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Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 14:27

A son retour je lui sers à boire et nous allons voir sur le PC les photos qu?il a pris durant la séance. Nous en profitons pour parler de tout et de rien, ne faisant aucune allusion à ce qui venait d?être fait, nous savons tous les deux que ce n?est pas encore fini, il n?est donc pas encore temps de faire un débriefing. Ainsi durant un bon quart d?heure nous nous efforçons de faire retomber la tension. Je passe à mon tour à la salle de bain afin de me nettoyer un peu du gel et de la bave qui me recouvraient. A mon retour nous continuant un peu ce temps libre mais je sens bien que ça ne va pas durer bien longtemps. Mon maître retourne s?asseoir dans le canapé et m?appelle afin que je vienne a coté de lui. Il profite de mon passage près de l?accoudoir pour m?attirer à lui et me faire tomber sur le canapé. Je me retrouve donc sur lui, les fesses surélevées au niveau de l?accoudoir. Il pose alors une main sur la bouche et de l?autre commence à me donner des fessées. Il alterne droite/gauche, tout en abattant parfois ça main au niveau de mon trou. La main sur ma bouche étouffe mes petits cries à chaque fois que sa main libre vient rencontrer mon épiderme. 5, 10, 15,? je perd le compte du nombre de claque que je subis. Une fois mes fesses rougies, il me demande d?aller lui chercher un plug. Je lui demande si je dois reprendre le même. Il me dit que je suis libre de prendre celui que je veux. Après le travail précédent et la chevauché qu?il m?a fait, je veux lui faire plaisir en prenant celui qui avait bloqué en début de rencontre. Il semble content de ce choix. Avant de le mettre, je prends une première inspiration de poppers, mais je garde la bouteille près des narines pour en reprendre lorsqu?il devra forcer pour le faire passer. Il commence à me présenter un doigt avec du gel pour faciliter le travail. Une fois bien préparé, il entreprend l?introduction. Durant la poussé, je sniffe à grand coup le poppers. Ca y est c?est rentré !! Le poppers aussi est entré dans mes poumons. Je le supportais déjà mal à petite dose, mais là, à forte inspiration, l?effet est terrible. Je me sens mal, j?ai du mal à rester debout et à marcher. Je m?affale sur le canapé. Mon maître voyant qu?il y a un problème vient à mes côtés et me prend dans ses bras me disant de ne pas bouger jusqu'à ce que ça passe. J?ai du mal à récupérer et à retrouver mes sensations, parallèlement mon c?ur lui c?est emballé et j?ai du mal à le calmer et à retrouver mon souffle. Nous restant ainsi lui tentant de me rassurer et moi de reprendre e contrôle durant un bon quart d?heure. Finalement l?effet comment à passer, mais nous tombons d?accord sur le fait qu?il est bien trop fort pour moi, donc soit la suite du plan est sans, soit-il va falloir aller en acheter. Il admet que c?est un élément important si je veux pouvoir tenir encore le temps restant, et m?ordonne donc de me rhabiller comme à son arriver pour sortir en acheter, mais en ayant en plus le plug. Je repasse donc le short de chasteté, le tshirt et mes vêtements civils pendant que lui aussi se rend présentable. C?est ainsi équipé que nous sortons pour nous rendre au sexshop le plus proche afin d?acheter une nouvelle bouteille. Celui ci n?est pas très loin, une dizaine de minutes de marche. Dans la rue j?ai l?impression que tout le monde me regarde c?est terrible, j?ai chaud, je rougis et marche autant que possible à l?ombre. J?étais déjà peu à l?aise le matin à la gare mais là je suis carrément paniqué. Je profite des vitrines de magasins pour voir si rien n?est visible. A priori non, ça devrait me rassurer, mais non. Heureusement nous arrivons enfin au magasin. Dedans peu de clients, je vais directement à la caisse prendre ce qu?il me faut. Pas question de traîner car outre le fait que je suis pas a l?aise et rouge écarlate, il y a aussi le fait que mon maître doit repartir sous peu donc pas de temps à perdre. Sur le retour nous passons devant un Mc Do et là nous avons le même réflexe, il est passé 13h et nous n?avons toujours pas mangé et les exercices de la matinée nous ont affamés. Ce pose alors le choix, rentrer chez moi pour que je lui prépare quelque chose et que je mange dans ma gamelle, prendre à emporter, ou manger quelque part. Mon maître m?annonce alors qu?il m?invite et que je n?ai qu?à choisir le lieu. Il me dit également que si le plug me gène trop je n?aurais qu?à aller aux toilettes le retirer il ne s?en offusquera pas, je dois juste tenir le plus longtemps possible. Je choisis donc un petit restaurant ou la nourriture est bonne et ou en plus le service est rapide. Le repas se passe sans problème, je dois toutefois me tortiller régulièrement sur ma chaise pour ne pas avoir top mal en gardant trop appuie sur le plug. Me voir ainsi bouger fait sourire mon maître qui me le fait remarquer (nouveau rougissement de ma part). Il me prévient que l?heure de son départ approchant une fois rentrer ce serait beaucoup plus intensif que ce qu?il avait prévu à l?origine. Dessert, café, addition expédiés nous retournons rapidement chez moi.

Dès mon entrée je me rechange enlevant de suite le short et remet les 4 menottes. Mon maître m?amène alors dans la chambre, m?attaches les mains dans le dos et me fixe la barre d?écartement. Ensuite il me tire les bras en arrière et vers le haut afin de les attacher à l?aide de la corde qui pend du plafond. Il me repose alors l?écarteur buccal et il va se changer lui aussi. Durant son absence je bave partout parterre. A son retour il est nu et me fourre directement sa queue en bouche. La position fait que j?ai la bouche juste à la bonne hauteur ce qui lui permet d?aller très loin. J?étouffe et lui abuse de sa position pour voir mes yeux se remplir de larme lorsque j?essaye de contrôler mes réflexes vomitifs. Bougeant encore trop à son goût il va chercher le parachute et une corde. Il le fixe à mes couilles et attache la corde à la barre afin qu?elle les tire bien vers le bas. Ainsi harnaché, il reprend la fellation forcée et appuie sur la barre avec son pied dès que je bouge trop. La douleur et la traction exercé de cette façon m?incitent à essayer d?endurer le plus possible sans me débattre. Quand il est bien dur il passe alors derrière moi, retire le plug que j?ai depuis plus d?une heure, et me prend directement à fond. Il me sodomise ainsi durant une dizaine de minutes mais la position peu stable ne lui convient pas complètement. Il me détache alors et me demande de m?allonger sur le dos sur le lit, cuisses relevées. Là il recommence à me chevaucher, sortant parfois de mon cul pour mieux s?y enfoncer à nouveau par la suite. Comme le matin, il alterne coups rapides et lents, profonds ou de surfaces. Là encore ce fut moi qui ne me suis pas montré à la hauteur car entre le matin, et le plug, mon cul commençait à beaucoup chauffer et à ne plus supporter ce traitement. Difficulté à tenir lié en plus au fait que mon maître commençait à vraiment se lâcher et à me prendre de plus en plus violemment, de plus en plus fort et loin. Ne tenant plus je lui ai demandé d?arrêter. Avec un sourire il m?a dit qu?il s?interrogeait sur le moment ou je craquerai. Il c?est alors allongé à coté, à retiré le préservatif et m?a dit de venir le sucer pour le finir. Heureux de cette clémence, je me suis mis en devoir de faire de mon mieux en le prenant le plus loin possible et en  le suçant de tel manière qu?il y prenne le plus de plaisir possible. Malheureusement le réveil sonna la fin de nos ébats avant qu?il ait pu finir. Nous avions calculé juste afin qu?il puisse prendre une rapide douche avant de partir. Nous nous sommes donc nettoyé et habillé, cette fois ci totalement normalement pour moi, et nous sommes parti. Aucun de nous n?avait pu jouir durant cette deuxième séance (et pour moi durant la journée). Loin d?être frustré mon maître m?a surtout dit que cela l?avait motivé pour qu?on se revoit rapidement pour un autre dressage qui cette fois serait bien plus long que 5h !!! C?est sur cette idée que nous nous sommes séparer devant le train.

A quand la prochaine fois ???

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 01:25

Le grand moment de la rencontre avec mon maître était enfin arrivé. Cela faisait déjà 5 mois que j'étais en cyber dressage sous ses ordres et nous allions enfin nous rencontrer. Cela faisait 2 ans que je n'avais pas fait de hard en réel avec quelqu'un et c'est avec une réelle appréhension que j'attendais ce jour. Appréhension non pas tellement vis à vis de mon maître mais bien plus sur ma capacité à tenir un plan réel et non plus cyber.

Les derniers ordres m’étaient parvenus le soir précédent afin que je sois conforme à ses exigences lors de son arrivée. La nuit a été courte, j’ai préparé l’appartement afin qu’il ait tout à sa disposition sans qu'il ait besoin de chercher. Le matériel était donc rangé par catégorie au sol dans l’appartement. Des liens avaient été installés au plafond et sur le lit afin qu’il puisse m’immobiliser sa convenance. Je me suis aussi occupé de moi en me rasant le cul et les couilles, en me tondant le torse et les aisselles.

Je me suis présenté à la gare peu avant sa descente du train, vêtu en apparence normalement, mais portant sous mes vêtements civils cockring, un jockstrap, un short de chasteté en cuir, un tshirt en cuir et un collier cadenassé. C’est donc ainsi équipé, anxieux, stressé, et fatigué que j’ai attendu les quelques minutes qui me séparaient de ce premier contact réel. Les premiers voyageurs passent les portes du quais, je me demande si je vais le reconnaître de suite ou s’il va devoir m’appeler pour me siffler. Non c’est bon je le vois, juste car il a son téléphone en main, ouff. Nous parlons quelques secondes afin de détendre l’atmosphère, il constate que je suis stressé et fais donc tout pour me mettre à l’aise. C’est donc en bavardant que nous faisons le trajet de retour pour mon appartement.

Une fois entrée, le premier ordre tombe, « En tenue ! » Je me change alors pour ne conserver que les vêtements exigés. Une fois revenu au centre de la pièce il commence à me tourner autour en me caressant, serrant un peu les couilles « A genoux ! » Je m’exécute immédiatement. Il me prend la tête, me frottant la bouche contre son jeans à l’emplacement ou je sens sa queue gonflée sous le tissus. Pour être mieux installé, il va s’asseoir dans le canapé et me demande de venir me mettre à genoux entre ses jambes pour continuer de me frotter à lui. Au bout de 10 bonnes minutes de ce traitement un nouvel ordre « Vas mettre tes menottes aux poignets et chevilles ! » Je le laisse donc le temps d’aller les chercher et me bats un peu ensuite pour les mettre tout en reprenant ma tâche. Il m’attache alors les mains dans le dos a l’aide d’un mousqueton. Après quelques minutes de ce traitement, il ouvre sa ceinture et son jeans pour en sortir une belle pine bien dure. En quelques secondes, je me retrouve la bouche bien occupée à sucer et lécher cet objet tant convoité. Je m’applique à la prendre le plus loin possible mais pas encore assez selon mon maître qui me le reproche et me pousse à en avaler plus. J’essaie de contrôler au mieux des hauts le coeur pour en prendre plus en bouche. Il semble plus satisfait cette fois ci. Il me laisse profiter de sa queue un moment durant lequel il ouvre mon tshirt afin de pouvoir jouer un peu avec mes tétons. Il m’ordonne de quitter le short et de me mettre dos a lui afin d’examine mon cul. Ses doigts commencent alors à l’explorer en le caressant. Il me demande de lui apporter la barre d’écartement afin d’immobiliser mes pieds. Une fois mis en place, je suis contraint de ne pas bouger sous peine de perdre l’équilibre puisque mes mains sont toujours attachées dans mon dos. Il se lève alors et passe derrière moi en direction du lieu ou est rangé le matériel. Je l’entends prendre quelque chose. Il revient et me passe un harnais de tête avec baillions car il n’a pas envie de m’entendre me plaindre pour la suite des choses. Il me fait écarter les jambes afin que mon cul soit bien à disposition, et il commence alors à vouloir m’ouvrir, tout d’abord en caressant mon trou offert, puis en introduisant un doigt. Face à la résistance il s’accroupit pour me lécher et m’humidifier. Je commence à gémir doucement tellement c’est bon. Il reprend alors le travail avec son doigt, il joue avec, le frottant dessus, puis le rentrant u peu avant de le ressortir. Bien entendu ce jeu me donne qu’une envie, avoir envie de lui et de sentir sa queue en moi, mais je sais que cela il le décidera le moment venu. Après un bref travail au doigt il s’absente a nouveau en direction du rangement de matériel et revient avec un nouveau jouet. Je sens du gel couler sur mon trou puis un objet lisse et froid appuyer contre. Je reconnais un plug à la forme. Il pousse, doucement mais fermement. Malgré mon entraînement régulier le plug ne passe pas, j?ai mal. Je ne sais pas si c’est le stress, la fatigue ou le manque préparation, mais il ne veut pas rentrer. Devant mes cries et mes soubresauts mon maître comprend qu’il y a un problème. Il s’arrête et me demande ce qui se passe. Il comprend alors qu’il va falloir commencer plus petit, et il va chercher un plug de taille inférieure. Celui ci entre non sans difficulté mais au moins avec une douleur moindre. Il repasse alors devant moi en me disant que maintenant je ne devrai pas le perdre, et il prend alors les pinces à linge, le parachute et une chaîne. Il commence par me poser 2 pinces sur chaque téton, puis 3 sur les cotes et 3 aux niveaux des abdominaux enfin une au nombril. Il fixe alors le parachute et relie à l’aide de la chaîne le parachute et la barre d’écartement, entraînant une traction des couilles qui m?oblige à plier les genoux si je ne veux pas trop souffrir. Il commence alors à « caresser » les pinces en jouant avec elle comme un pianiste avec son instrument, m’arrachant à chaque passage de petits gémissements. Durant ce « concerto » il m’enlève mon collier cadenassé pour le remplacer par un large collier en cuir avec point d’attache, je m’attends donc à devoir changer de position sous peu. Il retourne s’asseoir sur le canapé face à moi, et détache la chaîne de la barre. Tout en la ardant en main et en tirant régulièrement dessus il entreprend de me parler, me faisant constater que depuis déjà presque une heure il me faisait souffrir par différents moyens et pourtant je continuais de bander quoi qu’il fasse. Par conséquent il en déduisait que j’aimais ça et qu’il pouvait continuer. C’est vrai que j’aimais ça, mais c’est dur à entendre. Il sait que j’ai du mal avec mon image de slave et c’est en toute connaissance de cause qu’il veut me le dire en me regardant bien en face pour que je comprenne bien que je suis à lui et que quoi qu’il fasse j’aime ça et je l’accepterai. Il entreprend de m’enlever petit à petit les pinces à linges. Si le nombril ou les côtes se sont avérés pas trop douloureux, les abdos et surtout les tétons m’ont arraché des cries heureusement étouffés par le baillion. Il me libère les mains ainsi que de la barre et m’ordonne d’aller dans la chambre avec poppers, capotes et gel. Le moment si attendu va arriver, il va me prendre et je vais enfin le sentir en moi !!!

Une fois dans la pièce il appuie sur ma tête pour m’indiquer qu’il me veut à genoux. Là il enlève le harnais de tête afin que je le suce à nouveau. Après 5 mn de ce traitement il me pose un écarteur buccal afin de mieux profiter de ma gorge. Sans contraintes possibles de ma part, il pousse sa bite le plus loin possible. J’ai du mal à respirer et énormément de mal à réprimer des hauts le coeur. Je manque régulièrement de vomir. Il sourit de me voir ainsi à la limite de l’étouffement. Après avoir bien fait rendurcir sa queue il m’indique qu’il souhaite me voir à 4 pattes sur le lit. Il fixe alors une corde au niveau du collier pour que je ne puisse pas trop bouger la tête, et attache également mes poignets au niveau du lit. Me voici avec le haut du corps immobilisé, totalement à sa merci, bavant partout car l’écarteur me fait saliver un maximum. Il me fait sniffer un peu de poppers, et me libère du plug afin de voir mon trou bien ouvert. Il en profite pour y passer un puis deux doigts et jouer un peu avec mon cul. Il passe une capote et commence à s’enfoncer en moi. Avec la préparation précédente point de douleur lors de son entrée mais de suite le plaisir de le sentir enfin me prendre. Je commence à gémir. M’ayant prévenu qu’il était endurant, il me donne la bouteille de poppers dans une main afin que je puisse me gazer autant que besoin. Commence alors une chevauché ou il alterne longs coups lents et petits mouvements secs. Malheureusement, si le travail m’a préparé à sa largeur, la longueur me pose encore problème et je souffre de le sentir si loin en moi. Malgré le poppers, je me débats régulièrement car je ne supporte plus la douleur. Mes gesticulations l’énervent et il se retire. Il va prendre une corde et me fixe les pieds de chaque coté du lit. Je suis totalement immobilisé. Impossible de faire le moindre mouvement. Il me reprend alors directement et cette fois ci avec force et vitesse. J’alterne pour ma part entre plaisir et douleur, et le poppers ne m’aide pas vraiment car trop fort j’évite de l’utiliser me sentant mal après chaque inspiration. De son côté mon maître m’utilise comme il le souhaite, profitant pleinement de mon trou offert. Me sentant totalement à sa merci, mes cries ne font que le stimuler d’avantage et il me baise sans retenu. Ses coups se font de plus en plus secs et je le sens se crisper dans un dernier mouvement et se retirer au moment ou il jouit (un accord entre lui et moi). Il s’affale alors à mes côtés, essoufflé, secoué de spasmes. Nous restons ainsi quelques minutes afin de récupérer et d reprendre nos esprits. Il me détache alors et part prendre une douche. Pour ma part je range le matériel sorti et la pièce. Il n’est que midi, il reste encore 3 heures avant son départ.

 

 

 

Par cyberslave - Publié dans : Réel
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Jeudi 6 décembre 4 06 /12 /Déc 12:20

Avec un titre pareil j'imagine que ceux qui ont grandit avec le Club Dorothée pensent aux "chevaliers du zodiaque" quand au plus folles à "Candy". Et bien non ! Le manga est une culture avec toutes les variantes possible : il y en a pour les très jeunes enfants, d'autres pour ado, certains pour homo (HENTAI) d'autres encore pour adultes, certains sont même spécialisé dans le sexe hard (YAOI). Je voudrai donc écrire aujourd'hui sur Gengoroh Tagame, sans doute du dessinateur de yaoi le plus connu. Ceux qui se ballade le plus sur le net et les sites hard on déjà sans doute vu certains de ses dessins sans savoir son nom.

 

Très connus au Japon ou il participe à de nombreuses publications homo, il est très peu distribuer en France ou seulement 2 livres sont traduit "Gunji" et "Arena". Une dizaine de livres ont été traduit en anglais. Pour ceux lisant couramment le japonais il est possible en import d'avoir une vingtaine de titres. Allant de la simple aventurette de quelques pages à la série en plusieurs tomes, il nous entraîne dans des mondes plus ou moins violents mais dont le maître mot est plaisir. Avec lui les hommes sont virils(30/40 ans), musclés, poilus, parfois percés ou tatoués, ou alors à l'inverse, jeunes (limite 20 ans), imberbe, timide mais toujours très bien pourvu (que ce soit en taille de bite ou en ouverture de cul). Sa diversité de style fait qu'on peut très bien ne pas se reconnaître ou bander devant toutes ses oeuvres (comme c'est mon cas) : certaines sont très sage, plus près de la romance que du porno, d'autres au contraire sont d'un gore complet qui se rapproche de la boucherie. Mais l'essentiel reste dans le domaine d'un SM assez "classique". Un simple plan bondage répété au fil des pages serait ennuyeux, là le bondage devient un "art graphique" et la soumission un vrai "dressage". 

 

 

Parmis mes préféré figure :
the trophy (anglais)
Montain Hidewway Training Camp (anglais)
Pride (japonais, série en plusieurs tomes)
Sipow (japonais)
Snoh (japonais, série en plusieurs tomes)
Gunji (français)

 

 

 

Tous ces titres ont un point commun : il prend un individus vivant dans une situation banal qui petit à petit évolue pour devenir soit un slave, soit un objet sexuel. Ils montrent une progressions des trips possible, une diversité de situation, et un final assez "variable". C'est justement cette diversité qui est bandante. Le lien maître/esclave montre bien la dépendance et l'hétérogénéité des situations : certains veulent des objets ne nécessitant aucune attention, d'autres forment juste des clebs bon à revendre une fois détruit, enfin parfois se noue de vrais liens "d'affection" entre un dominant et un soumis. 

  

Par cyberslave - Publié dans : Divers
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Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 21:18

Aujourd'hui, chose rare mon maître est connecté en journée sur msn. Il me dit qu'il est à la fac mais qu'il souhaite quand même profiter de moi. Il me laisse 20 mn pour me préparer le temps qu'il se trouve un coin isoler pour pouvoir en jouer tranquillement avec moi. A son retour je dois être en tenue cuir (short de chasteté + Tshirt) avec cockring et plug moyen déjà en place. Bien entendu, je fonce m'équiper.

A son retour il a donc le plaisir de me voir comme il le souhaite. Pour parfaire la tenue il ajoute un baillion boule. Il me rappelle alors que la veille je m'étais permis quelques ironies qu'il n'avait pas trouvé du meilleur goût et que donc il souhaitait me punir pour cela. Je me suis donc retrouver avec le tourse couvert de pince à linge, une punition qu'il affectionne beaucoup tant il sait qu'elle me fait bien souffrir. Ensuite, estimant que 20 mn de plug était suffisant pour passer à la suite, il me fait prendre un gode et me demande de le rentrer au maximum. La chose se fait non sans difficulté mais avec les entraînements qu'il m'impose cela devient un peu plus facile à chaque fois. A ce moment là, téléphone, un appel que je ne peux négliger. J'enlève donc le baillion et répond, mais mon maître exige que je garde le gode ! Difficile de garder son sérieux ainsi équipé (pinces + gode) et je m'arrange pour limiter au maximum la conversation. Une fois terminé mon maître me dit de passer au gode suivant. La difficulté est bien plus importante avec celui là, je ne le prend pas en entier mais fait du mieux que je peux pour en prendre le plus possible. Je dois alors me branler et juter tout en me défonçant le cul avec. J'ai beaucoup de mal à jouir ainsi, les pinces font mal à chaque mouvement de bras qui les frôlent, mon cul est douloureux tant le gode est gros. Il me faut un long moment avant d'y parvenir.

Enfin je jouis ! Ouff cela va être la libération. J'ai en effet le droit de me déséquiper complètement. Le retrait des pinces à linge ne se fait pas sans quelques cris. Mon maître me réserve alors une surprise. Il me demande de reprendre le plus petit des 2 godes et de le remettre. Aie ! Mon cul c'est bien resserré après avoir juter, et l'introduction est longue malgré le travail précédent. Il me faut alors rester comme ça un bon quart d'heure et enfin je suis libéré et je peux me rhabillé (en cuir)! Enfin pas totalement, ...., mon maître continue de laisser tourner la cam durant tout l'après midi, me surveillant ainsi d'un oeil. Cette surveillance me laisse perplexe, veux il faire autre chose plus tard ??? il me faut attendre et stresser tout l'après midi pour découvrir que non, Il souhaitait juste m'angoisser un peu

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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Mercredi 28 novembre 3 28 /11 /Nov 15:16

Voici une petite frayeur.

Cette semaine mon maître a eu envie de jouer avec moi un soir. Jusque là rien d'anormal car il aime ça et j'avoue adorer qu'il abuse de moi. Une fois le plan fini, j'ai été prendre ma douche et me coucher, les godes/ plug nettoyés et séchant dans la salle de bain, les liens, barres d'écartements, pinces a linge, cagoule et autres jouets restant au milieu du salon.

Le matin je m'accorde une grasse matinée, donc tout reste en place. Je mange rapidement un gros petit déj’ à midi et je pars travailler. Le soir je rentre tranquillement et me pose chez moi quand tout a coup téléphone ! Mon frère m'annonce qu'il est en ville et qu'il vient passer la soirée et la nuit chez moi. Jusque là ce n'est pas grave, le problème c'est qu'il me dit être dans le métro à 4 stations de la maison !!!  Panique !!

Je range aussi vite que je peux tout le matériel que je vois. La porte sonne ouff le salon est nickel en apparence. Là je réalise que je n'ai pas enlevé ce qui est dans la salle de bain ! Aie ! J'ouvre et je le fait rentrer, pas le choix. Je lui propose un verre et le laisse s'installer. Pendant ce temps je file à la salle de bain et planque tous ce qui s'y trouve dans une serviette qui va dans la machine à laver (il va quand même pas vouloir que je lui fasse une lessive !!)

Finalement tout est bien rangé, et la soirée se passe sans qu'il ne se doute de rien. Ce n'est que quelques heures après son arrivée  que je réalise en regardant quelque chose sur le PC que j'ai laissé le collier cadenassé juste à coté. Il ne m'a fait aucune remarque c'est donc qu'il a rien vu, à moins qu'il n'ait pas osé ? ....

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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