan, j’ai atteint mes limites.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber - Communauté : BDSM
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