cyberslave

Samedi soir, 21h, je me connecte avec une petite appréhension car je dois passer la soirée/nuit avec Maitre Pierre, et il a soufflé le chaud/froid durant toute la semaine sur ce moment. Je ne sais donc pas du tout à quoi m’attendre ni sur son état d’esprit ni sur le trip ! On verra bien, il n’est pas encore là, j’en profite donc pour me préparer et manger.

A son arrivée, nous échangeons quelques banalités : il est de bonne humeur, voir même bavard ! Ca me rassure, il est dans une période d’indulgence. Nous allons parler de divers sujets durant près d’1h30 sans que cela dérive vers un trip. Pourtant nous parlons dressage, ses envies, ses doutes à mon sujet sur certains points, bref s’il avait voulu il aurait été facile de glisser vers du hard réel. Au bout d’un moment il me demande si je suis pluggé. Je lui dis que non. Bien qu’il trouve notre conversation agréable, il estime qu’elle serait encore meilleure une fois remplis. Je passe donc le n°2. Nous reprenons notre verbiage comme si de rien était. Au bout de 15mn, il veut que je joue un peu avec puis que j’aille chercher tout le matériel. Il doit s’absenter 5mn à son retour il me veut prêt et en condition.

Lorsqu’il réapparait, je suis à 4 pattes, la langue pendante, prêt à obéir. Ce soir il veut un travail des couilles et un travail anal poussé. Pour cela j’aurai 2 aides : un spray décontractant et le masque a gaz pour poppers. La soirée promet donc bien d’être hard ! Il me demande de pulvériser le spray sur mon anus et de jouer un peu avec mes doigts pour en mettre également dedans, ensuite repose du plug, ainsi que du parachute. Je fixe ce dernier à une corde pendant d’une poulie au plafond, et j’attache à l’extrémité une Cat. Voyant la corde bien tendue, il est satisfait de l’installation et me prévient que je suis parti pour un quart d’heure de traction. Pour équilibrer l’exercice il me fait ajouter 2 pinces à linge sur les tétons, ainsi qu’une sur la langue pour me forcer à baver « de plaisir ». Pour accroitre la tension, il me fait tirer la corde afin de monter la chaussure, puis la lâcher pour la faire tomber. Pas facile de tenir les élans que cela génère à chaque chute mais je résiste, et ce traitement dure durant près de 5mn. Selon lui tout est dans la durée et la répétition, car un bon slave doit pouvoir reproduire tout geste, acte, exercice durant le temps voulu par le maitre. Content de moi, il me fait venir ainsi au clavier parler durant le temps qu’il reste. Finalement je peux ôter le parachute et les pinces, il veut en effet s’attaquer à des « choses plus profondes ».

Je place autour de moi un maximum de godes, plug, boules, spéculum afin de ne plus avoir à chercher, car une fois bien gazé, je me vois mal chercher quelque chose. Je passe le masque, et Maître Pierre me demande de rester pour le moment sans poppers mais de repasser un coup de spray. Ce n’est pas un anesthésiant car je sens encore mon cul, mais c’est vrai qu’il offre moins de résistance. Pour commencer doucement, je prends le gode 2 et je débute de lents vas et viens. Il constate que cela passe facilement, il me passe un peu sous poppers et me demande d’accélérer le mouvement. Il me prévient qu’à partir de ce moment là, je vais alterner poppers et air libre pour tout le reste du plan avec des périodes plus ou moins longues sous masque. Au bout de 10mn, il veut le n°3. Il compte y aller lentement mais surement afin de voir ma capacité maximale. Je branle activement mon trou avec ce nouveau gode. J’alterne les rythmes, parfois rapide, d’autres plus lents, en entrant vite et sortant lentement, bref je fais tout pour m’ouvrir au mieux (et que ce soit agréable…). A nouveau, au bout de 10 mn il me demande d’arrêter et de lui présenter mon cul en gros plan afin qu’il juge de l’ouverture. Il exige que je repasse du spray et que je prenne le gonflable. Je m’installe sur le dos face a la cam, ainsi il a une vue directe sur mon trou lorsque le gode sort. Une fois bien enfoncé, je dois le gonfler à 5 et commencer à me limer. Ca va, le calibre reste acceptable, et c’en est même agréable. Profitant du passage au poppers, je donne 2 pressions supplémentaires. Je continue à m’activer lorsqu’il veut que je monte à 10. Je donne donc les 3 gonflements manquants. Je me sens très ouvert ! Il me dit qu’il reste 3 mn avant les 10 qu’il s’est fixé pour chaque objets, durant ce temps là, sous masque et poppers, je dois me branler au maximum tout en me limant, mais sans jouir. Il veut que je prenne du plaisir à être ainsi ouvert et offert. A son signal, je stoppe et enfile le plug 5 pour venir au clavier parler avec lui. Ces minutes de répits me permettent de retrouver un peu mes esprits. Ca ne m’empêche pas d’être un peu sonné quand il me dit avoir comme objectif de faire rentrer le dogtail de 7cm de diamètre.

Après cette pause, passe de spray et nous reprenons. Je pose le gode 4 debout sur le lit, et progressivement, je m’empale dessus. Il me faut 3mn pour engloutir les 22cm de long et les 5.5 de diamètre, mais il va me falloir encore bosser si je veux remplir ses objectifs !! Pour m’habituer à la taille, il me laisse faire quelques montées / descentes ainsi, puis me demande de passer à 4 pattes cul vers la cam pour un travail plus énergique. A nouveau c’est donc par séries de 10mn qu’il compte me travailler. J’avoue qu’à ce stade, le poppers est vraiment nécessaire pour tenir. L’exercice suivant sera au spéculum. Couché sur le dos, les cuisses bien écartées afin qu’il ait une vue directe sur mon trou, je glisse l’objet puis je tourne la visse pour l’ouvrir. Je l’ai rarement utilisé, et rarement après autant de travail. La sensation est étrange de sentir l’air entrer et de se voir ainsi. Pour que je prenne bien conscience de mon état, il me fait jouer avec mes doigts et caresser les parois. Au moins là je n’ai pas à bouger, et à m’activer, je dois juste tenir l’ouverture. Si c’est « facile » au début, je commence quand même à avoir mal au niveau des points de contact entre les arrêtes et mes muqueuses. Cela fait quand même 2h que le trip a commencé et que j’ai enfilé mon premier plug ! Avant de poursuivre, je passe donc à nouveau du spray et redose la cartouche de poppers. Pour le gode 5 même programme que précédemment : debout sur le lit afin que je m’empale dessus. Malgré toutes les aides, j’ai du mal à mettre les derniers cm et il me faut bien 5mn pour réussir à approcher de la base. Pour être plus efficace, je repasse donc sur le dos afin que Maitre Pierre puisse au mieux profiter de la vue sur son travail. Par contre, il ne déclenche le chrono que maintenant que je suis entièrement empalé, donc il me reste 10 mn de travail à faire avec ce calibre ! Régulièrement je ralentis la cadence, n’arrivant pas à accepter de garder un tel engin en moi. Les « encouragements » de Maitre Pierre m’aide à tenir (si si dans une telle situation « Branle toi le fion comme une grosse chienne plus que remplie » c’est un encouragement). Je tiens tant bien que mal le temps imparti.

C’est le moment de vérité, car c’est le dogtail qui est maintenant demandé ! A 4 pattes, je commence à l’entrer, mais il me faut vraiment forcer, même avec le travail précédent, il bloque. Buté et orgueilleux, je ne veux pas céder si près du but, car il est à la limite de rentrer. Je respire le plus possible le poppers durant quelques secondes, je pousse un grand coup, je crie un peu, mais il est dedans ! Maître Pierre me dit qu’il est fier de moi, et moi pour lui montré ma joie je sautille sur le lit pour faire bouger la queue. Il me laisse ainsi jouer les cabots durant quelques minutes avant de me rappeler à l’ordre. Par contre il a une mauvaise nouvelle pour moi : je ne pourrai pas jouir ce soir. Non pas qu’il ne soit pas content du plan mais il ne veut pas que j’associe systématiquement maitre heureux et esclave qui jouit. Si certains auraient mal vécu cette brimade, ce n’est pas mon cas car j’ai tellement ingurgité de poppers que je suis incapable de bander et donc de jouir. Cette « punition » tombe donc bien, car c’est l’inverse qui m’aurait été le plus difficile. Il me laisse encore finir les 10mn à jouer le dog, puis je dois le retirer. Là aussi poppers et cris, car le retrait est difficile et je suis content lorsqu’il est dehors. Maitre Pierre me dit de repasser le plug 2 pour venir parler avec lui pour les consignes du lendemain. Je ne le sens quasiment pas tellement je suis ouvert après plus de 2 heures de travail. Il me dit qu’il a pu voir mes capacités et qu’il est content de moi, que ce type de plan se réitérerait car il avait bien aimé me gazer pour me voir me dépasser en capacité et en attitude de lope/chienne, et que maintenant il se montrera plus exigent car il a vu de quoi je suis capable. Ca promet pour la suite !