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Mardi 11 mars 2 11 /03 /Mars 23:21

Mon maître m’avait prévenu dès le soir précédent : il me voulait en tenue et en forme dès 23h. A l’heure dite j’étais en tenue (short de chasteté, tshirt cuir, menottes poignets /chevilles, cagoule, muselière et plug moyen) prêt à le servir.

A sa connexion il me prévient qu’il doit s’absenter 5 mn et que je dois mettre ce temps à profit pour installer le parachute, la barre d’écartement et relier les 2 par une corde. A son retour il est satisfait de la position et du fait que j’ai bien tendu la corde afin d’être obliger de plier un peu les jambes si je ne veux pas m’arracher les couilles. L’ordre suivant consiste  prendre les pinces à linge. Spontanément je prends les pinces e pose mon tshirt mais mon maître me dit alors que ce soir il veut varier. Je dois me poser des pinces sur les cuisses et les mollets en partant du niveau du parachute jusqu'à ce que j’atteigne la barre. Chaque jambe se retrouve rapidement décoré par 8 pinces. Il en reste encore 16 dans la boite. Mon maître me fait alors les poser aux endroits habituels sur le torse hormis sur les tétons. Pour compléter le tableau il préfère que je mette les pinces à seins. Ainsi « décoré » de 32 pinces il me laisse un moment un moment pour éprouver ma résistance.

A cause de la corde attachée aux couilles et des contractures des muscles pour garder les jambes pliées, les pinces que je trouvais facilement supportable sur les jambes se révèlent être à la longue assez douloureuses. Heureux de me voir me concentrer sur l’exercice pour résister à la douleur mon maître m’encourage à tenir et c’est un bon moment que je reste ainsi. Finalement l’ordre libérateur arrive, je peux retirer les pinces et même la barre !! Une fois libre il souhaite me voir lui ramener une paire de basket. Naïvement je m’attendais à recevoir l’ordre de les lécher. Je manquais d’imagination !! Je dois accrocher la première au parachute que je porte toujours et attacher la seconde aux pinces à seins. C’est une première, et j’avoue avoir vraiment redouté la douleur de cette tension supplémentaire. Un ordre n’étant pas discutable, je m’exécute mais en relâchant la chaussure le plus doucement possible afin que la traction soit progressive. Mes craintes étaient justifiées car le poids tire sur la chaînette et donc sur les tétons. Mon maître surveille le spectacle sans se manifester, il attend le dernier de moment, celui ou les pinces sont à la limite de se détacher pour me dire d’enlever la chaussure et de l’attacher avec l’autre au parachute.

Une libération ne vient jamais sans contrepartie. Il me demande de choisir 3 godes/plug et de les lui présenter. Je prends le plug supérieur à celui que je porte, un gode et le chapelet de boules. Il décide de remplacer mon plug par les boules. C’est donc 1 puis 2, 3, 4 (avec un peu de mal) et enfin 5 (difficilement) billes qui viennent me remplir. Le poppers m’aide un peu à tenir sans souffrir et mon maître attend que je me calme. Il me demande alors une chose rare : de relever la cam et de la regarder bien en face. Cette demande me surprend car en général j’ai plutôt la tête baissée. Et là l’ordre redouté depuis ma rencontre avec lui arrive : « pose la muselière, enlève ta cagoule et remet la muselière, le tout en me regardant bien en face ! » Jusqu’à présent, bien sur, il avait vu mon visage, que ce soit par cam ou lors de nos entrevues mais jamais lors d’un plan. Mes doutes et peurs sont alors revenus. J’avais abordé une réflexion dans ce sens dernièrement, lui montrant plus facilement ma tête hors plan, me disant même que je pourrai lui faire le « cadeau » de me montrer à lui un jour en slave sans rien, mais pas de suite, pas déjà. Pourtant là j’étais au pied du mur, bien conscient que si je ne le faisais pas j’allais le décevoir et peut être même le perdre. Détacher la muselière fut facile par contre et il fallut de très longues secondes, voir même minutes avant que la cagoule ne suive … Malgré ma nudité depuis le début du plan, c’est seulement à ce moment là que je me suis senti nu. Malgré mon équipement porté bien avant son arrivé, c’est seulement à ce moment que je me suis senti slave.

Après m’avoir laisser remettre la cagoule, mon maître se lance dans un plan qu’il avait négligé depuis longtemps : un trip dogtraining. C’est donc à 4 pattes que je me retrouve regardant toujours la cam bien en face. Afin de me faire comprendre ma place et mon statue, il se lance alors dans une série de questions ou pour toute réponse je ne peux apporter qu’une réponse en remuant mon corps.

« es tu un dog ? »

« es tu une chienne ainsi remplie et équipé ? »

« es tu MON slave ? »

« es tu heureux d’être MON slave ? »

« Alors branles toi ainsi à 4 pattes car c’est la place d’un dog ! Donc interdiction de te relever tant que tu n’auras pas jouis ! »

Les boules, les pinces à seins, les chaussures accrochées au parachute et en plus la tête découverte, la jouissance fut longue à venir tant les contraintes physiques et morales étaient nombreuses. Pourtant rarement jouissance fut si bonne, peut être car malgré la violence contrainte que j’ai du me faire pour lui obéir et le fait de me présenter finalement pour la première fois comme cela devant lui ont fait que j’avais l’impression de me montrer pour la première fois à lui réellement et non pas entant qu’un soumis X mais entant que SON slave.

Une fois juté, j’ai alors pu me déséquiper totalement et discuter un peu avec mon maître de ce qui venait de se passer. Il m’annonça alors que ce ne serait pas constant mais qu’à partir de ce jour, régulièrement il me demandera d’ôter tout masque pour me présenter à lui totalement.

Pour ce moment et cette révélation à moi-même merci maître.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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