CYBER_SLAVE

23h10, message de Maitre Pierre : « tiens-toi prêt à la demi ». Durant les 20mn restant je me prépare et à sa connexion je suis nu, menotté et pluggé pour l’accueillir. A priori il n’est pas de bonne humeur, mauvaise journée. Il me prévient en me disant qu’il n’a pas beaucoup de temps mais que ce n’est pas une raison pour ne pas profiter de moi pour apaiser la tension qu’il a accumulé durant les heures précédentes.

Le calibre du plug ne lui convenant pas il me fait le remplacer par la taille supérieure. Une fois cette « formalité » faite je peux ôter la CB. Sa première envie se porte sur la barre d’écartement. Une fois fixé je dois m’accroupir le plus possible afin de faire travailler cuisses et fessiers. La position est assez inconfortable et je me permets de ne pas descendre au maximum pour ne pas trop me fatiguer. S’en apercevant il le rectifie en me faisant encore me baisser. Les cuisses tirent vraiment à ce niveau là, et je dois m’aider de mes mains pour tenir (heureusement il n’a pas poussé le sadisme à les fixer quelque part). Je n’ai jamais été un grand sportif et la musculation n’est pas mon fort, ce type d’exercice m’est presque plus insupportable qu’une séance de pinces. Tout en tenant, il veut que je me caresse les couilles et que je me branle afin d’être bien excité. Cette première épreuve va durer un peu moins de 10 mn avant qu’il ne m’autorise à me redresser.

Il exige à présent que je pose le bâillions boule afin de ne pas m’entendre pour la suite. A présent il souhaite faire un peu d’électro. Je remplace le plug par l’œuf électrique, m’allonge sur le dos, jambes bien écartés, cul tourné vers la cam afin que la vue soit la plus agréable pour lui. Il me fait monter doucement l’intensité de l’appareil jusqu’à ce que les contractions musculaires soient visibles. Pour continuer les stimulations il me fait poser des pinces à linge sur les tétons. A présent, pour lui montrer mon plaisir, je dois me branler frénétiquement … mais toujours sans jouir. C’est très agréable, j’apprécie toujours autant l’électro via l’œuf, et la frustration des derniers plans ainsi que le port de la CB fait que je suis très excités. Il est difficile de se retenir, je ralenti régulièrement la cadence pour ne pas juter. 3mn, je peux stopper, mais en contrepartie je dois ajouter 2 pinces sur les couilles et monter l’intensité de l’électro. La sensation commence à devenir moins agréable à ce niveau là. A nouveau branle. Là je dois parfois carrément stopper pour tenir. Pour me calmer il me fait ajouter 2 autres pinces sur mes couilles et me demande de jouer. La sensation de pincement, torsion, ou mouvement font que la douleur fait un peu redescendre la pression. A nouveau 1 mn de branle pour bien m’exciter. Satisfait de mon état, il me dit de tout enlever… le plan est fini !

Je vais me passer la queue sous l’eau froide pour débander et pose de la CB. Ce soir il me donne une nouvelle consigne pour la suite : les sous vêtements me sont dorénavant interdit jusqu’à nouvel ordre.

Ce soir Maitre Pierre se sent d’humeur joueuse et me demande de me préparer. ¼ d’heure plus tard c’est donc nu, menotté et pluggé que je me présente devant lui.
Il me demande d’aller chercher les Cat, je m’attends donc à devoir aussi poser le parachute et à avoir droit à une séance de tension des couilles. Et bien non, perdu, il veut que je les pose au sol, que je m’installe à 4 pattes à coté et que je les fasse briller. Je commence donc à jouer de la langue pour les nettoyer au mieux. Pendant que je m’active, Maitre Pierre me donne une « petite leçon », m’expliquant que c’est aussi cela qu’il attend d’un slave, pas juste un objet sexuel, mais aussi un objet fonctionnel pouvant lui servir, que ce soit pour le nettoyage des pompes, comme repose pied devant la télé, larbin pour lui servir à manger ou encore comme « statue » attendant dans un coin sans bouger son bon vouloir. C’est un peu étrange de l’entendre dire ça, car si je savais que c’était sa vision, il est vrai que jusqu'à maintenant nous nous étions limité essentiellement à un aspect sexuel, dois je donc comprendre qu’il veut maintenant aller plus loin ? Je verrai bien la suite assez tôt. Pendant un bon quart d’heure je vais m’appliquer à faire briller au mieux les chaussures.

Satisfait du résultat, il me demande de m’installer à genoux face à lui et de me branler… mais sans jouir évidemment. Son téléphone sonne, un imprévu. Pour me faire patienter, il m’ordonne de m’installer à nouveau à 4 pattes et de continuer à me branler comme ça. La position est moins évidente à tenir, mais je sais qu’il aime me voir en dog devant lui.

La conversation dure un peu, alors pour changer je dois m’attacher les couilles avec la corde, la passer dans la poulie et installer une des Cat à l’autre bout, ensuite je n’ai plus qu’à m’allonger et l’attendre (finalement, j’avais bien raison sur le travail des couilles). A son retour il est satisfait de me voir ainsi et me fais reprendre ma masturbation. Pour ajouter un peu plus de plaisir, je dois également jouer avec mon plug en même temps. Ca commence à être difficile de ne pas jouir. Au bout d’une vingtaine de minutes, il me dit que ça suffit, mais avant de me déséquiper, il veut que je tire la corde au niveau de mes couilles pour faire monter la chaussure plus haut vers la poulie … puis que je lâche pour la faire tomber. Ce brusque à-coup sur mes couilles n’est pas des plus agréables, et face à ma réaction, il me fait l’exécuter une nouvelle fois.

Pour faire une petite pause, et pouvoir discuter, il souhaite me voir avec les élastiques pour tétons. Alors que je vais prendre les soft, il précise qu’il veut les hard ce soir. Ouille, j’ai plus vraiment l’habitude de les porter ; la pose est facile, les tenir ça va aussi car ce n’est pas très douloureux, mais le retrait … Durant une dizaine de minutes nous allons donc parler d’un plan à venir que lui a inspiré une de mes expérience passée. Vient finalement le moment de la « délivrance » et mes craintes se confirment : si le droit s’enlève facilement, le gauche est bien plus douloureux. Une bonne inspiration, un peu de gel pour aider à glisser, et finalement c’est bon.

Pour finir, Maître Pierre veut à nouveau me voir me branler durant un quart d’heure, mais cette fois ci il va me falloir également sucer un gode et jouer avec le plug. Seul solution pour tout faire (et oui 3 actions et 2 mains ça limite), le faire à 4 pattes, gode posé au sol. Il me fait également poser la cam au sol afin que je puisse le regarder tout en suçant. Les 2 trous occupés, la queue bien branlée mais ne pouvant jouir, il est ravi de ma situation. Pour finir les dernières minutes, il exige que je les fasse en fond de gorge. Vraiment dure de ne avoir de haut le cœur dans cette position mais je fais de mon mieux pour tenir et en avaler le plus possible.

Le plan se termine. Je n’ai pas joui malgré une activité importante de ma queue. Pour être sur que cela perdure, pose de la CB. Ce soir je suis vraiment frustré de ne pas pouvoir finir vu le nombre de fois ou j’ai été limite. De son côté, Maitre Pierre est totalement satisfait du résultat de cette séance, … c’est donc l’essentiel, non ?

J’ai de la chance aujourd'hui je vais pouvoir passer presque tout ce dimanche avec Maitre Pierre. Il souhaite se reposer et faire la grasse matinée, mais il m’a dit qu’il sera présent dès 13h. Il n’en faut pas plus pour me motivé et à sa connexion, c’est bien sur nu, menotté et pluggé (avec le n°1 que je suis présent).

Il n’est pas très chaud pour un plan sur le moment, mais souhaite parler avec moi de ces premiers mois sous son contrôle. Que dire si ce n’est que c’est presque « que du bonheur ». J’en ai appris plus sur moi même, plus sur lui ce qui me permet de mieux me laisser aller. Bref, je suis très content d mon collier et ne l’échangerai pas pour toute la liberté ou le sexe possible. Il me confie ses idées de faire évoluer notre relation vers sans doute plus de voyeurisme (j’ai dans la tête que les mails qu’il a pu recevoir depuis qu’une adresse ou lui écrire à été dévoilé n’y sont pas étranger). Face à mes craintes, il me rassure en me disant qu’il resterait l’unique propriétaire de ma personne et que pour le moment il réfléchit seulement à la forme que cela pourrait prendre. Cette petite conversation dure jusque vers les 16h ou il me dit avoir besoin de se préparer car il va au cinéma avec des amis. Je lui souhaite donc un bon film avant qu’il ne se déconnecte. Que vais-je pouvoir faire en 2h ?? Je conserve déjà ma tenue, après tout cette journée lui était consacré, je ne vais donc pas me changer car il ne me surveille plus ! J’ai un peu de travail sur le blog à faire je m’attelle donc à cette tâche.

Un peu avant 18h, j’enfile le plug n°2 en prévision de son retour. Comme ça je serai prêt au cas où ! 19h / 20h personne ?? je reçois finalement un message, il est allé mangé avec ses amis après la séance de cinéma, le film ayant été plus long que c qu’ils pensaient. Je vaque donc à mes occupations (ménage, repassage et toutes les corvées habituelles) en attendant. Je profite de l’occasion pour réfléchir à ma condition. Serai-je un larbin ??? Après une (très) courte réflexion je suis sur que non ! En effet là je me suis occupé de MES corvées, elles ne m’ont pas été imposées et je n’y ai pris aucun plaisir. Si dans le passée il m’est arrivé de tester ce type de plan, j’avoue que c’est plus le côté exhib qui m’a intéressé que le fait de savoir que je sers un maitre. Bien sur si Maitre Pierre m’offre un jour un plan réel, il n’aura à s’occuper de rien, mais cela c’est de la politesse plus que du larbinage, enfin c’est ma vision.

A 21h, je me dis qu’un effort est faisable, après tout je suis déjà pluggé depuis 17h avec le n°2, il ne devrait plus trop tarder, je passe donc au suivant. Le « terrain »  étant bien préparé, cela se passe sans problème. Ayant fini les tâches ménagères, je m’installe donc devant la télé en attendant un signe de retour. C’est vrai que cette absence commence à me sembler longue, mais je me dis que c’est sans doute aussi ça la vie d’un slave : être a dispo quand on le demande et seulement quand on le demande. Ce n’est pas parce que l’on a un objet que l’on est obligé de s’en servir. Bref je me fais une raison et je m’occupe.

23h, mon film est fini mais toujours pas de nouvelles. J’espère qu’il va bientôt rentrer. Pour me « défrustrer » je me décide à augmenter encore et je m’empale sur le n°4. C’est sans doute le plug que j’aime le moins, je le trouve mal taillé, la matière est désagréable, et je me dis qu’il faudra vraiment que j’en trouve un autre pour le remplacer. Un peu de poppers aide à faire passer cette sensation, mais je vais devoir renouveler l’opération régulièrement si je veux le conserver. De plus je suis obligé de rester assis « dessus » car sa forme ne lui permet pas de rester en place à moins de mettre la ceinture cage pour le tenir. N’ayant vraiment pas envie de cette contrainte supplémentaire je décide de rester sagement « dessus » durant le nouveau film que j’ai lancé.

Il est un près de minuit et demi lorsque finalement Maitre Pierre rentre. Il est très surpris de me trouvé encore debout et encore plus de me savoir toujours pluggé !!! Il m’avoue ne pas avoir pensé que je passerai la journée ainsi ! Bien sur il savait que j’avais déjà porté un plug durant une journée de travail, soit 8/9h, mais pas durant … presque 12h ! il me félicite pour ce succès et à mi mot s’excuse de m’avoir « oublié » si longtemps (un domi à priori ne s’excuse pas, il fait juste comprendre qu’il est ennuyé lol). Sa surprise augmente encore quand il apprend que non seulement je suis toujours rempli mais qu’en plus j’ai pris l’initiative d’accroire régulièrement ma contrainte. Soit je n’ai gardé les 2 dernier que 2h chacun et parfois avec l’aide du poppers mais quand même il souligne l’exploit et les progrès que j’ai fait. Par contre je lui avoue que là je suis « à bout » et que je suis content de son retour car sinon j’aurai craqué avant sa venue, m’étant fixé au maximum 1h. Il me fait donc patienté jusqu'à la limité que je m’étais fixé avant de le retirer. J’ai le trou super ouvert. Pas autant que lors du gros travail de la semaine passée, mais quand même bien dilaté… et bien chaud ! Je lui annonce que je suis à la limite de l’irritation. Il me dit que je ne dois m’en prendre qu’à moi même et à ma gourmandise/obstination. Il concède quand même en récompense de mes effort de ne pas le travailler quelques jours afin que tout rentre à la normal. Je le remercie vivement, car je ne pense pes que j’aurai pu supporter un travail de suite. Comme testé durant la semaine, il me répond qu’il y a bien d’autres aspects à développer et travailler chez moi donc qu’il trouvera bien comment s’occuper de moi durant la semaine. En attendant c’est repos, à chaque jour suffit sa peine et ses contraintes.