cyberslave

Voici quelques jours que j’étais prévenu, mon maître voulait organiser un plan cam en présence de 5 autres personnes. C’est non sans mal que 5 personnes ont pu se libérer pour être présent le soir dit. J’étais extrêmement stressé à l’idée de ce plan. Si des plans avec 1 autre mec avaient déjà été testés ce n’avais jamais été maté par 5 personnes à la fois. De plus certains étaient des amis à mon maîtres ce qui m’angoissais encore plus : je ne voulais pas le décevoir devant des personnes qu’il connaissait bien.

A leur arrivé j’étais bien sur en tenue : menottes chevilles & poignets, collier cadenassé, tshirt cuir, short de chasteté, plug, cagoule et muselière. Un dial entre tous les participants et mon maître a été ouvert ainsi qu’un dial privé entre lui et moi par lequel il me donnerait ses ordres. La revue du matériel à dispo leur a permis de se faire une idée des opportunités offertes par la soirée.

Pour débuter, je dois prendre la position habituelle de présentation : barre d’écartement aux pieds, parachutes bien serré sur les couilles, et une corde reliant les 2 afin de bien tirer. Les invités ne trouvant pas la corde assez tendue, mon maître me la fait réduire encore un peu afin que j’ai les jambes bien pliés et que ça tire autant sur mes couilles que sur mes cuisses. Il m’avait prévenu avant le plan qu’il comptait faire un plan intensif, ça commençait en effet comme tel !
Afin de « décorer » son slave il me demande alors de me couvrir le torse et ventre avec des pinces à linge. Je commence a savoir ou il veut qu’elles soient posées et je fais donc attention a les mettre aux bons emplacements en essayant tant que je peux de respecter la symétrie (facteur important pour lui). Les 18 pinces trouvent rapidement leur place. Mes seins étant encore libres, ce sont une paire de pinces à sein qui y est appliquée. Pour bien les faire travailler, je reçois alors l’ordre d’ôter ma muselière et de prendre la chaîne qui les relie en bouche. Je dois alors tirer dessus puis la lâcher d’un coup afin que son poids tire mes tétons dans sa chute. Apres 4/5 répétitions mon maître me fait arrêter cet exercice et poser un baillion boule. Comme il reste encore 6 pinces, je dois les répartir entre la queue et les couilles. Si les 3 pinces sur la queue peuvent être posées sans problème, ce n’est pas le cas de celle sur les couilles qui sont toujours comprimé par le parachute. La pose est déjà difficile, cela me laisse anticiper le pire pour le moment ou je pourrai les retirer.

Mon corps est presque intégralement occupé selon le bon vouloir de mon maître. Presque car il n’a pas encore joué avec le plug. Il me demande de choisir 3 godes ou plug et de les montrer en cam. Une fois fait un moment se passe. J’en déduit qu’ils sont entrain de décider lequel utiliser. L’ordre tombe : le gode noir, le plus gros des 3. Heureusement que le plug préparait le terrain depuis presque 1heure !! Même ainsi, l’introduction résiste, mais le poppers aide a faire rentrer la quasi-totalité sans trop de douleur. Après quelques va et vient, la douleur disparaît ainsi que les résistances et je suis offert à cette queue. Mon maître me fait alors prendre un autre gode que j’arrive à bloquer en moi afin de le garder sans l’aide de mes mains.

Une fois le gode bien en place, je peux alors me retourner face cam. A mon grand soulagement je peux retirer les pinces à seins puis les pinces à linges que j’ai sur le torse. La douleur étant raisonnable j’arrive assez bien à résister. Lorsque l’ordre arrive de faire de même avec les pinces sur la queue et les couilles ce n’est pas la même chose. La queue commençait à être douloureuse, c’est donc une libération que de les enlever. Alors que j’allais ôter celles des couilles mon maître me stoppe et me demande de jouer un peu avec avant de les détacher. Le simple fait de les frôler me fait mal …. Quand l’ordre arrive de les enlever l’appréhension est totale ! et elle s’avère justifié lors du retrait de la première. Profitant de la douleur je retire vite la seconde me disant que je ne pourrai pas avoir plus mal. J’attends toute fois un peu, le temps de reprendre mon souffle, avant la 3eme. C’est la plus douloureuse et je me plie en 2 sous le choc. Il me faut quelques minutes pour me remettre, pendant ce temps là je peux me déséquiper de la barre et du parachute.

Une fois à nouveau totalement disponible, mon maître désire que je montre le gros plug à ses invités. Je leur présente durant quelques minutes sans recevoir d’ordre ou d’avis. Quand mon maitre se manifeste c’est pour me dire de remplacer le gode que je porte toujours par ce plug mais avant il veut que j’y introduise 2 balles de golf. Vu le travail précédent et la taille du gode que je venais de porter durant près de 30 mn, les balles entrèrent toutes seules !!! Le plug suivit avec un peu plus de difficulté mais il trouva rapidement sa place. Afin d’être sur que le plug ne bouge pas mon maître me fait me rassoire sur la chaise, ainsi pas de risque de le perdre.

Ayant commis une erreur en parlant avec mon maître le soir précédent, il me demande de porter les pinces à seins de punition (pinces japonaises). Avec le travail précédent sur mes tétons, la pose s’est avéré délicate, et pour les avoir déjà testés quelques fois, je sais que le retrait sera une véritable torture.

Pour que le plug et les balles me défoncent bien, mon maître veux que je sautille sur la chaise. A chaque fois que je touche la chaise mon propre poids enfonce ainsi un peu plus l’ensemble. C’est dans cette position que l’ordre de jouir arrive enfin ! C’est toutefois avec difficulté que j’arrive à exploser : la douleur des tétons dont les pinces bougeaient à chaque saut, ainsi que du cul bien remplis, m’empêchant de bien bander. Finalement c’est une bonne quantité de sperme qui sortie de ma queue au plus grand plaisir des voyeurs.

Mon maître me fait alors enlever le plug et libéré mon cul des balles qui l’occupaient. Je suis alors autoriser à remettre le plus petit des plug afin que mon cul reste quand même occupé par quelque chose. Je peux également retirer le baillion. Il ne reste que le pire à venir : les pinces. Afin de bien voir ma réaction ils me demandent de bien cadrer ma tête et mon regard. Lors du retrait de la première pince, je me plie en deux, la bouche grande ouverte, cherchant de l’air, tant la douleur est vive. Après un bref temps de récupération la seconde pince est également retirée, entraînant le même résultat.

Mon maître annonce alors à tous la fin du trip.

Merci aux participants pour leurs commentaires et leurs encouragements. Même si je ne les ai lu qu’a posteriori, je suis flatté de vos remarques. Tout le mérite revient toutefois à mon maître qui me guide et me dresse régulièrement afin d’obtenir ce résultat.