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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 23:51
 Ce soir j’ai voulu faire une surprise à mon maître : à son arrivé sur msn je m’étais équipé tel une salope (débardeur bien moulant et short en jeans hyper court, avec dessous un jock et bien sur un plug).


Heureux de cette surprise il décida de jouer avec moi. Tout d’abord trouvant le plug trop petit il me demanda de passer au moyen. Ensuite il voulait un dog ce soir là : donc mise de la muselière, des genouillères et des mitaines de dog. Le temps de m’équiper et j’étais à 4 pattes devant la cam. Là il me dit qu’il me surveille et qu’il travaille a coté. Alors je n’ai qu’à pas bouger ou jouer avec un gode tel un clebs en attendant son bon vouloir.

Au bout de 10 mn il m’ordonne de passer au plug supérieur. Un peu de poppers et il est en place. Le short est refermé, les mitaines remises et je reprends la pose. Ayant un peu froid, je vais chercher à 4 pattes et ramène avec les dents un vieux pull en laine afin de me coucher par terre plus chaudement. Mon initiative et surtout la façon dont je m’y prends plaisent à mon maître qui me permet de profiter de ce confort avec son accord.

15 mn plus tard mon maître me sonne. Il me demande d’augmenter encore la taille. Ce sera sous poppers constant et en forçant que le plug arrive à rentrer (mais non sans un cri et douleur pour moi). Satisfait mon maître me fait refermer le short et me donne le droit de retourner me coucher sur mon tapis improvisé.

15 mn plus tard il me permet enfin de le retirer de mon cul. Là aussi le poppers est nécessaire et le retrait difficile. Afin de ne pas me laisser « vide » pour rédiger le récit de ce petit dressage il me demande de remettre le second plug et me permet de me rassoire devant le PC pour rédiger ce texte.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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Vendredi 28 mars 5 28 /03 /Mars 00:45

Ce soir mon maître a décidé de me surprendre : pour me récompenser de mes efforts de ces derniers temps il m’offre une soirée cadeau !! Je peux choisir ce que je veux comme jouets et lui fera le plan en fonction de mes choix (bien sur un détournement d’objet peut arriver). Je sélectionne donc

_ masque à gaz (car j’ai très envie d’un plan gazage au poppers ce qui a tendance à me rendre encore plus salope sur le moment)

_ parachute & caterpillar (l’un ne va pas sans l’autre non ?)

_ les 2 pinces à seins en précisant que je lui laisse le choix de celle sélectionné

_ les pinces à linge

_ le plug moyen, gros, les boules et le plug sur lequel j’avais échoué quelques mois auparavant

Pour commencer, je me mets en tenue avec le masque bien fermé, la cartouche à porté de main remplie au poppers. Mon maître me fait déjà changer le plug que je porte pour le moyen car il estime que la période d’échauffement a du être faite avant notre rdv. Ensuite, ce sont les traditionnelles pinces à linge qui viennent me recouvrir le corps : 8 par jambes, 16 sur le torse, 4 sur les couilles. Pour achever ce tableau mon maître sélectionne les pinces a punition pour les tétons, ainsi que les pinces classiques qui doivent relier le méat aux couilles. Cette nouveauté ne fut pas sans douleur et m’enseigne une nouvelle leçon : «  ne pas laisser le choix à un domi (en particulier à un maître imaginatif) car il sélectionnera le tout ». Ainsi bien accoutré, mon maître désire me voir en dog, et puisque les cat sont à disposition c’est une séance de léchage de pompe qui débute. La première commençant à reluire un peu, mon maître s’inquiète de comment je me sens. Je lui réponds moyennement car les multiples pinces à genoux et en mouvement font que j’ai vraiment mal. Il décide donc de changer de jeux.

Je dois tout d’abord me remettre debout, remettre le masque pour bien me gazer et changer de plug pour passer à la taille supérieure. Avec les précédents et le gaz, celui ci passe sans problème alors que d’habitude il y a quelques difficultés. Ensuite je dois mettre le parachute lesté par une chaussure. C’est seulement une fois mes couilles en extension que je peux enlever toutes les pinces mais, en le faisant, il faut que je regarde la cam bien en face afin que mon maître puisse bien évaluer la souffrance éventuelle. Bien entendu, les pinces aux tétons me font hurler ainsi que celle de la queue. Sur le corps la situation est variable suivant les zones ou elles ont été posées. Pour me remettre un peu c’est en gardant la pause, les couilles bien étirer que je dois patienter que mon maître me fasse signe. En effet, il faut vraiment garder la pause car au moindre mouvement la chaussure se balance, tirant un peu plus sur les liens qui la retiennent.

Finalement au bout de 5 mn mon maître veut que je change le plug pour les boules. Là encore le gazage fait son effet puisqu’elles rentrent toutes seules ! C’est ainsi rempli que je reçois l’ordre d’une nouvelle séance de lèche pompe. C’est en m’observant en silence que mon maître me laisse faire briller la seconde chaussure. Au bout de 5 mn, il juge le travail acceptable et me dit de préparer le plug ayant posé un problème. J’en suis à 40 mn de gazage régulier j’ai donc bon espoir qu’il passe cette fois ci. Cela ne se passe toutefois pas aussi bien que je le souhaitais car il reste très gros (5,5 cm de diamètre) par rapport à ceux régulièrement utilisés (3 ou 4 cm). Le poppers, le gel et la volonté font que malgré la douleur il arrive à rentrer. Une fois bien en place mon maître me demande …. de le retirer et de le remettre. Le retrait est terrible mais ce premier allé/retour a permis de bien m’ouvrir et la réintroduction est moins douloureuse. C’est ainsi ouvert que mon maître souhaite me voir jouir … mais à 4 pattes comme un dog. Cette fois ci je ne suis pas long à venir. Enfin je peux me libérer. Mon maître m’avait conseillé de me surgazer avant le retrait et il avait raison : avec la jouissance m’a fait bien contracter les sphincters et le retrait est un peu pénible. Malgré tout je sens mon cul bien ouvert mais il n’a pas le temps de se refermé puisque je dois de suite remettre un plug de taille inférieure avant de m’asseoir devant le Pc pour raconter cette soirée.

Merci maître pour ce cadeau.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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Mercredi 19 mars 3 19 /03 /Mars 19:18

Cela faisait longtemps que je n'avais pas mérité une punition mais j'ai à nouveau commis une erreur ce WE. Alors que mon maître était content de moi, et qu'il voulait me féliciter pour les commentaires qu'il avait eu sur mon dressage, il fut contraint de sévir.

Je dois en premier lieu poser le parachute sur les couilles, mais pour une fois il n'est pas associé à la barre. Ensuite chaque jambe se trouve « décorées » de 8 pinces à linge allant du haut des cuisses au bas des mollets. Les pinces à tétons sont ensuite fixées. Enfin, pour lester le parachute, mon maître me fait accrocher 1 puis 2 baskets !

C'est en dog qu'il compte m'infliger ma punition. Il m'ordonne de me mettre à 4 pattes et m'informe que je vais devoir conserver cette position un moment, sans bouger. Ainsi en position, le temps semble long, et les pinces mordent de plus en plus dans les muscles des cuisses. Ce sera ainsi plus de 15 mn que je devrais attendre avant un wizzz libérateur.

Je peux alors tout poser mais, par contre, je dois reprendre la position et me masturber jusqu'à jouir ainsi à 4 pattes devant lui. Etrangement malgré l'excitation je n'y arrive pas. Au bout de 10mn mon maître me fait arrêter. Il m'informe alors que les règles ont changé. La chasteté imposée jusqu'alors est levée. Au contraire à partir de ce jour je dois me branler 2 fois par jour tous les jours. Pour le moment je vois cette décision comme un cadeau, mon maître me réserve sans doute une surprise à venir mais pour le moment je ne vois pas laquelle.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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Mardi 11 mars 2 11 /03 /Mars 23:21

Mon maître m’avait prévenu dès le soir précédent : il me voulait en tenue et en forme dès 23h. A l’heure dite j’étais en tenue (short de chasteté, tshirt cuir, menottes poignets /chevilles, cagoule, muselière et plug moyen) prêt à le servir.

A sa connexion il me prévient qu’il doit s’absenter 5 mn et que je dois mettre ce temps à profit pour installer le parachute, la barre d’écartement et relier les 2 par une corde. A son retour il est satisfait de la position et du fait que j’ai bien tendu la corde afin d’être obliger de plier un peu les jambes si je ne veux pas m’arracher les couilles. L’ordre suivant consiste  prendre les pinces à linge. Spontanément je prends les pinces e pose mon tshirt mais mon maître me dit alors que ce soir il veut varier. Je dois me poser des pinces sur les cuisses et les mollets en partant du niveau du parachute jusqu'à ce que j’atteigne la barre. Chaque jambe se retrouve rapidement décoré par 8 pinces. Il en reste encore 16 dans la boite. Mon maître me fait alors les poser aux endroits habituels sur le torse hormis sur les tétons. Pour compléter le tableau il préfère que je mette les pinces à seins. Ainsi « décoré » de 32 pinces il me laisse un moment un moment pour éprouver ma résistance.

A cause de la corde attachée aux couilles et des contractures des muscles pour garder les jambes pliées, les pinces que je trouvais facilement supportable sur les jambes se révèlent être à la longue assez douloureuses. Heureux de me voir me concentrer sur l’exercice pour résister à la douleur mon maître m’encourage à tenir et c’est un bon moment que je reste ainsi. Finalement l’ordre libérateur arrive, je peux retirer les pinces et même la barre !! Une fois libre il souhaite me voir lui ramener une paire de basket. Naïvement je m’attendais à recevoir l’ordre de les lécher. Je manquais d’imagination !! Je dois accrocher la première au parachute que je porte toujours et attacher la seconde aux pinces à seins. C’est une première, et j’avoue avoir vraiment redouté la douleur de cette tension supplémentaire. Un ordre n’étant pas discutable, je m’exécute mais en relâchant la chaussure le plus doucement possible afin que la traction soit progressive. Mes craintes étaient justifiées car le poids tire sur la chaînette et donc sur les tétons. Mon maître surveille le spectacle sans se manifester, il attend le dernier de moment, celui ou les pinces sont à la limite de se détacher pour me dire d’enlever la chaussure et de l’attacher avec l’autre au parachute.

Une libération ne vient jamais sans contrepartie. Il me demande de choisir 3 godes/plug et de les lui présenter. Je prends le plug supérieur à celui que je porte, un gode et le chapelet de boules. Il décide de remplacer mon plug par les boules. C’est donc 1 puis 2, 3, 4 (avec un peu de mal) et enfin 5 (difficilement) billes qui viennent me remplir. Le poppers m’aide un peu à tenir sans souffrir et mon maître attend que je me calme. Il me demande alors une chose rare : de relever la cam et de la regarder bien en face. Cette demande me surprend car en général j’ai plutôt la tête baissée. Et là l’ordre redouté depuis ma rencontre avec lui arrive : « pose la muselière, enlève ta cagoule et remet la muselière, le tout en me regardant bien en face ! » Jusqu’à présent, bien sur, il avait vu mon visage, que ce soit par cam ou lors de nos entrevues mais jamais lors d’un plan. Mes doutes et peurs sont alors revenus. J’avais abordé une réflexion dans ce sens dernièrement, lui montrant plus facilement ma tête hors plan, me disant même que je pourrai lui faire le « cadeau » de me montrer à lui un jour en slave sans rien, mais pas de suite, pas déjà. Pourtant là j’étais au pied du mur, bien conscient que si je ne le faisais pas j’allais le décevoir et peut être même le perdre. Détacher la muselière fut facile par contre et il fallut de très longues secondes, voir même minutes avant que la cagoule ne suive … Malgré ma nudité depuis le début du plan, c’est seulement à ce moment là que je me suis senti nu. Malgré mon équipement porté bien avant son arrivé, c’est seulement à ce moment que je me suis senti slave.

Après m’avoir laisser remettre la cagoule, mon maître se lance dans un plan qu’il avait négligé depuis longtemps : un trip dogtraining. C’est donc à 4 pattes que je me retrouve regardant toujours la cam bien en face. Afin de me faire comprendre ma place et mon statue, il se lance alors dans une série de questions ou pour toute réponse je ne peux apporter qu’une réponse en remuant mon corps.

« es tu un dog ? »

« es tu une chienne ainsi remplie et équipé ? »

« es tu MON slave ? »

« es tu heureux d’être MON slave ? »

« Alors branles toi ainsi à 4 pattes car c’est la place d’un dog ! Donc interdiction de te relever tant que tu n’auras pas jouis ! »

Les boules, les pinces à seins, les chaussures accrochées au parachute et en plus la tête découverte, la jouissance fut longue à venir tant les contraintes physiques et morales étaient nombreuses. Pourtant rarement jouissance fut si bonne, peut être car malgré la violence contrainte que j’ai du me faire pour lui obéir et le fait de me présenter finalement pour la première fois comme cela devant lui ont fait que j’avais l’impression de me montrer pour la première fois à lui réellement et non pas entant qu’un soumis X mais entant que SON slave.

Une fois juté, j’ai alors pu me déséquiper totalement et discuter un peu avec mon maître de ce qui venait de se passer. Il m’annonça alors que ce ne serait pas constant mais qu’à partir de ce jour, régulièrement il me demandera d’ôter tout masque pour me présenter à lui totalement.

Pour ce moment et cette révélation à moi-même merci maître.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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Vendredi 7 mars 5 07 /03 /Mars 23:39

Après ces quelques mois sous son contrôle, mon maître souhaiterait aujourd’hui que je vous parle de lui. Pour ce faire et afin de me mettre en situation il m’a demandé de mettre ma muselière ainsi qu’une balle de golf et un plug. C’est ainsi équipé que durant 40 mn et sous son contrôle j’ai rédigé le texte suivant.

Que dire d’une personnalité si complexe qui puisse lui rendre hommage sans lui cirer exagérément les pompes tout en lui étant fidèle.

Déjà éviter l’écueil de la description physique qui n’aurait ici aucun intérêt. En effet, parler de son sourire mutin, de ses yeux malicieux ou encore de sa fine musculature ne servirait qu’à exprimer le fait qu’il me plaise physiquement. Mais est ce ça qui fait un bon maître ? Non sinon tous les mecs un tant soit peu canon pourraient prétendre à ce titre !

Une description psychologique, oui bien sur, mais par ou commencer ??? Difficile de faire un portait de quelqu’un dont le mot d’ordre et « surprendre ». C’est peut être ça le fil directeur de sa personnalité !!!

Le premier trait qui me frappa le plus chez lui c’est sa volonté : une main de fer dans un gant de velours. Là où des domis s’excitent, s’énervent, deviennent violent lui au contraire me conduit sans jamais montrer un signe d’excitation. Dans le plus grand calme, il sait me pousser vers ce qu’il attend, m’amener même à penser que ce qu’il veut c’est ce que je souhaite ! Voici peut être un premier signe d’un bon domi, une personne qui amène son soumis à se dépasser pour lui volontairement et non par pure contrainte.

Second signe marquant : son imagination ! Il est facile de n’utiliser un soumis que comme un trou : de ne lui demander que d’accepter des godes de plus en plus gros jusqu’au fist fatidique. Pourtant ce n’est pas son cas. Les lecteurs assidus savent bien que mon cul s’est déjà bien élargit sous son contrôle, mais l’essentiel du dressage n’est pas là. Il a une vision plus globale d’un soumis qui ne passe pas que par le sexe. Et c’est là que toute son imagination peut s’exprimer : chasteté, bondage, entraînement à la douleur ou simplement surveillance des tenues, chaque jour peut être différent dans sa façon d’utiliser son slave.

Troisième signe : son honnêteté. Il est facile pour un domi d’abuser de son autorité pour ne voir que ses droits et non ses devoirs. En cas de punitions ce n’est pas par pur sadisme, mais bien pour m’apprendre quelque chose suite à une erreur de ma part. Elles ne sont pas toujours faciles, rarement agréables, mais elles correspondent à une volonté d’éducation, de dressage. C’est donc aussi cela un bon domi, un maître qui sait que la confiance d’un soumis n’est pas un élément acquit à la base et qui doit la cultiver s’il ne veut pas voir son jouet perdre sa motivation et son envie de lui plaire.

Enfin, comment le décrire sans parler de sa patience. Un soumis n’est pas un objet télécommandé, ni une manifestation des fantasmes d’un domi, mais bien un jouet qui doit être façonné tel qu’un maître le rêve. Ce processus peut être long (et plus ou moins douloureux pour le slave) et surtout frustrant pour celui qui désirerait ne voir que l’aboutissement. Le résultat de mes 8 mois de dressage n’est pas du tout au stade ou mon maître rêverait de me voir pourtant, il continue calmement de me guider vers ce qu’il souhaite.

C’est peut être là l’essentiel d’un bon domi : être celui qui sait donner envie à son slave d’avancer volontairement et avec plaisir vers les sombres abymes qu’il souhaite lui voir explorer.

Par cyberslave - Publié dans : Mon Maître
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