cyberslave

Cet après-midi c’est repos, j’en ai profité pour posé un rdv avec le domi lyonnais avec qui je joue régulièrement. A sa connexion, je suis nu avec juste un collier et cockring. Il apprécie la vue.

Pour débuter, pose de 2 pinces à linge sur les tétons et pour commencer à me préparer, je m’enfile le plug n°2. Son téléphone sonne, il me demande d’attendre comme ça. Presque 1à mn plus tard, il raccroche, on peut reprendre. Maintenant c’est la bouche qu’il veut me voir travailler. Je prend donc un gode et commence à le sucer. Une simple pipe ne lui suffit pas, il veut que j’aille le plus loin possible. Pour vérifier, il me demande de me mettre de profil afin qu’il puisse bien voir ce qui dépasse. Je fais de mon mieux, mais pas facile, surtout que le gode est conséquent. 2, 3, 5 fois je tente d’aller dans l’œsophage ; le déjeuné menace à chaque fois de ressortir. Les gorges profonde, faut vraiment que je pense à les faire que quand je suis à jeun.

Satisfait de ma prestation, il veut passer à mon cul. Je retire le plug, me graisse le trou, et commence à jouer avec le gode que j’avais en bouche. Je m’installe donc sur le dos, jambes écartées, cul face à la cam. D’abord doucement, il veut que j’accélère pour limer à fond le plu vite possible. Quelques minutes comme ça, il me demande de stopper pour passer le spray anesthésiant dessus, me disant qu’il compte bien m’exploiter au max de ce coté là. Comme il faut quelques minutes pour qu’il fasse effet, je reprends le gode et je recommence à jouer avec. 5mn et je passe au gode 3, et à nouveau limage toujours dans la même position. 5mn à nouveau et il veut le gode 4. Le spray a eu le temps de m’endormir un peu la zone, il passe sans trop de difficulté. Reprise du limage. Je commence à trouver ça un peu ennuyeux, mais bon vu que je ne sens pas grand chose, c’est ni agréable ni douloureux. 5mn, il veut que je passe au n°5. Idem, il rentre en forçant un peu, mais sans vraiment le sentir. Il me dit de me déchirer avec et d’y aller à fond, car il est pressé et doit partir dans 5mn. Tout ce que je déteste chez un domi, pressé et monomaniaque, comme si une salope n’avait qu’un cul et aucune autre zone à abuser. Comme annoncé, il reste encore un peu et me dit qu’il doit couper. Fin du trip, je retire les pinces.

J’en ressors frustré et énervé, avoir bloqué 2h pour 30mn de simple godage, à la limite ça je pouvais le faire seul devant un film (je vois déjà certains domis puristes hurler en disant que le soumis est là pour être à dispo et pas pour y chercher son plaisir).

De la chance dans mon malheur, un pote soumis est connecté et on parle un peu, de tout et de rien. Je lui raconte ma déconvenue. Lui aussi à du mal à trouver des mecs qui tiennent la route. On parle matos et je luis dit que j’ai un nouveau plug n°6 & gode n°7. Il me demande à voir les bêtes. J’allume ma cam et lui montre ça. Il s’interroge sur le fait que le plug puisse rentrer. Pour lui prouver que c’est le cas, et vu comme je suis chaud et préparer, je commence à le rentrer. C’est vrai qu’il est gros !! Malgré le travail précédent, et le spray (qui commence à ne plus faire effet), j’ai du mal à le mettre et surtout je le sens bien !! Il me dit que j’ai trouvé de quoi bien me casser le cul. Je confirme. Pour faire passer la douleur, il me dit de prendre un peu de poppers et de mettre les pinces sur les tétons. Ca aide, oui, mais ça ne suffit pas vraiment comme dérivatif. Pour continuer à compenser, pose de pinces sur les couilles et la queue. Il me fait ensuite jouer avec en les bougeant, tordant, tirant. Tout en continuant ça d’une main, il me fait me branler de l’autre, et quand je suis limite, stopper pour jouer un peu avec le plug sans le faire ressortir. Quand je suis à nouveau plus calme, reprise de la branlette. Entre la douleur des pinces, le plaisir de la branlette ou du cul, je suis aux anges. Je fais ça 4 fois, stoppant à chaque fois plus difficilement. Pour finir, il me demande de me branler et d’éjecter le plug juste au moment ou je jouis. Je recommence à me masturber sachant que cette fois ci je connaitrai la libération. Je sens que ça monte, je me concentre sur le plaisir. A quelques secondes de la fin, je pousse sur le plug. J’ai du mal à le sortir sans utiliser mes mains. Finalement il sort et dans le même temps, je jouis. Mais sensation étrange, ce n’est pas le plaisir tant attendu qui domine mais la douleur de mon cul. C’est assez particulier de ne pas trouver du plaisir là ou en attendait tant.

Finalement, j’aurai plus appris et apprécié un plan avec un soumis qu’avec un domi, le monde à l’envers. Les « Top » ont toujours été moins nombreux que les soumis, mais là c’est vraiment la crise si on est amené à se « gouiner » entre nous pour prendre notre pied. D’un autre coté, c’est sans doute mieux de se faire du bien entre nous plutôt que d’être frustrer chacun chez soit à ne rien trouver.