cyberslave

Comme régulièrement depuis quelques mois, j’ai rdv avec le master italien. Ce soir il me veut en cuir, short de chasteté, t-shirt, collier, et bien sur, plug n°2 en dessous. J’allume la cam et me mets à 4 pattes, prêts aux ordres.

Il commence par un ordre très « classique », prendre un gode et le lécher dans cette position. Je passe ma langue dessus, remontant de la base vers le haut, tournant autour du gland. Ensuite, je mets juste le bout en bouche, puis je descends doucement vers la base. Petit à petit, « j’avale » le gode de plus en plus loin pour le plus grand plaisir de mon spectateur. Il me laisse me défoncer le gosier durant 5 mn avant de m’arrêter. Il m’annonce que comme toute bonne chienne, je dois savoir lécher les chaussures de son maitre, il m’ordonne donc d’aller en chercher une et de la pauser au sol pour la nettoyer. Je passe donc ma langue sur le cuir afin de bien la faire briller. Il veut que je mette régulièrement mon nez dedans afin de respirer l’odeur qui s’en dégage pour la substituer au poppers. Petite pause, je remplace le plug par le n°3, et je reprends mon nettoyage. Quand il estime que la chaussure brille assez, il m’arrête, me fait m’asseoir sur la pointe pour qu’elle appuie bien sur le plug.

A présent, il va s’occuper des tétons, et pour être sur de en pas entendre de contestation, il me fait fixer le baillion O. Je dézippe le t-shirt, fixe les pinces à tétons lesté d’un poids. Il décide d’ajouter des pinces à linge sur mes flans. Il me trouve presque parfait. Il modifie juste la position en m’ordonnant de conserver les mains sur la tête. Il ne me reste plus qu’à ne plus bouger et à attendre son bon vouloir. Au bout de 5/6 mn, il me dit de prendre le gode vibrant, de le lubrifier et de le mettre à la vertical afin de m’empaler dessus. Il me faut un peu de temps pour en toucher la base. Quand il voit que c’est bon, il me fait activer le vibreur et refermer le short, ainsi il est sur qu’il restera bien en place. Je reprends la position assis sur la Cat, mains sur la tête.

Cela fait maintenant un quart d’heure que je résiste. Il me fait jouer avec les pinces en les bougeant et en les tournant. Certaines sont plus douloureuses que d’autres. Le gode qui au départ était très agréable, est devenu petit à petit agaçant puis désagréable. Il me prévient qu’il va falloir encore résister un moment et me fait reprendre la position immobile. Cela fait maintenant une demi-heure que je suis ainsi. Il m’autorise enfin à bouger et à me libérer. Je commence par ouvrir le short et retirer le gode. Ensuite je détache les pinces sur mes flancs. Les marques restent sur la peau après chaque retrait. Enfin, j’enlève les pinces aux tétons. Pour celles ci, il me demande de tirer dessus doucement jusqu’à ce qu’elles partent. Heureusement que le baillion est en place ! Je peux alors me libérer les mâchoires, mais à la place, je dois passer le mask à gaz russe.

Il veut continuer avec un petit travail de la queue. Je pose donc le ballstreatcher de 150g, un cockring bien serré. J’alterne alors branle et petites tapes sur les couilles. Il veut me voir jouir, mais pas n’importe où, il veut que je jute sur le mask. Je me place donc sur le dos, relève les jambes aussi hautes que possible et recommence à me branler. La position ne le satisfaisant pas complètement, il me fait me placer à côté du mur, et me redresser en m’appuyant sur lui. Ainsi, je fais une sorte de « poirier » et ma queue est directement au dessus de ma tête. Pour me stimuler un peu plus, il me fait remettre le gode vibrant. Je recommence à me branler. Dur de garder l’équilibre mais je m’active de mon mieux. L’excitation monte progressivement. J’arrive finalement à jouir, me rependant sur les vitres du mask qui s’opacifie au fur et à mesure.

Le domi est ravis de cette conclusion, regrette presque que ce soit sur le mask et non directement sur mon visage. Peut être une prochaine fois.