cyberslave

Juste avant Maitre Pierre, j’avais contacté un autre domi afin d’essayer de me « vendre », mais le dial n’a jamais abouti puisque je suis passé sous contrat. Une fois ma liberté retrouvée, nous avons donc recommencé à discuter. Ce soir il était chaud, moi moins, et il m’a proposé un plan. Pourquoi refuser une si bonne opportunité. Après tout l’appétit vient en mangeant. Une fois en tenue (nu, collier & menotte, plug) je me présente à lui en allumant la cam.

Je commence par fixer le parachute aux couilles et à préparer la poulie et les poids (les cat). Je m’allonge ensuite sur le dos, les membres en « X », cul tourné vers la cam, et je rattache le parachute à la corde qui tient les chaussures. Une fois le nœud fait, je sens alors la traction exercée sur mes couilles et lui, grâce à cette position, voit parfaitement l’étirement produit. Il me laisse ainsi 5mn, me disant d’imaginer être sur un chevalet médiéval, les membres écartelés. Trouvant mon supplice trop léger, il veut ajouter des pinces à linge. Pour commencer une sur chaque téton et 5 pinces les reliant ; puis 2 pinces sur chaque cuisse. Une fois celles-ci placées, je reprends la position, et d’une main je tire sur la corde pour faire monter les poids, puis je lâche. Estimant que la pression n’est pas suffisante, il me demande de lever les pieds et de les poser sur les cat. Ainsi dès que mes cuisses fatiguent d’être maintenues en l’air, si je les repose, elles tirent mes couilles. Durant 5mn, je vais lutter entre la fatigue musculaire et la douleur de la traction, subissant l’un pour soulager l’autre.

Passage à 4 pattes, tout d’abord de profil afin qu’il puisse voir la corde tirer le parachute, puis de face. A nouveau l’attente ! Ordre de me mettre à genoux face à lui, il veut que je joue avec les pinces, que je me caresse, que je me griffe. Je commence à trouver le temps long … je ne suis pas dedans. D’habitude je supporte ce genre de trip, à défaut d’y prendre plaisir, mais là non. Il n’y a pas ce mélange d’excitation, de plaisir, de contrainte et de souffrance ; il n’y a que les 2 dernières citées. Je lui fais comprendre en enlevant les pinces que là je sature un peu du coté maso, et que je en suis plus dedans. Il décide alors de se rabattre sur le coté salope en me faisant détacher le parachute et prendre 2 godes, un pour chaque trous. Je me remets donc à 4 pattes et de profil pour qu’il puisse tout superviser. Il m’ordonne d’aller le plus profond possible des 2 côtés. 5mn de limage intensif plus tard, je prends le gode que je suçais (le plus gros) pour le rentrer dans mon cul déjà bien dilaté. Pour être sur qu’il est a fond, il me fait m’asseoir dessus, jambes allongées. Pour me faire prendre un peu de plaisir, il me demande de  poser un ballstreatcher puis de me caresser les couilles et la queue. Quand je suis raide, il veut que je me branle, mais sans jouir.  5mn de plaisir puis je m’allonge sur le dos, cul vers la cam et je reprends un limage énergique. Changement de gode pour la taille supérieur, et à nouveau je dois m’asseoir dessus (mais à genoux cette fois, ouff). Je pose également des pinces sur les tétons. Enfin j’attache la corde de la poulie au collier ; ainsi les chaussures sont au niveau de mon visage. Les mains dans le dos, je commence alors à jouer avec en les léchant. Difficile de lécher un objet non statique !! Je passe plus de temps à courir après qu’à mettre des coups de langue dessus. Pour m’aider à me concentrer, j’ai le droit de me branler d’une main et de tirer sur la chaine des pinces de l’autre ; ça n’aide pas la langue mais ça change les idées. Pour être sur que les pinces tirent bien, il me fait attacher une ceinture autour du ventre, et passer la chainette de part et d’autre, ainsi je suis obligé de rester courber si je ne veut pas m’arracher les tétons.

Je détache la corde et retour à 4 pattes, pour un limage en règle. Il veut que je suce également un gode en gorge profonde pendant ce temps là. J’avoue que même si je m’entraine, j’ai encore du mal à le faire. Pour m’habituer, il me fait prendre un plug assez long, le mettre en gueule jusqu'à la base, et là je dois le conserver sans m’aider des mains. Pour être sur que je ne triche pas, il me fait me remettre à genoux, mains dans le dos. Je dois alors lutte cotre le réflexe vomitif, les crampes à la mâchoire (il est de bonne taille). J’ai de la chance, il ne m’empêche pas de respirer !! Pour me récompenser de ma résistance, il me laisse me branler quelques minutes, mais le plug toujours en place. De ma main libre, je dois vriller les pinces pour les amener à la limite du décrochage, et alors seulement les enlever.

Il m’annonce que je suis « libre », que le trip est fini, et que surtout il ne veut pas que je jouisse ce soir. A vrai dire, je suis tellement fatigué que cette contrainte ne me gène pas du tout ! En plus j’ai eu du mal à être dans le trip tout du long, et même si j’ai fait de mon mieux pour le satisfaire, je n’ai pas particulièrement envie de jouir. J’ai dit pour commencer que l’appétit vient en mangeant … et bien pas toujours, parfois on reste à côté ! Et ce n’est pas faute d’avoir un domi imaginatif pour nous guider !