CYBER_SLAVE

En ce beau WE de juillet, je suis invité chez Master Alex, en Belgique. Mes souvenirs de mon passage chez lui en 2005 sont encore bien vivace et je suis content de pouvoir enfin le revoir. Maître Mat ne m’a donné qu’une seule consigne : le rendre fier de lui et de son dressage. Toutefois ce n’était pas un WE de dressage (désolé de décevoir ceux qui attendaient d me voir me faire loper durant 2 jours) mais un WE amical.

Une seule chose était prévu : « La Démence », une grosse soirée ayant lieu à Bruxelles une fois par mois. Comme nous devions y être pour 22h et que la soirée peut finir à 6/8 heures du matin, master Alex m’a conseillé de faire une sieste avant. Mais ce ne serait pas un maître domi, un poil sadique, s’il m’avait laissé dormir simplement dans mon lit. C’est nu, les bras attachés dans le dos, les poignets fixés aux chevilles que j’ai du passer ces 2 heures de repos.

Après un bon repas pour se donner des forces, il était temps de se préparer. Master Alex m’avait demandé d’apporter certains de mes jouets/fringues.(WE amicale peut être mais avec un domi et un soumis dans la même maison on ne sait jamais). Avant que je vienne, il m’avait dit vouloir me sortir en slave mais je prenais ça pour une blague, mais non c’était très sérieux. Il choisit donc pour moi le short de chasteté (cadenassé bien sur sinon ce n’est pas drôle), le Tshirt marqué SLAVE, des menottes cadenassées elles aussi, des caterpillar aux pieds et enfin la chaîne avec cadenas en guise de collier. Au premier portique détecteur je ferai tout sonner avec autant de verrous sur moi. Afin de pouvoir rejoindre la boite en toute tranquillité j’ai quand même eu droit à un jeans le temps du trajet.

Une fois sur place direction le vestiaire pour poser le surplus. Et là c’est un grand moment de solitude qui s’ouvre à moi. Soit, j’avais vu des mecs en cuirs ou en boxer. Mais bon il y a toujours une certaine pudeur en moi qui fait que j’ai du mal à accepter le statut de slave en public. Et là avec cette tenue pas d’erreur possible sur ma condition. Dans un tchat avec 100 connecté c’est une chose mais là dans la vraie vie, avec 3000 personnes c’est autre chose ! Il a fallut un peu de temps avec que je me change et que j’accepte de sortir comme ça.

La soirée passant, la chaleur montante, la foule s’agglomérant, cette situation est allée de mieux en mieux car toutes les exubérances faisaient que finalement j’étais très loin d’être celui qui était le plus visible. Au bout d’1 heure je me baladais seul a la découvertes des divers recoins de ce lieu de perdition. Je savais que beaucoup n’avaient des tenues sexe que pour le fun alors que chez moi c’était un reflet de ma condition, mais a ce moment là rien ne me distinguait d’eux : on avait tous l’air en chaleur ou branché hard.

Je retire donc de cette expérience cette maxime : « l’habit ne fait pas le moine, mais la robe de bure passe inaperçu dans les monastères ». 

J’imagine vos tête en lisant le titre et la petite idée qui court dedans « chic un plan cire » …. Et bien non !!!!

Voici déjà 1 an que je suis sous contrat avec mon Maître. Je ne reviens pas de la vitesse avec laquelle cette année est passée. Et que de changement en une si courte période :

_ amélioration de la résistance à la douleur

_ ouverture du cul

_ durée de port de plug passé de 1h à 20h

_ support d’entrave de façon quasi quotidien pouvant aller jusqu'à 20h

_ timidité partiellement vaincue avec exhibition devant un public choisi

_ crainte de me montrer dépassé avec plan sans cagoule

Merci pour tous ces changements maître ! car là plus part n’on fait que me donner du plaisir supplémentaire. J’espère que ce plaisir à été partagé et que vous aussi vous y avez trouvé votre compte dans cette relation (je pense que oui sinon vous m’auriez déjà jeté). Un point particulier est a souligner, durant toute cette période jamais nous n’avons eu un mot plus haut que l’autre. Bien sur tout ne fut pas facile mais jamais il n’y eut de prise de tête (de caprice ou d’injustice de votre part, de caprice ou de bravade de la mienne) : quel bonheur d’être votre slave dans ces conditions !!

Je vous souhaite donc un bon anniversaire et nous souhaite une nouvelle année aussi agréable que celle qui vient de passer.

Tous les plans, malgré les meilleures volontés du monde, ne se déroulent pas forcement bien ; ce fut le cas de celui de ce soir.

Journée de merde au boulot, famille chiante au téléphone, rien à la télé, bref un jour à rester couché. Vers 23h mon maître me contact et veut me voir prêt à être utilisé dans 30 mn. Pas envie, mais je ne peux pas le décevoir ou lui désobéir, je me dis qu’avec de la chance ce sera un trip court car il est tard, on est en semaine, donc dans 1h je pourrai ranger le matériel et allé au lit. Par « chance » mon maître ne me veut pas en tenue normal (juste avec la cage) mais il a ajouté des modifications : le plug sera le moyen dès de départ, et pour facilité le travail pince à linge sur tout corps, pinces à sein en place et écarteur pour la bouche. Bon ce sera dur mais je m’accroche à l’idée que ce sera court.

A l’heure dite je suis prêt et la cam est lancée. Là mon maître me dit qu’il n’a pas fini son travail comme il le souhaitait, et me demande donc d’aller attendre à 4 pattes sur mon tapis. A priori ça va être plus long que ce que je pensais. L’écarteur me fait mal aux dents, les pinces à linges tirent encore plus dans cette position que quand je serai debout, je redoute un peu de me retrouver avec des bleus un peu partout. Au bout de 15mn un Wizzz tombe, il est disponible.

Premier ordre, changer de plug et passé à la taille du dessus. Ce n’est pourtant pas la première fois que je le mets, mais ce soir il résiste et a du mal à rentrer. Poppers, un peu forcer et il est en place. Pour me récompenser mon maître m’autorise à enlever soit l’écarteur soit les pinces. Vu comme j’ai mal aux dents le choix est vite fait : et l’écarteur est changé pour la muselière. Déjà ça c’est mieux, il faudra que je vois s’il est possible pour mettre une gaine en plastique autour du mord car je supporte de moins en moins le frottement du métal sur les dents.

Cela fait 15mn que j’ai changé de plug et déjà je dois passer à la taille au dessus (soit le plus gros que j’ai de presque 6cm de diamètre). Là c’est dur et douloureux et le poppers ne quitte pas mes narines tant qu’il n’est pas en place. Face à cette difficulté et afin que je m’habitue à le recevoir mon maître me demande de le retirer et de le remettre 5 fois de suite. Là encore le poppers aide à le faire et c’est a moitié shooté que je termine le 5eme passage. La tête tourne un peu mais bon au moins c’est fini. En récompense, je peux enfin enlever les pinces à linge !!! ouff il était temps j’en pouvais plus. Les retraits sont rapides, et comme redouter j’ai quelques petits bleus sur les jambes, espérons que ça partira vite !

10mn de clebs a 4 pattes plus tard, un nouvel ordre : préparer les balles de golf. Pas de nombre fixé ce soir juste une capote et le sac de balles. On commence par 1 et le plug est remis en place. Bizarrement ça a beau être le plug le plus large c’est moins douloureux qu’avec le plug moyen, peut être car il est moins long. Il n’y a aussi qu’une seule balle et non 3 comme la fois précédente. Je retourne ainsi sur mon tapis. 5mn plus tard je dois ajouter une 2eme balle. En récompense, je peux enfin enlever les pinces à seins avec la douleur au cul je les avais presque oubliées celle là. Encore 5mn d’attente et on passe à la 3eme balle. Là ça devient vraiment dur : les balles essayent de ressortir toutes seules et le plug est dur à remettre en place. Heureusement que la ceinture de la cage le bloque car sinon il ne resterait.

Moi qui espérais un plan court, on en est déjà à 1h d trip et mon maître m’ordonne d’aller chercher le sac de bondage. C’est raté pour une bonne nuit de sommeil. Je pensais être « tranquille » avec mes 3 balles mais non il me demande une 4eme !!! Là je me dis qu’il est dingue et que je vais finir déchiré. Je me force a le faire. La balle rentre, mais elle est a la limite de la sortie, je vois pas trop comment remettre le plug. Je force c’est dur, ça fait mal autant dedans qu’aux sphincters qui restent bloqué sur la largeur la plus importante du plug. Le poppers et là encore bcp de volonté et de force et c’est en place, vite la sangle pour tout tenir. Mon maître me demande d’aller m’allonger dans le sac et d’attendre ses ordres. Je commence a m’installer. J’ai trop mal. Le plug menace de se barrer même avec la sangle qui le tient. J’en peux plus je sors du sac, et je dis à mon maître que je retire les balles que c’est fini là j’ai trop mal. Il me demande de revenir à 3 balles alors. OUFF ça va mieux déjà une de moins et je respire. Je vais dans le sac. Il me faut attendre 20mn avant d’entendre enfin un message libérateur.

Mon maître m’autorise alors à enlever la cage et à me branler, à 4 pattes, toujours pluggé. Après tout ce travail l’éjaculation est rapide mais peu abondante et peu jouissive : plus mécanique que d’excitation. Je peux enfin vider mon cul !! un bonheur ça par contre !!! Pour un plan court j’ai quand même tenue pas loin des 3h.

Pour le débriefing mon maître veut que je reste toutefois pluggé avec le moyen. Après l’occupation précédente je ne sens presque plus rien donc c’est sans problème qu’il rentre. Mon maître me demande mes impressions. Je lui dis mitigé et je lui explique que je n’étais pas dedans que je n’avais pas envie.

Il me félicite :

_ je dirai juste que d'un coté je t'ai bien dressé car tu as obéis à tous mes ordres

_ de l'autre, tu aurais du me dire que tu n'avais pas la tête à cela

_ donc à la fois je te félicite pour avoir tenu, et je t'annonce, que ce plan était le dernier du cycle des plans plus dur que j'avais en tête

Bonne nouvelle pour moi !! car là j’avais atteint mes limites physiques et les plans commençaient à me faire prendre de moins en moins de plaisir. Reste à savoir ce que sera la suite que mon maître juge « plus cool » ???