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Mercredi 9 septembre 3 09 /09 /Sep 19:35

En ce début septembre, je rentre de la Folsom de Berlin relativement frustré. J’y suis allé avec Master Alex, son copain, et des amis a eux. J’ai bavé tous le WE devant les tenues des mecs, les situations, les lieux, … mais je rentre persuader d’une chose : cet événement ne vaut la peine que si on y va accompagner de son propre maitre (ou si on est domi, vu le nombre de salopes abandonnées !) Bref c’est le cœur lourd et les couilles pleines que je me connecte sur le net. Par chance je tombe sur BS4T, un beau  mec domi avec qui j’ai déjà eu la chance de faire un trip il y a près d’un an. Vu qu’il est chaud aussi, on ne met pas longtemps à se trouver. Je me fous à poil, un cockring bien serré et j’allume ma cam.

Dès qu’il me voit, il me veut gazé au poppers, je sniffe donc de grand coups sur la bouteille afin de bien partir. Il veut me travailler le trou au plug gonflable. Cul en l’air, tête au sol, je me l’enfile et il demande pour commencer 5 coups de pompe. Snif à nouveau puis 5 de plus. Encore un snif et 5 coups. En quelques minutes je suis déjà à 15 coups de pompes, ça commence a faire beaucoup malgré le poppers. Pour calmer les choses, il me laisse quelques minutes ainsi avec cette taille là, puis me demande 2 coups de plus. Pour que j’apprécie le traitement, il me fait me redresser et mettre les pinces à seins. Je commence également à me branler, mais en faisant attention à ne pas jouir !

Je peux dégonfler, et prendre le chapelet de boules et de me mettre à quatre pattes afin qu’il puisse voir et mon cul et ma bite. Je rentre la première, et il me demande alors de « respirer » du cul 20 fois avant de pousser la seconde. L’exercice est facile vu le plug précédent, et je fais attention de ne pas pousser dehors la boule.je recommence ainsi pour les 2eme et 3eme. Tout en le faisant, je continue à lentement me branler. Petite pause poppers, et je rentre la 4eme et la 5eme. A présent je dois les sortir une a une en poussant. J’adore la sensation lorsque la boule passe le sphincter qu’il force a s’élargir et que d’un coup, elle tombe me libérant. Quand il ne reste plus qu’une boule en moi, BS4T me demande de les rentrer à nouveau et de recommencer ; il adore me voir ainsi pousser du cul et m’ouvrir devant lui. Je recommence volontiers appréciant le traitement.

Il constate que les petites passent bien, il veut passer aux grosses. Par chance pour moi, le chapelet comprend 2 petites et 3 grosses, ça me laisse le temps de m’habituer. A 4 pattes, je rentre la première. Il adore le fait que lorsque les boules pendent, ça fait comme une queue sortant de mon cul, et me demande de bouger pour montrer que je suis content et, tel un clébard, de remuer de la queue. Pour que je m’habitue, il s’intéresse à mes tétons et me demande de jouer avec les pinces en tirant dessus. A force de le faire elles sont à la limite du décrochement. D’un coup sec, il me les fait enlever, puis caresser/pincer avec les doigts le bout de mes tétons. J’adore cette sensation à la limite entre soulagement et douleur. Je rentre la 2ème boules et dans la foulé il exige la 3ème. Quelques minutes de répits, un peu de poppers et il veut la 4eme. J’ai un peu de mal, mais super excité et frustré comme je suis, en forçant un peu, elle fini par rentrer. Je la tiens avec la main en appuyant dessus, le temps que mon cul se ressert autour et qu’elle reste bien dedans.

Il est temps de passer à mes couilles. Il me fait mettre un ballstreatcher, relié à chacune de mes chevilles. Allongé sur le dos, je dois étirer les jambes et ainsi tirer sur mes couilles. Il me dit craquer complètement sur moi à ce moment là, le cul remplis, les couilles tendues, moi offert. A présent, il veut travailler les 2 ensembles : je dois pousser une boule dehors, tirer sur la corde en allongeant les jambes, puis recommencer jusqu’à ce que je sois vide. Etant renté d’Allemagne avec un nouveau chapelet de boules, il me faut bien les essayer. On passe donc à la nouveauté, et là pas de temps d’acclimatation car il comprend directement 4 grosses boules. Un peu de poppers et je rentre la première. Pour « m’attendrir », il exige 10 claques sur chaque fesse. Poppers et je rentre la 2eme. Mon trou commence a fatigué, et dur de la rentrer et de la garder. J’essaye de me détendre et de la conserver en moi. Pour m’aider, BS4T me fait jouer avec mes tétons, me branler, me mettre quelques fessées, tirer sur mes couilles. Malgré tout j’ai du mal à penser à autre chose et à trouver cela agréable. Petit à petit les boules trouvent leurs places en moi. Il me demande de passer à la 3eme, mais là je refuse. On trouve un accord, je vais m’assoir dessus. On verra bien si elle reste dehors ou si elle arrive à rentrer.

Il profite de cette position pour me faire remettre les pinces à seins ainsi qu’un poids pour tirer dessus. Je commence à me branler, et à appuyer sur la boule. Parfois un peu de poppers pour aider passe sous les narines. Au bout de 5mn, la boule approche de la moitié. Je continue ma masturbation, je sens le plaisir monter. BS4T me dit que lorsque je sens que je suis au bord, je tire sur la corde pour enlever toutes les boules. 5mn de branlette, il me dit de me dépêcher. Encore 2mn de ce traitement et je me redresse et les « arrache » d’un coup ! Au même moment, je jouis, ne sachant pas si j’avais mal, plaisir, soulagé, vidé, frustré, …

Il me félicite, et me dit qu’heureusement que je me suis vidé, car 1mn de plus, et il me faisait poser la cage de chasteté. Il précise que c’est juste évité pour cette fois, mais qu’un jour ou l’autre j’y aurai droit …

Par cyberslave - Publié dans : Cyber - Communauté : Gay
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Vendredi 4 septembre 5 04 /09 /Sep 19:24

Cet après-midi c’est repos, j’en ai profité pour posé un rdv avec le domi lyonnais avec qui je joue régulièrement. A sa connexion, je suis nu avec juste un collier et cockring. Il apprécie la vue.

Pour débuter, pose de 2 pinces à linge sur les tétons et pour commencer à me préparer, je m’enfile le plug n°2. Son téléphone sonne, il me demande d’attendre comme ça. Presque 1à mn plus tard, il raccroche, on peut reprendre. Maintenant c’est la bouche qu’il veut me voir travailler. Je prend donc un gode et commence à le sucer. Une simple pipe ne lui suffit pas, il veut que j’aille le plus loin possible. Pour vérifier, il me demande de me mettre de profil afin qu’il puisse bien voir ce qui dépasse. Je fais de mon mieux, mais pas facile, surtout que le gode est conséquent. 2, 3, 5 fois je tente d’aller dans l’œsophage ; le déjeuné menace à chaque fois de ressortir. Les gorges profonde, faut vraiment que je pense à les faire que quand je suis à jeun.

Satisfait de ma prestation, il veut passer à mon cul. Je retire le plug, me graisse le trou, et commence à jouer avec le gode que j’avais en bouche. Je m’installe donc sur le dos, jambes écartées, cul face à la cam. D’abord doucement, il veut que j’accélère pour limer à fond le plu vite possible. Quelques minutes comme ça, il me demande de stopper pour passer le spray anesthésiant dessus, me disant qu’il compte bien m’exploiter au max de ce coté là. Comme il faut quelques minutes pour qu’il fasse effet, je reprends le gode et je recommence à jouer avec. 5mn et je passe au gode 3, et à nouveau limage toujours dans la même position. 5mn à nouveau et il veut le gode 4. Le spray a eu le temps de m’endormir un peu la zone, il passe sans trop de difficulté. Reprise du limage. Je commence à trouver ça un peu ennuyeux, mais bon vu que je ne sens pas grand chose, c’est ni agréable ni douloureux. 5mn, il veut que je passe au n°5. Idem, il rentre en forçant un peu, mais sans vraiment le sentir. Il me dit de me déchirer avec et d’y aller à fond, car il est pressé et doit partir dans 5mn. Tout ce que je déteste chez un domi, pressé et monomaniaque, comme si une salope n’avait qu’un cul et aucune autre zone à abuser. Comme annoncé, il reste encore un peu et me dit qu’il doit couper. Fin du trip, je retire les pinces.

J’en ressors frustré et énervé, avoir bloqué 2h pour 30mn de simple godage, à la limite ça je pouvais le faire seul devant un film (je vois déjà certains domis puristes hurler en disant que le soumis est là pour être à dispo et pas pour y chercher son plaisir).

De la chance dans mon malheur, un pote soumis est connecté et on parle un peu, de tout et de rien. Je lui raconte ma déconvenue. Lui aussi à du mal à trouver des mecs qui tiennent la route. On parle matos et je luis dit que j’ai un nouveau plug n°6 & gode n°7. Il me demande à voir les bêtes. J’allume ma cam et lui montre ça. Il s’interroge sur le fait que le plug puisse rentrer. Pour lui prouver que c’est le cas, et vu comme je suis chaud et préparer, je commence à le rentrer. C’est vrai qu’il est gros !! Malgré le travail précédent, et le spray (qui commence à ne plus faire effet), j’ai du mal à le mettre et surtout je le sens bien !! Il me dit que j’ai trouvé de quoi bien me casser le cul. Je confirme. Pour faire passer la douleur, il me dit de prendre un peu de poppers et de mettre les pinces sur les tétons. Ca aide, oui, mais ça ne suffit pas vraiment comme dérivatif. Pour continuer à compenser, pose de pinces sur les couilles et la queue. Il me fait ensuite jouer avec en les bougeant, tordant, tirant. Tout en continuant ça d’une main, il me fait me branler de l’autre, et quand je suis limite, stopper pour jouer un peu avec le plug sans le faire ressortir. Quand je suis à nouveau plus calme, reprise de la branlette. Entre la douleur des pinces, le plaisir de la branlette ou du cul, je suis aux anges. Je fais ça 4 fois, stoppant à chaque fois plus difficilement. Pour finir, il me demande de me branler et d’éjecter le plug juste au moment ou je jouis. Je recommence à me masturber sachant que cette fois ci je connaitrai la libération. Je sens que ça monte, je me concentre sur le plaisir. A quelques secondes de la fin, je pousse sur le plug. J’ai du mal à le sortir sans utiliser mes mains. Finalement il sort et dans le même temps, je jouis. Mais sensation étrange, ce n’est pas le plaisir tant attendu qui domine mais la douleur de mon cul. C’est assez particulier de ne pas trouver du plaisir là ou en attendait tant.

Finalement, j’aurai plus appris et apprécié un plan avec un soumis qu’avec un domi, le monde à l’envers. Les « Top » ont toujours été moins nombreux que les soumis, mais là c’est vraiment la crise si on est amené à se « gouiner » entre nous pour prendre notre pied. D’un autre coté, c’est sans doute mieux de se faire du bien entre nous plutôt que d’être frustrer chacun chez soit à ne rien trouver.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber
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Jeudi 27 août 4 27 /08 /Août 11:30

Il est tard quand le petit domi italien avec qui je joue de temps en temps se connecte. Il est content de me voir car il cherchait à se soulager rapidement avant de se coucher. Comment lui refuser un service ?! J’allume donc ma cam pour qu’il me voit.

Il estime que mon jeans est de trop, et le boxer le suit rapidement. Un peu surpris de me voir avec un cockring (oui j’en garde parfois un en journée, on en sait jamais sur qui on peut tomber) il est ravis qu’il soit en place et me demande de fixer en plus le ballstreatcher le plus lourd. 450g sur les couilles, ce n’est pas assez pour avoir mal, mais bien assez lourd pour sentir la tension qu’il entraine. Les accroches sur les côtés lui donnent une idée mais qu’il ne m’explique pas pour le moment.

A 4 pattes, cul vers la cam, il examine mes couilles pendantes, et me demande de mettre quelques petites claques dessus. Je ne tape pas trop fort, juste assez pour sentir les coups sans réellement avoir mal. Privilège des plans cam, on gère soit même ce type de « contraintes », et quand on n’aime pas trop, on peut tricher un peu.

A présent de profil, il me fait poser un gode au sol. Comme nous jouons régulièrement ensemble, je connais bien la suite, je vais devoir le sucer ainsi. C’est là que son idée intervient. Il me demande de passer des menottes et après avoir passé les bras entre mes jambes, de les fixer aux attaches du ballstreatcher. Je me débrouille pour les attacher, et je comprends alors que la suite va être beaucoup moins facile que d’habitude. Ainsi attaché, ma position est moins stable, et si je bouge trop, je tire moi même sur mes couilles. Je me baisse et commence à sucer. Tout d’abord le haut, puis m’habituant à la situation et trouvant mon équilibre, je peux aller de plus en plus bas. Il me laisse me limer la bouche durant 4/5mn. Il estime alors le gode assez baveux pour que je puisse m’enculer avec. Je m’arrange pour le prendre en main (vive la contorsion), et commence à m’ouvrir avec. La sensation est bizarre car mes mains attachés ne me permettent pas de grand mouvement, d’un autre coté à chaque fois que je le rentre, je me tire les couilles.

Le domi adore ça, il me fait me tourner pour non plus voir mon cul, mais ma bouche grande ouverte. Il me dit qu’il adore se finir dans une bouche bien chaude après avoir baisé un cul. En réel, je n’y arrive pas, mais en cam, pas de problème, alors qu’il se fasse plaisir, je suis là pour ça. Il me fait jouer avec ma langue pendant que lui se branle face à la cam. En quelques minutes il jouit face à moi, et me remercie car maintenant il va passer une bonne nuit, puis coupe la cam.

Finalement, il suffit de peu de chose pour rendre un homme heureux, 20 mn et un peu de don de soit.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber - Communauté : BDSM
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Dimanche 23 août 7 23 /08 /Août 13:54

Ce soir trip de prévu avec master K. Je dis trip et non plan, car la soirée doit être particulière : il a un plan de prévu en réel avec un mec, et il veut baiser devant un bon porno que je serai chargé d’animé. Comme sa cam sera aussi allumé, je serai non seulement exhib mais également voyeur de ses prouesses.

A l’heure convenu, je me présente donc nu ave juste collier et menottes afin que lui et le mec puisse voir le model de la soirée. Master K me fait ajouter un triple cockring et un anneau de gland. Il me donne également ses recommandations sur le programme qu’il souhaite voir « matte, branle, joue avec ton cul, poppers de temps en temps, et pas le droit de jouir jusqu’à ce que moi j’ai fini ». Au moins les choses sont claires, c’est lui qui décidera de la fin.

De leur coté ils commencent les préliminaires en s’embrassant et en se caressant. Je fais de même de mon côté en me caressant, me pinçant les tétons, me donnant quelques claques sur les fesses, me léchant sous les bras. J’essaye de leurs montrer une salope en chaleur afin de leur donner envie d’en faire plus entre eux ou mieux, de me rejoindre.

Les choses avance pour eux puisque les boxers sont tombés et qu’ils commencent par se sucer. Je choisis un gode et fait de même. Tout d’abord en le léchant sur toute la longueur puis en essayant des pipes de plus en plus profondes. Je ne suis pas un expert dans ce domaine, mais je pense commencer à me défendre avec l’entrainement. Vu qu’ils sont 2, je prends un second gode et j’alterne les fellations, comme si je les avais avec moi, passant de l’un à l’autre. Après 5mn de se traitement, je m’installe à 4 pattes et pose un gode au sol, dans cette position je peux alors le sucer tout en m’enculant avec le 2eme. Ca semble leur faire d l’effet puisque master K installe le mec dans la même position et commence à le doigter et à le préparer.

Lorsque vient le moment de l’enculer, je passe au gode de taille supérieur et j’essaye de me caler sur son rythme. Pas facile de tout coordonner, mais la sensation est sympa, un peu comme si on regarde un film tout en jouant dedans. Par contre à ce rythme là, je ne vais pas tarder à jouir. Pour calmer les choses, je fixe le gode au sol, et m’empale dessus. Pour « déconcentrer » mon plaisir, je pose les pinces à tétons, ainsi que des pinces à linges sur la queue et les couilles. L’excitation retombe, oufff. De leur côté la chevauché se calme, car lui aussi veut faire durer le plaisir, je me passe un peu de spray anesthésiant et me cale donc au maximum sur le gode et arrête également de bouger. Je profite de ce temps pour jouer avec les pinces, reprendre les caresses, sucer un gode, bref leur donner envie de recommencer au plus vite.

Après un bref repos, master K remet le petit mec à 4 pattes et recommence à le doigter. J’en profite pour passer au gode 6, et me met à m’activer de nouveau pour bien m’ouvrir. De là ou je suis je ne sais pas combien de doigts le mec se prend mais il a l’air d’aimer. Master K commence à se lubrifier la main, j’ai bien compris ce qui va suivre sans qu’il ait à me l’expliquer. Je décide donc de « l’accompagner » dans sa pratique en prenant le plus gros gode. Beaucoup de poppers, et quand je vois la main commencer à entrer, je tente également de m’empaler. Le gode n’a ni la forme ni la taille d’une main, mais l’association image et ressenti physique fait que j’ai l’impression d’être à la place de ce type, c’est assez génial. Je pousse encore un peu et doucement je le sens rentrer cm par cm. De son coté le poignet et passé et il commence à branler le cul tout en se paluchant aussi. Je retire les pinces de la queue afin de pouvoir me branler également. J’ai les yeux rivés sur sa queue et ce cul, surveillant le moindre signe annonciateur de jouissance. Enfin je le vois se trémousser et juter, le soumis en profite également pour jouir quand il retire sa main de son trou. Voyant ça je sais que ma libération est possible, en quelques coups de poignets je fais de même en déculant le gode.

Nous sommes tous les 3 vidés dans tous les sens du terme. Je retire les pinces, et m’allonge un moment pour reprendre mes esprits. Mon cul est grand ouvert, et si pour le moment je sens pas grand chose à cause du spray, je me doute que demain, je vais bien le sentir. Je regarde l'horloge, mine de rien, le trip a duré pas loin de 2h, avec quasi constamment en gode dans le cul, je comprend mon état.

Cette soirée m’aura appris 2 choses. La première c’est que voyeur c’est sympa comme point de vu, la seconde c’est que la télé à la carte ça à vraiment des avantages.

Par cyberslave - Publié dans : Cyber - Communauté : plaisirs SM
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Mardi 11 août 2 11 /08 /Août 18:30

Voici un petit texte en retard, en effet, il date du mois de mars, mais je ne l’ai retrouvé que récemment au fond d’un sous fichier de mon PC.

J’avais commencé à dialoguer avec domili un soir ou mon côté exhib avait le dessus et ou j’étais en cam sur le tchat général, habillé en total latex, plug et mask à gaz. On se croisait souvent sur le tchat, et quand il est présent difficile de ne pas le savoir vu qu’il a la langue bien acérée, mais ce soir là, à priori mon look le branchait bien, et on est passé en tête à tête, puis sur msn. Condition pour son adresse msn, que je me bonde les couilles, ça va ce n’était pas une grosse exigence.

Une fois sur msn, il constate que le bondage lui convient (couilles séparées) et me demande de virer le boxer et d’attacher en plus une chaussure afin de tirer sur les couilles. Les lacets doivent être assez courts afin qu’elle ne touche pas le sol quand je suis assis. Ainsi équipé, je me rassois sur le fauteuil, et je mets un peu de poppers dans le mask à sa demande. Pas beaucoup, juste assez pour le sentir un peu et pouvoir supporter la cartouche un moment. Au bout de quelques minutes, l’effet se fait sentir et je m’ouvre tout seul, je dois alors changer de plug et passer à la taille au dessus et me travaille un peu avec. Au bout de 2mn, il me pense prêt pour les boules de geisha. 1, 2, 3 puis 4 boules rentrent. J’en décule une, puis la remets. Ensuite c’est 2 boules qui sortent et rerentrent. Enfin, je les vire toutes d’un coup et les rentre rapidement. Pour passer à la suite, il ordonne que je les décule lentement une par une, et que je les remplace par un plug gonflable. Pour débuter 6 pressions, quelques secondes de répits puis 3 de plus. A nouveau quelques secondes puis ajout de 3. Je dégonfle. A nouveau 9 pressions, un peu de repos, puis 3, repos et 2 autres. Pour continuer, il demande un gode afin que je me lime bien en profondeur. Je le pose sur la chaise et m’empale dessus. Cette position est celle qui me permet le mieux de me goder. J’en profite donc durant 10 mn en faisant des montés/descentes (par contre ça fait souffrir les cuisses … et les couilles qui ont toujours la chaussure !!). Trouvant que c’est trop facile, il me fait passer à la taille au dessus, mais il a pitié de mes jambes et c’est sur le dos que je le rentre. A nouveau 10 bonnes minutes de défonce, mais le plaisir est moins là, mon cul à déjà pas mal bossé et j’ai du mal à bien me donner mais je fais de mon mieux. Finalement je demande grâce, et il me libère du gode … pour y mettre un bon plug.

Je détache la chaussure, remets le boxer en latex, et reviens m’asseoir devant le Pc pour reprendre la conversation. Pendant encore un petit quart d’heure on bavarde du trip et de latex avant d’aller se coucher, lui vidé et moi … remplis ;)

Par cyberslave - Publié dans : Cyber - Communauté : passion exhib et voyeur
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