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Vendredi 22 août 5 22 /08 /Août 13:26

Pendant que certains profitent de leurs vacances pour apprendre la planche à voile, le plongeon synchronisé ou le parapente, j’en ai profité pour découvrir à mon tour une nouvelle sensation : la chasteté forcée.

Bien sur comme l’exige mon maître je ne me masturbe plus sans ordre depuis longtemps. Bien sur j’ai une cage mais qui reste trop importante pour être porté en permanence (en particulier dans la rue ou au travail).

Afin de bien remplir son rôle de gardien (geôlier ?), Xess, le domi à qui mon maître m’a confié durant ses vacances, a donc décidé assez tôt de me mettre sous CB. J’avais déjà testé quelques fois une CB (j’en ai même cassé 2) mais jamais de cette façon : j’en ai toujours eu la clé et je l’ai rarement porté non stop.

Je ne connaissais pas ce modèle (CB6000) mais il s’est avéré avoir le même problème que les versions précédentes que je connaissais : plus on essaye de l’enfilé et plus on bande, donc moins elle rentre. Une seule solution : se branler et jouir afin de bien débander. J’ai été prévenu que c’était la dernière fois que je jouissais avant un moment j’ai donc retardé au maximum le moment de la libération afin d’en profiter le plus possible. En effet une fois vidé, elle s’enfile bien plus facilement !!

La première nuit se passe étrangement bien. Je me force a dormir sur le dos ou sur le coté car j’ai la trouille de la casser (et oui c’est comme ça qu’ont fini les 2 autres, le plastique c’est sympa car ça passe aux détecteurs dans les aéroports mais ça se casse vite). Le travail ensuite avec c’est aussi passé sans difficulté. J’avais prévu un jeans un peu plus large que ceux que je porte habituellement afin de bien la cacher. J’ai porté au départ un boxer mais j’ai du me résigner à ne rien mettre car la sensation de placage de la queue avec était assez désagréable. Et puis comme ça je remplissais mieux une des consignes de mon maître : plus de sous-vêtement sauf string et jockstap (et avec la cage c’était pas la peine). La principale difficulté à été de se contrôler lorsque je sentais un début d’excitation monter. Non pas que la cage me faisait mal mais plus car j’avais peur qu’elle se voit sous mon pantalon.

Seconde nuit aussi sans problème, ou plutôt si, un problème car je l’ai en parti perdu, une de mes couilles ayant réussi durant mon sommeil a passé de l’autre coté du cockring. Ces 2 nuits sans difficultés et cet incident font dire a mon gardien que la cage est mal réglée. Premier changement : le cockring est pris plus petit. En effet là il me serre bien plus favorisant même les érections. Deuxième changement la tige qui relie le cockring à la cage est réduite ce qui provoque une légère pression au niveau de la base des couilles, mais rien d’insupportable. Il fut un peu plus dur durant cette seconde journée de se contrôler pour ne pas bander car entre le cockring et le frottement de la cage sur les couilles, il y avait tout pour m’exciter (d’ailleurs conseil pour ceux qui veulent en porter et qui comme moi ont tendance à vite mouiller de la queue, oubliez les pantalons clairs car vous aller vite avoir des traces). La cage ainsi réduite se fait également bien plus sentir lorsque je bande et si je ne me contrôlais pas très vite devenir assez douloureuse puisque plus je bandais et plus le cockring tirait les couilles en avant. Mais il est facile de se changer les idées et de se faire débander quand on est conscient, donc ce ne fut pas un gros problème.

Troisième nuit : les choses se corsent !! Je suis réveillé à 4 heure du matin par une violente douleur aux couilles, j’ai l’impression qu’on me les arrache ! J’ai du rêver ou alors bander mécaniquement et mon organisme n’a pas eu le réflexe que j’avais eu en journée pour se contrôler. L’érection étant totale, la traction sur mes couilles aussi ! Plus je bande plus le cockring fait son boulot en me maintenant rigide. Même la douleur n’arrive pas à me faire passer mon excitation. Mon gardien m’avait prévenu que je finirai a 4 pattes au milieu de la nuit et je n’avais pas compris. En situation ça devenait très clair : c’est la position qui est la moins douloureuse. Je me retrouve donc au-dessus de mon lit à 4 pattes entrain d’essayer de penser désespérément a autre chose. Mais avec cette douleur aux couilles et a la queue dur de l’oublier. Finalement après ½ heure comme ça je me résigne et c’est direction la douche froide !! Cette anecdote fait bien rire mon gardien le lendemain matin. Il s’est félicité d’avoir trouvé le bon réglage car il trouvait ça étonnant que je ne sente rien la nuit. Il m’a conseillé également de m’habituer à ce type de réveil. La journée de travail c’est passé comme la précédente.

 

Je ne vais plus raconter chaque journée car ça n’a plus d’intérêt puisque les 5 jours suivant durant lesquels j’ai gardé la cage furent les mêmes, ainsi que la semaine qui suivie (en tout j’ai fait 2 semaines de cage coupé par quelques jours de liberté).

Mais j’ai encore quelques réflexions/constatations à faire.

La première et de l’ordre de l’exhib puisque durant ces 2 semaines j’ai travaillé avec, je suis sorti en bar/boite également et j’ai été faire mon footing. Bien sur, il faut abandonner toute idée de shorts ou de pantalons moulants, mais une fois passé l’obsession des premiers jours, il faut bien constater que ce type de modèle ne se voit pas. On peut donc vivre totalement normalement avec (éviter quand même la natation c’est pas conseillé avec le maillot de bain). Et le fait de se promener au milieu de ses collègues, d’amis ou d’inconnus en se sachant ainsi équipé donne une certaine excitation supplémentaire. Une forme de plaisir exhib « privé » (si si ça existe j’en suis sur comme comportement).

Seconde réflexion : baiser (ou plutôt se faire baiser) avec cette contrainte est difficile. Car forcement, à moins d’être frigide, l’excitation de la situation fait que l’on va bander et donc souffrir des couilles. Mais plus que la douleur c’est surtout le fait d’être dans l’incapacité de jouir et d’en être conscient qui est alors difficile. Car on sent l’autre prendre du plaisir, on en prend aussi bien sur, mais on sait que pour nous il n’y aura pas de libération. C’est sympa la première fois, mais ensuite c’est vraiment frustrant (oui je sais c’est le but de ces cages). Cela génère ma dernière remarque.

Ce système me change en salope en manque ! On peut se dire que moins on en fait moins on en a envie, et bien non !! plus les jours passait et plus j’avais envie de sexe. Entre les réveils nocturnes, les baises sans pouvoir jouir, et les situations excitantes de jour, je n’en pouvais plus. A la fin de chaque semaine je ne voulais qu’une chose : du sexe, du sexe et encore du sexe. Je ne m’attendais pas du tout à cet effet là car je pensais que la frustration au contraire allait être décroissante, qu’on s’y habituait tout comme je m’habituais à ne pas jouir sauf sur ordre. Mais les frottements de la cage et tout ce que j’ai expliqué précédemment on eu l’effet opposé et je ne me suis jamais senti comme ça, comme un drogué en manque et constamment tenté. Terrible pour le moral à la fin de chaque période, c’est ce qui a généré un repos de quelques jours entre les 2 semaines.

 

Ce fut donc une expérience intéressante qui m’a appris que la chasteté voulue et imposé n’avait pas du tout les mêmes effets pour un résultat pourtant identique : le contrôle de l’éjaculation.

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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