cyberslave

Cela fait déjà une 1h30 que je suis pluggé quand enfin Maître Pierre et moi arrivons à nous croiser en étant sur de ne plus être dérangé.

Il me demande de passer un boxer latex et un tshirt bien serré. J’ajoute de mon propre chef un collier en cuir pensant que ça lui ferait plaisir. Je me montre alors à lui, et en effet il m’estime prêt.

Voyant que je tiens bien le plug 2, il me demande de passer au modèle suivant. Après autant de temps d’adaptation, il rentre sans trop de difficulté. Pour être sur qu’il soit bien en place il me demande de tapoter dessus et de jouer un peu avec. Afin que je le garde bien, il me demande alors de remettre le boxer, ainsi il est sur que je ne le poserai pas. Pour compléter ma tenue, il ajoute les menottes aux poignets et chevilles, et précise que désormais elles font partie intégrante de toute tenue présentable, tout comme le collier.

Maintenant qu’il m’a vu, il souhaite que je retire le short afin de pouvoir me travailler les couilles. Il va falloir que le plug reste en place sans aide extérieur. Le parachute est fixé, tout comme la barre d’écartement aux chevilles, les deux étant relié par une corde afin de maintenir mes couilles en traction. Satisfait de l’installation, il souhaite tester ma résistance à la douleur. 2 pinces à linge sont placées à l’intérieur de chacune de mes cuisses. Voyant que je réagis bien, il en ajoute 2 autres. Son but ce soir, être progressif afin de se faire une idée d’où il peut m’emmener. Pour corser la situation, il me fait retendre un peu la corde ce qui m’oblige à maintenir les genoux un peu plié. Pour me féliciter de mon endurance, il m’autorise à me masser les couilles quelques minutes à travers le parachute : association de plaisir et douleur, depuis les quelques jours ou nous parlons et ses premières approches, j’ai bien compris que c’est l’un des moyens qu’il préfère utiliser afin de maintenir au mieux mon excitation malgré les contraintes. Après ce bref répit, il décide de changer la donne en me faisant enlever la barre pour la remplacer par quelque chose de moins statique : une Caterpillar. Ce poids improvisé, il me fait le balancer par des mouvements de bassin pour qu’il tire au maximum. Dans le même temps je peux reprendre la séance de massage des couilles. Ces moment de plaisir me font presque oublier les douleurs, mais elles se rappellent vite à moi lorsque la chaussure frôle trop une des pinces et tire dessus. Les pinces justement, il est temps d’en rajouter : une sur chaque téton pour commencer puis 2 de plus par jambe, enfin, 4 pinces sur chaque coté du torse.

En prévision de la suite, il me fait poser la muselière : il veut que je prenne la Cat et que je la lâche depuis le niveau du parachute. Ce baillon est le bienvenu car il a évité de réveiller le voisin ! Même de peu haut, la douleur a quand même été assez foudroyante. Pour me permettre de me reposer, il m’autorise à me mettre en position de repos (à genoux, mains derrière le dos). Mais là j’ai un problème, soit ça libérerait mes couilles du poids de la chaussure, mais les pinces qui tirent déjà beaucoup sur les cuisses, ont été posé debout, le fait de m’accroupir tendant les muscles, elles allaient faire encore plus mal. Un premier test me le confirme. J’en fait part à maitre Pierre et celui-ci décide alors qu’il n’y aurait pas de repos, et qu’au contraire les oscillation de la chaussure devraient augmenter pour compenser mon refus. Après 5mn de ce traitement il me laisse le choix : entre retirer les pinces et changer de gode ou garder le gode et ajouter plus de pinces. Au vu de la douleur sur mes cuisses, la décision est rapide !! Bien sur, le retrait ne concernait que les cuisses et non pas l’ensemble. Pour tenir mes engagements, je passe donc au plug suivant et c’est le 4 qui rentre. Un peu de mal, mais il va au fond, toutefois, celui-ci tient très mal en place (les concepteurs de ces jouets les essayent ils ?? je me le demande). Comme je dois le garder un moment, je peux remettre le short par-dessus pour le maintenir en place. Pour me récompenser de mon endurance, je peux enlever les pinces que j’ai sur le torse. Même si je pouvais tenir encore un peu de ce coté là, je suis quand même soulagé de les poser.

Aimant beaucoup me voir en dog, il me demande de me mettre à 4 pattes. Pour pimenter les choses, la muselière est remplacée par l’écarteur buccal. Afin de me faire baver un peu et accentuer le coté dog, il me demande de garder la langue pendante. Dans cette position je ne peux plus lui répondre et il profite alors de la situation pour bien me décrire ma place et toutes les contraintes qui me rappellent que je suis là pour le servir et lui donner satisfaction. Lorsque je dois approuver une remarque c’est en remuant la queue que je dois m’exprimer. Déjà 10 mn de ce traitement, et je peux me masser la queue et me branler tout en restant ainsi au sol encore 5mn. En bonus je peux ôter les pinces qui restent sur les tétons.

Après ce petit quart d’heure de dogtraining, je peux retirer le short et me mettre en position de repos, cul au sol afin de maintenir le plug enfoncé. Pour que je lui montre à quel point j’ai apprécié le traitement qu’il m’a infligé, il veut que je me branle et que je jouisse. C’est en me trémoussant sur le plug que j’ai accomplis cet ordre avec plaisir : comment ne pas avoir envie de satisfaire un tel ordre surtout avec les exercices de frustration qu’il m’impose chaque jour.

Heureux de mon explosion, il m’explique que si le plan était un peu désordonné c’était volontaire. Il voulait tester ma capacité à passer d’un trip à l’autre rapidement afin de voir ma réactivité (et par la même occasion tester certains de mes jouets). Il est très satisfait de moi, mais précise que maintenant il commence à mieux me connaître et donc pourra plus facilement pousser les plans. Nous verrons ça bientôt mais en attendant, il me laisse ses instructions pour la suite : conserver le plug encore 10mn et taper le rapport de cette séance. C’est ce que je viens de finir ;)

Décidément la Belgique m’attire : 3eme domis avec qui je suis en contact qui habite là bas ! je vais finir par déménager. J’ai déjà parlé avec lui 2 fois, ce soir nous avons prévu de tester un plan. Il veut me voir en total cuir : collier, menottes chevilles et poignets, tshirt zippé, boxer jockstrap. Le premier ordre tombe avant même l’allumage de la cam : je dois l’attendre à genoux face à l’objectif.

Satisfaits de ma présentation, il me demande de choisir 5 objets pour mon cul. J’en prends 4 moi-même (plug n°2, gode n°1, chapelet de boules S, plug gonflable) et lui laisse le choix du dernier entre le spéculum et le gode boules progressives. Il choisit ce dernier. Dans ses dires, il alterne paroles rassurantes et un peu angoissantes, ce qui fait que je ne sais pas trop quoi penser de la suite.

Allongé, dos au sol, jambes bien relevées et écartées, il me demande de me caresser, de me branler à travers le boxer, de me faire du bien. Il me fait me lécher les doigts, afin que ceux ci glissent bien lorsque je me masse l’entrée de l’anus. Il veut faire monter le désir, et il y arrive très bien ! Il décide de passer au plug. Je l’enduis de gel, mais je n’ai le droit que de jouer avec l’entrée, surtout pas de l’enfoncer. En prenant un peu de poppers, e peux alors le rentrer progressivement, et une fois en place, tapoter doucement dessus afin de bien le faire jouer à l’intérieur. Parallèlement, je dois continuer de masser ma queue avec la même fréquence que mes mouvements de cul. Après 5mn d’échauffement, il me fait déculer et réenfourner aussi tôt 5 fois de suite.

Content de ce début, il désire voir ma queue. J’ouvre donc la fermeture du boxer pour la lui présenter. Je peux me branler complètement cette fois tout en me malaxant les couilles, mais interdiction de jouir. Après 5mn de plaisir je dois prendre la position de repos (assis à genoux au sol, mains dans le dos). Il me parle un peu de ce qu’il attend d’un slave, ce qui m’excite beaucoup.

On reprend, je vais chercher le gode et le pose au sol devant moi. Il veut tester les capacités buccales. A 4 pattes je commence à le sucer et à le lécher sur toute la longueur. Au bout de 5mn de ce traitement classique, il en veut plus : il me demande de passer en gorge profonde et d’en avaler le plus possible pour le garder bloqué en fond de gorge. C’est un exercice ou j’ai toujours eu du mal car je maîtrise mal le réflexe de déglutition et de régurgitation. Je fais de mon mieux. Ca à l’air de convenir, ouf. Au bout de 3mn de ce traitement les larmes me montent aux yeux, mais heureusement il décide de stopper pour le moment et m’indique de reprendre la position de repos. Je me rassois donc sur les genoux. Il s’énerve, aie, j’ai oublié les bras dans le dos. Première punition : poser 4 pinces à linge sur mes couilles. Tout en me branlant, je dois jouer avec et les bouger afin de bien les sentir. Il ne fait pas durer ce « doux supplice » trop longtemps.

Il s’intéresse à nouveau à mon cul, estimant que j’ai assez gardé le plug, que je peux passer au gode. Une dernière gorge profonde pour bien le lubrifier et je reprend la position sur le dos , cul offert. Seul le gland doit passer pour l’instant, je dois juste jouer et me chauffer. A son signal c’est d’un coup entièrement que je dois le rentrer. Heureusement que le plug à préparer le terrain avant et que l’excitation et le poppers sont là ! Une fois bien au fond il me fait le ressortir et recommencer une dizaine de fois dans cette position, puis à 4 pattes cul vers la cam. Quand il estime qu’il coulisse bien, il signale le repos, … assis sur le gode bien sur. Les pinces sur les couilles commencent à tirer mais je tiens encore, elles ne gênent pas trop sauf quand elles se prennent dans le boxer. Ainsi empalé, il me demande de me branler, tout en me mettant quelques claques sur les couilles. Puis je dois associer des mouvements de va et viens avec le gode. Ce triple mouvement dure une dizaine de minute. C’est à la fois bon, douloureux et contraignant.

Il veut passer aux boules. Dos à la cam, la gueule au sol, j’enfile les 5 boules les unes après les autres. Une fois toutes dedans, il me les fait garder 2mn, puis ressortir doucement, une par une. J’avoue que les boules sont sans doute le truc que je préfère, tant en entrée qu’en sortie ! Une fois 4 dehors, il m’ordonne de les entrer à nouveau. On recommence une nouvelle fois à les sortir doucement puis à les ré-enfourner. Il me fait prendre une bonne dose de poppers et exige que je les sorte toutes d’un coup rapide. Ne sortant pas assez vite il me fait le refaire trois autres fois.

Il ne veut pas utiliser le plug gonflable ce soir finalement, donc on va passer directement au suivant, le gode boules. Je dois bien sur le préparer à la bouche, et débute 5mn de suce effréné à 4 pattes, tout en me branlant. Il estime que ma punition à assez duré et me fait retirer les pinces. Si certaines sont presque indolores, ce n’est pas le cas de toutes ! Une fois cette formalité faite, je place le gode sous moi et viens m’empaler dessus complètement. Commence alors un mouvement de godage : je le sors à moitié avant de le reprendre intégralement. Cette chevauché dura une dizaine de minutes avant qu’il ne me donne l’ordre libérateur : « droit de jouir » tu peux vider ton cul et te branler à fond. Je lui fais comprendre que je préférerai jouir le cul plein. Ravit de cette initiative, il me l’accorde volontiers. Vu que cela fait 2heures qu’il me chauffe par ce plan, je ne suis pas long à venir et à exploser !

Une fois remis, il me demande de remettre le plug et de revenir parler un moment avec lui, moment qui dura … ¾ d’heure.

Master Alex avait un pote domi très branché cyber. C’est donc tout naturellement qu’il lui a filé mon msn. Après c’être croisé régulièrement sans avoir vraiment eu le temps de dialoguer, on a finalement pu faire un plan un soir. Comme pour toute présentation, c’est bien entendu nu, avec simplement une cagoule en spandex et un cockring que j’ai allumé ma cam.

Il a commencé par faire le tour du propriétaire, en me faisant tourner lentement sur moi même, de profil en cambrant les reins, de dos en écartant mes fesses avec les mains afin qu’il voit bien ma rondelle. Satisfait, il me fit quelques compliments et semblait certain que l’on allait bien s’amuser.

Il voulait voir ma bite bien bandée, il me demande donc de mettre du gel dans mes mains et de me branler avec l’une et de me masser les couilles avec l’autres. L’effet est rapide et je me retrouve avec une belle tige bien raide.

Excité, il m’ordonne de me lécher les aisselles. Je suis pas un fan des plans odeur, mais bon sortant de la douche, il y a pas de problème, et puis au moins ça a le mérite de sortir de l’ordinaire.

Il veut me changer en chienne, au figuré comme au propre ! Une dose de poppers, les pinces à tétons, le dogtail en place, et me voilà a 4 pattes entrain de tirer la langue devant l’écran ou il exhibe sa queue. Il me demande de me branler ainsi devant lui tout en bougeant mon cul pour bien sentir la queue. Pendant une dizaine de minutes, il va me faire saliver devant lui afin de bien me chauffer. Pour que je sente mieux la situation, il me fait sucer un gode posé au sol, le lécher sur toute la longueur, aspirer les boules, essayer des fonds de gorges.

Quand il m’estime assez chaud, on passe à la suite. Pour me travaillé un peu les couilles, je place le ballstreatcher et donne quelques petits coups dessus. 3 pinces à linge sont placé sur ma bite au dessus du bondage. J’enlève le dogtail et vais m’asseoir sur le fauteuil, cul bien en avant, cuisse bien ouverte afin qu’il ait une vue directe sur mon trou. Il demande le plug gonflable. Il commence par 4 coups, poppers, à nouveau 4 et poppers puis 2. J’en suis déjà à 10 en quelques minutes. 4 de plus, poppers, il attend une minute et me demande de dégonfler. Autant la sensation de gonflement est super, mais c’est vrai qu’a un certain point c’est plus douloureux qu’agréable et le dégonflement est alors un bonheur. On reprend, directement 10. Pose de 4 pinces à linge sur les couilles. Poppers. 4 coups de plus. Poppers. A nouveau 4 coups, là c’est vraiment dur. Poppers. 2 coups. J'en fais un mais je n’en peux plus et supplie de dégonfler, on en est à 19, je crois exploser. Il me laisse patienter quelque seconde et finalement me soulage.

Afin de continuer sa progression, il change d’instrument et passe au spéculum. Petit à petit je l’ouvre ave l’aide du poppers pour me soutenir. En oins de 10 mn il est au maximum. Commence alors une lente exploration avec mes doigts de mon intérieur. Avec une lampe mobile, il me fait éclairer au maximum pour avoir une vue la plus profonde possible. Le plus petit gode pouvant entrer par une telle ouverture, il me fait me goder via le spéculum durant 5mn. Je peux le refermer, il a une autre idée. La sensation est étrange, assez peu agréable en fait qui fait limite mal. Pour me détendre, il m’autorise à enlever els pinces sur les couilles et aux tétons, et il me fait jouer avec mes doigts. 2, 3 puis 2 de chaque mains. Petit à petit mon anus se décrispe. Quand le trou est a nouveau ok, il veut le chapelet de boules le plus gros. Si les deux première boules sont acceptables (4cm c bon vu ce qui est passé juste avant) les trois autres par contre son en format large c’est à dire 6cm. Il veut que pendant toute l’opération je continue de me branler non-stop. Comme je le pensais pas de difficulté pour débuter. Avant de passer à la troisième, je prends une bonne dose de poppers. Avec quelques efforts, elle passe, mais non sans douleur ! Il veut qu’on passe à la suivante. Je le stoppe là, je ne le sens pas plus. Il comprend et décide d’arrêter le travail de ce coté là. Je retire les boules. La plus grosse à un peu de mal a ressortir mais finalement une fois passé les autres suivent sans problème. Pour ne pas rester à vide, il me fait mettre le plug n°5.

Il me fait remettre les pinces sur les tétons, du gel dans les mains et je recommence le massage de la queue et des couilles. Cette fois ci il me dit qu’il n’y a plus de règle, je peux jouir. J’ai eu un peu de mal, l’abus de poppers m’aide bien à ouvrir mon cul et à me donner mais inversement, il m’empêche de bander. Pourtant ce n’était pas faute de vouloir jouir ! Avec un peu de pratique et ses encouragements plus ou mois soft j’y suis finalement arrivé, pour mon plus grand plaisir et le sien !

Cela faisait déjà quelques temps que je discutais avec ce jeune domi lyonnais, quand un soir on a enfin pu tester un plan ensemble.
Afin d’avoir un contrôle complet sur ma situation dès le départ, il m’a demandé de me présenter à lui totalement nu. Sachant que je n’aimais pas montrer mon visage lors des plans, il me demande de passer une cagoule en cuir car il est assez fétichiste de cette matière. Pas de problème car ave le temps j’avoue apprécier de plus en plus ce contact et celui du latex. Ensuite afin que je bande bien pendant tout le plan, il me choisit mon cockring le plus large et le plus serré. Avec ça, ça va être dur de débander avant d’avoir juté.

Pour débuter , on commence par un travail des couilles. Tout d’abord en les massant, puis en les tapant un peu, enfin en y posant un parachute ou est fixé une caterpillar. Il s’agit pour moi à partir de ce moment là de la maintenir en mouvement sans qu’elle s’arrête. Pour équilibrer les contraintes, il passe au-dessus de la ceinture et me fait poser les pinces à tétons, lesté par le ballstratcher métal. Ce poids supplémentaire fait que je sens bien les pinces bouger au moindre mouvement. Il le sait très bien, c’est d’ailleurs pour cela qu’il me demande d’allé chercher les menottes pour poignets et chevilles et de les poser. Pour me récompenser de bien obéir j’ai droit à une bonne dose de poppers et à 30s de branle.

Ensuite, ce n’est pas vraiment ce que je préfère, il veut explorer ma résistance aux pinces à linges. Je commence par 3 de chaque coté, puis 6 et enfin 8. Il m’en fait ajouté 4 sur le bas ventre : j’en suis donc à 20 pinces sur le tronc ! A nouveau la récompense : poppers et 30s de branle.

Afin de me rendre plus résistant/docile/chienne pour continuer, il me fait enlever la cagoule pour passer au mask à gaz. Avec un coton imbibé de poppers chargé dans la cartouche, je pourrai me shooté à volonté (il me laisse maître de cet aspect n’étant pas avec moi pour voir mes réactions). Une première dose et pose du plug n°2. Pour le maintenir en place, il me fait faire une queue d’alouette sur une corde avec un très long lacet qui est fixé à la base du cockring, puis qui remonte entre les fesses, bloquant ainsi le plug, pour enfin être attaché au niveau de mon nombril.

Apres 30mn de parachute, il désire passer à un ballstratcher, … accompagné de 4 pinces à linges. Vient alors une série d’alternance : pendant 1 mn je dois jouer avec les pinces puis 1 mn de branle, le tout sous poppers. J’alterne ainsi entre douleur et plaisir pendant presque 10 mn. Estimant que j’avais eu le temps de m’habituer au plug, il passe au n°3. A nouveau, sous poppers, alternance de branle/jeu de pince durant 10 mn.

Voulant que j’atterrisse un peu, il décide d’enlever le mask à gaz pour revenir à une cagoule classique. Mais en prévision de la suite il me demande d’allé chercher une chaussette, de la mettre en bouche et de fixer la muselière par-dessus. Tous ceux qui ont testé les pinces à linge le savent, le plus dur ce n’est pas la pose, ni tenir, mais le retrait. Plus on en a proche, plus on les a gardé longtemps, et plus ça fait mal. Là j’en ai 24 depuis plus de 30mn pour certaines et depuis 45mn pour celles aux tétons. Je dois commencer par celles sur le corps. Une dose de poppers et c’est parti. C’est vrai que ça fait mal, j’y vais trop doucement à son goût, il me demande d’accélérer. Sur le corps c’est bon, je peux souffler quelques secondes. A nouveau poppers puis j’enlève celles sur les couilles. Ca passe un peu mieux, elles y étaient depuis moins longtemps. Reste le plus dur, les tétons. Une bonne dose et je retire. C’était les pinces soft, mais là elles auraient pu être les pinces à punition !! Récompense : 1mn de branle, mais avec l’autre mains, je dois me caresser le corps, en particulier là ou il y avait les pinces.

Moment de repos. Je dois enlever la corde qui maintient le plug et à la place passer le short de chasteté tout en conservant mon ballstratcher. Maintenant je dois m’arranger pour faire ce qui se rapproche le plus d’un Hog Tie. Je m’allonge face au sol sur un tapis, je relie et fixe avec un mousqueton une de mes chevilles à mon poignet, et je tiens la seconde avec ma main libre. Ainsi positionné, j’appuie bien sur ma bite qui est sous moi, ce qui maintient l’excitation. Je reste ainsi 7mn avant qu’il ne me rappelle. Je me détache. Il a vu que le short avait une fermeture arrière et me demande de l’ouvrir pour retirer le plug. A la place, il veut jouer avec le chapelet de boules S. Poppers, une boule,30s de branle, puis on recommence ainsi jusqu’à ce que les 5 soient rentrés. Retour au Hog Tie pour 5mn.

Je peux me détacher et me relever. J’enlève également le short car il veut que j’ai autant accès à ma bite qu’à mon cul. Ayant bien bosser il me laisse finir de la façon dont j’ai envie, je peux jouer autant que je veux avec les boules ou ma queue, jusqu’à c que je jouisse. Je m’amuse à en sortir une puis 2 avant de les rentrer tout en me branlant. Vu les stimulations et les masturbations fréquentes pendant le plan, je ne fus pas long à venir. Summum du bonheur, il explosa presque quand moi, ce qui me valut une caresse affectueuse en récompense !

Tous les plans, malgré les meilleures volontés du monde, ne se déroulent pas forcement bien ; ce fut le cas de celui de ce soir.

Journée de merde au boulot, famille chiante au téléphone, rien à la télé, bref un jour à rester couché. Vers 23h mon maître me contact et veut me voir prêt à être utilisé dans 30 mn. Pas envie, mais je ne peux pas le décevoir ou lui désobéir, je me dis qu’avec de la chance ce sera un trip court car il est tard, on est en semaine, donc dans 1h je pourrai ranger le matériel et allé au lit. Par « chance » mon maître ne me veut pas en tenue normal (juste avec la cage) mais il a ajouté des modifications : le plug sera le moyen dès de départ, et pour facilité le travail pince à linge sur tout corps, pinces à sein en place et écarteur pour la bouche. Bon ce sera dur mais je m’accroche à l’idée que ce sera court.

A l’heure dite je suis prêt et la cam est lancée. Là mon maître me dit qu’il n’a pas fini son travail comme il le souhaitait, et me demande donc d’aller attendre à 4 pattes sur mon tapis. A priori ça va être plus long que ce que je pensais. L’écarteur me fait mal aux dents, les pinces à linges tirent encore plus dans cette position que quand je serai debout, je redoute un peu de me retrouver avec des bleus un peu partout. Au bout de 15mn un Wizzz tombe, il est disponible.

Premier ordre, changer de plug et passé à la taille du dessus. Ce n’est pourtant pas la première fois que je le mets, mais ce soir il résiste et a du mal à rentrer. Poppers, un peu forcer et il est en place. Pour me récompenser mon maître m’autorise à enlever soit l’écarteur soit les pinces. Vu comme j’ai mal aux dents le choix est vite fait : et l’écarteur est changé pour la muselière. Déjà ça c’est mieux, il faudra que je vois s’il est possible pour mettre une gaine en plastique autour du mord car je supporte de moins en moins le frottement du métal sur les dents.

Cela fait 15mn que j’ai changé de plug et déjà je dois passer à la taille au dessus (soit le plus gros que j’ai de presque 6cm de diamètre). Là c’est dur et douloureux et le poppers ne quitte pas mes narines tant qu’il n’est pas en place. Face à cette difficulté et afin que je m’habitue à le recevoir mon maître me demande de le retirer et de le remettre 5 fois de suite. Là encore le poppers aide à le faire et c’est a moitié shooté que je termine le 5eme passage. La tête tourne un peu mais bon au moins c’est fini. En récompense, je peux enfin enlever les pinces à linge !!! ouff il était temps j’en pouvais plus. Les retraits sont rapides, et comme redouter j’ai quelques petits bleus sur les jambes, espérons que ça partira vite !

10mn de clebs a 4 pattes plus tard, un nouvel ordre : préparer les balles de golf. Pas de nombre fixé ce soir juste une capote et le sac de balles. On commence par 1 et le plug est remis en place. Bizarrement ça a beau être le plug le plus large c’est moins douloureux qu’avec le plug moyen, peut être car il est moins long. Il n’y a aussi qu’une seule balle et non 3 comme la fois précédente. Je retourne ainsi sur mon tapis. 5mn plus tard je dois ajouter une 2eme balle. En récompense, je peux enfin enlever les pinces à seins avec la douleur au cul je les avais presque oubliées celle là. Encore 5mn d’attente et on passe à la 3eme balle. Là ça devient vraiment dur : les balles essayent de ressortir toutes seules et le plug est dur à remettre en place. Heureusement que la ceinture de la cage le bloque car sinon il ne resterait.

Moi qui espérais un plan court, on en est déjà à 1h d trip et mon maître m’ordonne d’aller chercher le sac de bondage. C’est raté pour une bonne nuit de sommeil. Je pensais être « tranquille » avec mes 3 balles mais non il me demande une 4eme !!! Là je me dis qu’il est dingue et que je vais finir déchiré. Je me force a le faire. La balle rentre, mais elle est a la limite de la sortie, je vois pas trop comment remettre le plug. Je force c’est dur, ça fait mal autant dedans qu’aux sphincters qui restent bloqué sur la largeur la plus importante du plug. Le poppers et là encore bcp de volonté et de force et c’est en place, vite la sangle pour tout tenir. Mon maître me demande d’aller m’allonger dans le sac et d’attendre ses ordres. Je commence a m’installer. J’ai trop mal. Le plug menace de se barrer même avec la sangle qui le tient. J’en peux plus je sors du sac, et je dis à mon maître que je retire les balles que c’est fini là j’ai trop mal. Il me demande de revenir à 3 balles alors. OUFF ça va mieux déjà une de moins et je respire. Je vais dans le sac. Il me faut attendre 20mn avant d’entendre enfin un message libérateur.

Mon maître m’autorise alors à enlever la cage et à me branler, à 4 pattes, toujours pluggé. Après tout ce travail l’éjaculation est rapide mais peu abondante et peu jouissive : plus mécanique que d’excitation. Je peux enfin vider mon cul !! un bonheur ça par contre !!! Pour un plan court j’ai quand même tenue pas loin des 3h.

Pour le débriefing mon maître veut que je reste toutefois pluggé avec le moyen. Après l’occupation précédente je ne sens presque plus rien donc c’est sans problème qu’il rentre. Mon maître me demande mes impressions. Je lui dis mitigé et je lui explique que je n’étais pas dedans que je n’avais pas envie.

Il me félicite :

_ je dirai juste que d'un coté je t'ai bien dressé car tu as obéis à tous mes ordres

_ de l'autre, tu aurais du me dire que tu n'avais pas la tête à cela

_ donc à la fois je te félicite pour avoir tenu, et je t'annonce, que ce plan était le dernier du cycle des plans plus dur que j'avais en tête

Bonne nouvelle pour moi !! car là j’avais atteint mes limites physiques et les plans commençaient à me faire prendre de moins en moins de plaisir. Reste à savoir ce que sera la suite que mon maître juge « plus cool » ???